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Le site ORIFLAAM va permettre de mieux connaître les quantités et la nature des matières premières liées à l’alimentation des animaux d’élevage. Il pourra être utilisé par le monde agricole, les organismes de recherche ou encore les pouvoirs publics…
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Le secteur, confronté à une baisse des tonnages, peine à répercuter le renchérissement de ses approvisionnements…
En 2022, « les spécialistes des aliments composés ne sont pas parvenus à répercuter totalement la hausse des prix des matières premières dans leurs prix de vente », constate le Crédit Agricole dans son dernier Observatoire des métiers du grain. « Ils n’ont pas pu couvrir la hausse des autres intrants, en particulier les prix de l’énergie dont les industries sont fortement consommatrices. Leur rentabilité affiche ainsi une baisse importante en 2022. Les marges de manœuvre de ce secteur restent, de fait, limitées. »…
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Les deux spécialistes de l’élevage ruminant associent leurs compétences au sein d’une nouvelle structure, Sol’Eil…
La nouvelle structure gérera « l’ensemble des solutions de nutrition animale des deux partenaires à destination des ruminants, sur la partie Est de la Bretagne, sur laquelle opèrent les trois négoces agricoles (GN Solutions, Demeuré Solutions et Bonenfant Solutions) qui constituent le groupe Gaudin Solutions »…
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Sanders, filiale d’Avril, est entré en négociation exclusive avec Soufflet Agriculture, groupe InVivo, pour la reprise de ses activités de nutrition animale incluant le site de Talmont-Saint-Hilaire en Vendée…
Soufflet Agriculture commercialise 70 000 tonnes d’aliments composés en France notamment en Vendée. Avec le site industriel de Talmont-Saint-Hilaire qui fabrique 45 000 tonnes de mash par an, Sanders renforce son offre de solutions performantes pour l’ensemble des éleveurs clients…
Sanders en quelques chiffres :
• 28 usines certifiées Oqualim réparties sur le territoire national
• 5 concessionnaires fabricants et distributeurs de la marque • 3,4 millions de tonnes d’aliments produites sous technique Sanders
• 1 150 collaborateurs • 26 000 clients
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Le marché des compléments minéraux et vitaminiques connaît des tensions, il n’échappe pas au contexte actuel de hausse des prix des matières premières, mais le risque de pénurie est écarté…
« Les approvisionnements en minéraux se font sur des marchés mondialisés. Leurs procédés de fabrication sont énergivores. Donc leur prix a été impacté par la hausse du prix de l’énergie. » C’est particulièrement marqué pour le phosphore. « Avant la hausse des prix de l’énergie, sur la période 2018-2019, le phosphore avait augmenté du fait de la raréfaction de l’offre suite à la faillite d’un des gros acteurs européens. La fermeture des approvisionnements russes, la concurrence actuelle avec les engrais ont renforcé les tensions autour des phosphates. »…
Il y a également de fortes hausses sur le cours du magnésium, car le processus de fabrication de la magnésie calcinée demande beaucoup d’énergie. C’est la même chose pour le sodium et le calcium, alors même que la matière première brute est peu chère et disponible…
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En juillet 2022, la production nationale d’aliments composés est en baisse de 13,1%
Sur les 7 premiers mois de l’année, la production globale d’aliments est en baisse de 6,6%. L’aliment vaches laitières est en légère baisse (-2,3%). La production d’aliment bovins hors mash diminue particulièrement dans le Sud Ouest (-10,8%), le Nord (-9,4%), l’Est (-8,4%) et le Sud Est (-7%) mais affiche une hausse de 3,2% en Bretagne…
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Les prix de l’aliment ont lentement mais sûrement progressé sur les deux dernières années. « Le coût du panel de matières premières a augmenté de 80 % par rapport à janvier 2020. Or cela représente 85 % du prix d’un aliment fini. »…
La concurrence de la méthanisation se fait également sentir sur certaines matières premières. « 50 % des coproduits comme les drèches ou les pulpes sont courtisées par ce débouché.» Cela peut représenter 10 à 15 € par tonne d’aliment. »…
« Baisse historique » des fabrications : Sur le premier semestre de 2022, les fabrications d’aliments ont chuté de 5,7 % par rapport à la même période en 2021. « Sur l’ensemble de l’année, on s’attend à un recul de 1,2 million de tonnes.»…
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Quand demander l’aide ?
