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L’Union européenne veut améliorer la position des agriculteurs européens au sein des filières et suggère la création d'un observatoire des coûts de production, des marges et des pratiques commerciales…
Cet observatoire permettrait de disposer de données fiables et transparentes sur le fonctionnement de la chaîne alimentaire. Il devrait tenir sa première réunion cet été et prendra la forme d’un groupe d’experts et réunira la Commission ; les états membres et des acteurs privés. Les membres de l'Observatoire seront sélectionnés au moyen d'un appel à candidatures ouvert…
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Coûts de production en élevage, prix du lait payé au producteur, prix des produits laitiers en magasins, etc. : en trois ans, le référentiel de coûts et de prix a augmenté de 30 % au sein de la filière laitière. Ce qui, avec le ralentissement de l'inflation, pourrait laisser craindre des ciseaux de prix…
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Les prix des engrais et de l'énergie demeurent en forte baisse sur un an (-32,9 % et 12,8 %) mais restent élevés ; celui des aliments pour animaux est en baisse plus modérée (vaches laitières -3,8%). Le prix des intrants baisse quelle que soit l’orientation de la production…
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Juillet 2022, première baisse mensuelle du prix des intrants depuis septembre 2020. Les prix de l’énergie et des engrais marquent le pas, alors que les aliments pour animaux continuent de s’apprécier…
« En juillet 2022, pour la première fois depuis septembre 2020, le prix d’achat des intrants baisse sur un mois » (-0,7%). En dépit de ce repli, le prix des intrants demeure néanmoins « supérieur au niveau de juillet 2021 de 29,2%, après +31,7% en juin. Ce retournement est lié notamment à la baisse sur un mois des prix des engrais et de ceux de l’énergie. » Sur un an, le prix des intrants progresse dans toutes les catégories d’exploitations agricoles, de +26,1% en bovin lait et +26,2% en bovin viande…
« Le prix de l’énergie et des lubrifiants est en nette baisse sur un mois (-7,9%) mais reste en forte hausse sur un an (+47,8%), dans un contexte d’augmentation de la production de pétrole en juin et juillet par les pays de l’OPEP et d’embargo progressif de l’UE sur le pétrole russe d’ici fin 2022. »…
« En juillet 2022, le prix des aliments pour animaux augmente (+1,9% par rapport à juin) et reste à un niveau nettement supérieur à celui de juillet 2021 (+29,7%), en lien avec la hausse du prix des céréales et des oléagineux. En particulier, le prix des aliments pour vaches laitières de 27,4%. »…
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En avril 2022, le prix d’achat des intrants continue d’augmenter, avec +29,2 % par rapport à avril 2021 (après +28,7 % en mars) ; comme les mois précédents, ce sont les prix des engrais et ceux de l’énergie qui augmentent le plus fortement sur un an, avec respectivement +108,6 % et +49,8 %... En avril 2022, le prix des aliments pour animaux augmente (+5,8% par rapport à mars), et reste nettement supérieur à celui d’avril 2021 (+23,6%). Celui des aliments pour vaches laitières de 22,6% sur un an…
La flambée des prix des concentrés, des engrais ainsi que de l’énergie pourraitentraîner une hausse des charges allant, pour une exploitation moyenne, jusqu’à 61 euros pour 1 000 litres, calcule l’Idele...
Via IDELE Institut de l'Elevage
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CUISINE. Comprendre, avec une recette simple, ce qui attend les consommateurs en termes de hausse des prix...
Une fois n’est pas coutume, mettons littéralement la main à la pâte pour un exercice pratique de compréhension de l’inflation alimentaire.
Faisons simple : cuisinons un Quatre-quarts. Recette de base : 250 grammes de farine, autant de sucre et de beurre, quatre œufs…
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Le distributeur Système U est favorable à la détermination de « prix référents » pour les principales matières premières agricoles (lait, porc, boeuf) vendues en grande surface, a dit mercredi son patron, Serge Papin devant des agriculteurs.
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Président de l'Observatoire de la formation des prix, Philippe Chalmin a éreinté la notion de «juste prix» développée pendant les États généraux de l'alimentation. Verbatim.
