Les cas de bad buzz dans l’industrie alimentaire ne manquent pas | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Nestlé, Ferrero, Lactalis, Findus… Les cas de bad buzz dans l’industrie alimentaire ne manquent pas. Et pour cause, dès que l’on touche à la santé des consommateurs, le potentiel de viralité et de reprises médiatiques explose. Les crises Buitoni et Kinder, derniers exemples en date, prouvent, une fois encore, que le secteur alimentaire est extrêmement sensible aux crises…


Visibrain, l’outil de veille des réseaux sociaux, publie une étude «Crises et industrie alimentaire : les leçons à tirer» et dévoile les 5 enseignements à retenir pour les marques en cas de crise…


• Une crise peut marquer durablement l’image d’une entreprise

• Un bad buzz peut en cacher un autre. Un bad buzz n’arrive pas par hasard. Il est souvent le fruit d’une cause plus profonde qui remonte à la surface une fois que la crise explose

• Une polémique peut aussi éclabousser tout un groupe ou un secteur, au-delà de la marque ciblée

• etc…