Les demandes doivent être déposées à compter du 30 mai à 14h jusqu’au 17 juin 2022 à 14h.
Comment demander l’aide ?
Les demandes sont à faire sur la plateforme d’acquisition des données de FranceAgriMer...
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Les filières bovines (viande et lait) affichent de meilleurs résultats que les viandes blanches au vu des hausses de l’aliment en mars…
Nouvelle livraison des calculs d’Agreste quant à la compensation du coût de l’aliment pour les produits animaux qui concerne les données de mars 2022. En bovins, la forte hausse des cours (+29,8 % sur un an) fait plus que compenser celle de l’aliment (+18 %). En lait, même tonalité avec une hausse des prix de 16,5 % et une de l’aliment de 17 %...
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A Trévarez, « 8 000 kg de lait par an avec seulement 80 g/l de tourteau de colza, pas de concentré de production, l’arrêt du correcteur à 50 % d’herbe pâturée. Ça marche ! »…
- économiser 1 kg de concentré de production par jour et par vache, c’est perdre 0,8 kg de lait
- réduire le correcteur d’1 kg de tourteau de soja, c’est perdre 1,7 kg de lait
- arrêter le correcteur azoté dès 50 % d’herbe pâturée dans la ration (20 ares d’herbe pâturée par vache avec une pousse de 40 kg MS/ha/jour)…
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Les producteurs de lait du sud de l'Europe ressentent les effets de la guerre d'Ukraine à travers de graves pénuries d'aliments pour animaux. Jusqu'à présent, une grande partie de l'alimentation animale a été importée principalement d'Ukraine et de Russie…
La production laitière de l'Italie, en particulier, souffre des effets de la perturbation des exportations d'aliments pour animaux de ce pays déchiré par la guerre. Le blé et le maïs n'ont pas pu être importés d'Ukraine pendant deux semaines. Les stocks sont épuisés…
Aujourd'hui, des centaines de vaches laitières risquent d'être abattues prématurément selon Assalzoo, une organisation d'éleveurs italiens. Le président d'Assalzoo, Michele Liverini, a souligné qu'il faudrait alors des années avant que du lait puisse à nouveau être produit en Italie…
Ainsi, outre les producteurs de lait, le commerce de détail, la transformation, la logistique et enfin et surtout le client final seraient également touchés.
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Une vaste étude épidémiologique confirme que la graine de lin est bénéfique sur la production et la fertilité, en conditions réelles d’élevage.
Menée par Valorex et l’UMR Oniris-Inra Bioepar dans le cadre d’une thèse, une étude épidémiologique de vaste ampleur a évalué l’impact de l’utilisation de la graine de lin sur les performances de production et reproduction. L’étude a croisé les données de livraison d’aliments contenant de la graine de lin de 1204 troupeaux avec les résultats de performances individuelles issus des bases de données nationales (performances de production, reproduction…), et les a comparées à une référence sans complémentation en lin. Les données alimentaires ont été collectées par Valorex et une vingtaine de partenaires fabricants d’aliments.
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"Nourrir avec des concentrés pour des rendements maximum ne garantit pas le profit." C'était le message clé de Teagasc.
Selon Teagasc, le besoin alimentaire de base pour une vache laitière est de 2,8-3,2% du poids corporel total en matière sèche. Elle a également besoin de: 0,9-0,95 UFL / kg MS ; 90-105 g de PDI / kg MS et 300-350g / kg MS de NDF (fibre).
Cependant, comment l'agriculteur peut-il atteindre ces objectifs au cours de l'hiver, tout en limitant les coûts ?
Les agriculteurs doivent connaître la qualité et la valeur nutritive de leur fourrage d'hiver et, par conséquent, ajuster la supplémentation en concentrés en conséquence.
