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Depuis février 2023, l’Organisation des Producteurs du Sud-Ouest Laitier (OP SOL) livre son lait à la fromagerie des Chaumes (Savencia), « débouché local et durable, gage de pérennité pour ses 140 éleveurs,130 fermes laitières ». La fromagerie sécurise ainsi son approvisionnement avec un doublement des volumes traités à terme…
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La Coopal, coopérative laitière dans le Massif central, a repris une collecte de 20 millions de litres à son compte, suite au désengagement de la SLVA, filiale de Terra Lacta.
La Société laitière des volcans d’Auvergne (SLVA, groupe Terra Lacta) avait dénoncé le 31 décembre 2021 le contrat qui la liait à la Coopal, coopérative laitière représentant près de 300 adhérents situés en grande majorité en zone de montagne, en Haute-Loire, Puy-de-Dôme, Creuse, Corrèze, Allier, Cantal…
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Dans la perspective d’un futur accord cadre, OPLGO a négocié la mise en place d’une mesure de lissage technique applicable dès cette fin de campagne laitière (2017/2018). Ce lissage technique de fin de campagne permet ainsi à tout producteur dépassant de moins de 2% son volume contractuel de ne pas payer de pénalités au titre de la campagne en cours, et ce, dès le 31 mars 2018. En contre partie, ce dépassement sera déduit de la campagne suivante. Nous attirons votre attention sur le fait qu’un dépassement de plus de 2% annule le dispositif. Le producteur concerné sera ainsi redevable d’une pénalité correspondant à la totalité du dépassement dès le premier litre au-delà de son volume contractuel notifié.
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En annonçant un prix à 350 euros/1 000 litres sur l’année 2018, ainsi qu’une modification de son cahier des charges, le groupe Bel s’est d’emblée placé au-dessus des débats. Ses choix auront des répercussions, chez ses livreurs, voire au-delà.
Bel a annoncé, il y a un quinze jours, l’accord trouvé avec la principale OP : un lait payé à 350 € sur 2018, assorti d’une prime de 21 €/1 000 litres pour respecter de nouveaux critères “lait de pâturage” (15 €) et alimentation “sans OGM” (6 €). Une charte viendra compléter plus largement le futur cahier des charges sur les aspects d’environnement, de “bien-être animal” et de relocalisation de la production (par les fourrages).
Aujourd’hui, tout le lait Bel vient de l’Ouest de la France. 85 % de la collecte sont fournis par l’APBO, qui regroupe 80 % des exploitations qui livrent chez Bel. “80 à 90 % des élevages” devraient pouvoir répondre aux 150 jours de pâturage. Le “sans OGM” sera imposé partout.
Jusqu’ici, “Bel n’a jamais obligé un éleveur à intégrer une OP”. Mais l’accord signé avec l’APBO implique que le lait demandé par Bel répondra à un cahier des charges, et que le respect de ces critères, agréés par un organisme certificateur, sera de la responsabilité de l’OP. Ce qui signifie que pour pouvoir toucher la prime de 21 euros, tout éleveur devra adhérer à cette OP.
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Réagissant au bilan de la première phase de dépôt des demandes d’aides à la réduction de la production laitière, l’OP France Milk Board Grand Ouest estime qu’il s’agit d’un signe fort vers davantage de régulation et d’organisation.
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Savencia (ex Bongrain) va proposer une prime de 20 €/1 000 L aux producteurs, si chacune des 12 OP du groupe parvient à réduire sa production de lait de 6 % sur les mois d’avril, mai et juin.
Le challenge est important pour les producteurs de l’association Cle-P&S Ouest, qui tenaient leur assemblée générale le 1er avril à Saint-James. « Nous devons freiner notre production sur ces trois mois sur lesquels, en 2015, nous étions largement au-dessus des volumes de 2014 et 2013. Si les producteurs ne jouent pas le jeu, tout le monde sera pénalisé au niveau national », a précisé Denis Berranger, président de l’OP Cle-P&S Ouest.
En chiffres : Créée en 2011, l’OP Cle-P&S Ouest rassemble 740 exploitations d’Ille-et-Vilaine, Manche, Orne, Calvados et Mayenne, produisant 318 millions de L de lait. La majorité des sites de production se trouvent en Ille-et-Vilaine (420) et Manche (260)....
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Lactalis : Les éleveurs des OP du Grand ouest peuvent dépasser leur volume contractuel…
… à certaines conditions ! Pour les adhérents de l’OPNC, de l’OPLGO et de l’APLBL, le dépassement sera toléré jusqu’à hauteur de 2%. Sinon il sera payé moins cher : - dépassement de 2 à 10% : pénalité de 100€ dès le 1er litre de dépassement - au-delà de 10% : pénalité de 100€ jusqu’à 10%, de 286€ au-delà…
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Danone a signé un accord de fin de contrat avec l’OP SOL. Le groupe souhaite convertir son usine de transformation laitière de Villecomtal-sur-Arros dans le Gers en un site de production de boissons végétales…
Une autre question est en suspens : à qui vendre les 80 millions de litres de lait que Danone ne leur achètera plus chaque année ? La difficulté est d'autant plus grande que ces près de 200 fermiers sont répartis sur six départements : Haute-Garonne, Gers, Landes, Lot, Pyrénées-Atlantiques et Hautes-Pyrénées…
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Collecte. Le groupe veut en finir avec ses 10 % d’excédents. Les OP doivent accélérer la réduction des références.... Première cible qu’autorisent les contrats : les producteurs en sous-réalisation, c’est-à-dire livrant 85 % de leur volume contractuel, ou moins en moyenne sur deux ans. Le 1er avril 2017, en Haute-Normandie, la référence de 60 producteurs est abaissée au niveau de leur sous-réalisation, « puis revalorisée de 3 %, précise l’OP. Ce sont 6 à 7 Ml de références en moins ». Dans le Sud-Est, selon l’OP (130 Ml), l’industriel veut geler 5 Ml prélevés auprès de 84 producteurs.
Pour mettre en adéquation références et laits collectés, le groupe s’attaque aussi aux sous-réalisations moins importantes...
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L’organisation de producteurs Danone Sud-Est a saisi le médiateur des relations commerciales agricoles le 14 novembre dernier. En cause, la volonté de l’industriel « d’accélérer la baisse des volumes collectés ».
Danone confirme sa volonté de réduire sa collecte. L’accord avec ses organisations de producteurs (OP), signé en février dernier, prévoyait une baisse annuelle des volumes livrés de 2 %. Mais pour l’usine de Saint-Just-Chaleyssin dans l’Isère, l’industriel semble vouloir accélérer le pas.
« Sur la zone, 200 millions de litres de lait sont collectés chaque année, affirme Jean-Robin Brosse, le président de l’OP Danone Sud-Est. Danone a annoncé vouloir réduire la collecte de 40 millions de litres. Cela ne correspond pas aux volumes initialement conclus au sortir des quotas, en juin 2015. »
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L'Union européenne autorise, le 12 avril 2016, les producteurs laitiers à déroger aux règles de la concurrence pour répondre à la crise du secteur.
"Les organisations de producteurs reconnues, leurs associations et les organisations interprofessionnelles reconnues dans le secteur du lait et des produits laitiers sont autorisées à conclure des accords volontaires conjoints et à adopter des décisions communes sur la planification du volume de lait à produire durant une période de six mois", stipule l'acte d'exécution de la Commission.
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Les accords trouvés portent sur l'évolution de la formule de prix du contrat d'approvisionnement laitier. Ils sont assortis d'une réduction des volumes contractualisés.
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