Les concentrés peuvent non seulement réduire le profit, mais aussi avoir un effet négatif sur les performances de l'animal. Une supplémentation réduit l'efficacité de la digestion des fibres, ce qui entraîne une réponse négative du fourrage dans l'alimentation.
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[Diaporama] L’alimentation à la Harpagon : qu’en dit le terrain ?
L'alimentation de précision des vaches laitières : qu'en dit le terrain ?
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Au 2ème trimestre 2023, la production d’aliments pour bovins augmente de 5,2% par rapport au 2ème trimestre 2022. Les aliments pour vaches laitières et pour autres bovins augmentent conjointement de 5,2%. Le prix des aliments composés pour bovins au 2ème trimestre reste supérieur de 3% à celui de 2022…
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Le groupe agroalimentaire Avril, géant français des huiles et protéines végétales, est entré en négociation exclusive avec le groupe coopératif agricole Axéréal en vue du rachat de l'ensemble de ses activités de nutrition animale, ont annoncé mercredi les deux groupes dans un communiqué commun.
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Les effets de l’influenza aviaire et de la décapitalisation des cheptels ruminants et porcins pourraient mener à une baisse de la production d’aliments de l’ordre de 1,2 Mt en 2022. « Ça correspond à peu près à 15 usines de production d’alimentation animale qui risquent de fermer »…
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Au travers du projet Harpagon, l'Institut de l'élevage se penche sur l'alimentation de précision des vaches laitières. Et si on distribuait le concentré de façon individuelle mais plus seulement selon le stade de lactation ? Un essai est actuellement en cours à la ferme des Trinottières…
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Après l’usine du Mans, Sanders et Agrial mettent deux autres sites en commun dans leur filiale commune ASO Nutrition…
Mi-juin, ASO Nutrition, la co-entreprise industrielle de Sanders (60%) et Agrial (40%) s’agrandit en s’enrichissant de deux nouveaux sites. Ce sont les unités Sanders de Boussay (44) que la filiale du groupe Avril a converti au Bio en novembre dernier et d’Agrial à Vern sur Seiche (35) qui rejoignent ASO Nutrition…
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Si la production se maintient, la fabrication d'aliment via des coproduits place les alimentiers dans une situation de dépendance vis-à-vis des autres industriels, qui les conduit à sans cesse devoir s'adapter…
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Le chiffre : +100 euros/tonne. C’est la hausse annoncée par la Coopération agricole nutrition animale et le Syndicat national des industriels de la nutrition animale pour le prix de l’aliment du bétail entre avril et juin 2022. Cette prochaine flambée des tarifs est la conséquence directe de la guerre en Ukraine…
« Elle nécessite une répercussion sur tous les maillons des filières animales jusqu’au consommateur final, condition indispensable pour la pérennité des filières animales », expliquent ces industriels. Et de rappeler également le rôle clé que jouait l’Ukraine pour la fourniture de protéines non OGM grâce à sa production de tourteaux de tournesol…
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« Le conflit qui se déroule actuellement en Ukraine a des répercussions importantes sur les filières animales et notamment sur l’alimentation des animaux, conséquence de la hausse du prix de l’énergie et des matières premières, mais également à cause d’une moindre disponibilité de certaines matières premières plus spécifiques, à commencer par les protéines non-OGM » Ces tensions sur le marché ont un impact fort sur les cotations. Ainsi, le prix du blé est monté à des niveaux historiques et, à date, est proche des 400 €/t. L’énergie est également touchée, l’Union européenne important une part importante de gaz depuis la Russie…
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L’Inrae du Pin-au-Haras teste au pâturage, sur 150 vaches holsteins, normandes et jersiaises, trois conduites de concentré de production : une expé lancée en janvier 2020 pour six ans…
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FeedMarket.fr est une plateforme d’e-commerce destinée à répondre d’une part à la digitalisation des pratiques commerciales agricoles et d’autre part à la demande directe croissante des éleveurs à la recherche d’économie et d’aide au pilotage des achats de matières premières. FeedMarket.fr propose à la commercialisation des tourteaux riches en protéines et des huiles végétales brutes. …
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