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A huit jours de l’ultimatum d’Agrial qui pourrait les priver de collecte après le 31 janvier, les 105 producteurs de l’OP Guilloteau publient une lettre ouverte reproduite ci-après. Au-delà de leurs revendications, elle pose la problématique de la prise en compte très concrète des coûts de production dans le prix du lait pour un groupe, de surcroît coopératif, travaillant du lait collecté en zone de plaine et de montagne.
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Basées sur les contrats à terme, les projections de prix du lait pour 2018 sont peu optimistes, avec peu de perspectives d'amélioration des prix. Selon la Penn State University, 17,50 $ par quintal représente la valeur de 2018 pour le lait liquide.
Si ces prévisions se réalisent, la majorité des producteurs laitiers de Pennsylvanie devront avoir un coût de production inférieur à 17,50 $ par quintal, ce qui posera un défi important à de nombreux éleveurs.
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Le prix payé à la production du lait d'industrie - qui sert à la production de lait de consommation, de crème, yaourt, beurre et poudre de lait - est inacceptable, selon Uniterre. "Il ne dépasse guère les 55 centimes par kilo en moyenne nationale et couvre à peine la moitié des coûts de production, malgré l’apport des paiements directs". En 20 ans, le prix de la brique de lait a baissé de 10% pour le consommateur, mais le prix a chuté de près de 50% pour les producteurs. "Cette situation n’est plus tenable pour les familles paysannes"
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La récente flambée du prix du beurre ne sort pas de la crise les producteurs laitiers, qui obtiennent toujours des prix inférieurs à leurs coûts de production, a averti jeudi l’European Milk Board (EMB). L’organisation regroupant des producteurs laitiers a organisé une action symbolique devant la Commission européenne pour demander un instrument légal, dans l’UE, de réduction volontaire des volumes de lait...
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Prix des intrants en décembre 2023 : -1,4% sur un mois, -9,7% sur un an
Le prix des engrais demeure en très forte baisse sur un an (- 36,6%) mais reste élevé ; celui de l’énergie baisse légèrement sur un an (- 0,5%) et celui des aliments pour animaux baisse fortement sur un an (- 11,3%)… La nette baisse du prix des intrants sur un an concerne toutes les exploitations agricoles, quelles que soient les orientations de production…
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« La nette baisse du prix des intrants en novembre sur un an concerne toutes les exploitations agricoles, quelles que soient les orientations de production » : -8,1% en bovin lait… « En novembre 2023, le prix d’achat des intrants pour l’activité agricole baisse de nouveau sur un mois (-1,2%, après -0,5% en octobre). Il reste inférieur de 9,7% au niveau de novembre 2022, après -9,4% en octobre sur un an. »… « Le prix des engrais demeure en forte baisse sur un an (-37%) mais reste élevé ; celui de l’énergie connaît une nouvelle baisse sur un an (-3,2%) ; celui des aliments pour animaux est en forte baisse sur un an (-10,4%) » – dont -9,5% pour les aliments vaches laitières…
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Aujourd’hui, le marché des génisses amouillantes ou vaches en lactation est porteur, avec des prix de 1 700 à 2 000 €, selon le potentiel génétique. C’est un marché d’opportunité. Il y a 18 mois, elles valaient de 1 100 à 1 300 €. Faut-il changer de stratégie et se remettre à élever des génisses ?
Une génisse coûte en moyenne aujourd'hui 1 366 € à élever (de la naissance au vêlage). Son prix de vente est actuellement au plus haut (jusqu'à 2 000 €), alors faut-il en élever plus pour les vendre ? Seulement si la situation le permet (places en bâtiment, stock de fourrage, main d'œuvre...)…
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"Le mouvement chez nous est enclenché, on a signé un contrat avec tous les producteurs de lait", a expliqué Dominique Schelcher. "Au mois de septembre, tous les laits de la marque U vont augmenter. La décision est prise, on va se rapprocher de 1 euro le litre. On aura encore un lait premier prix qui sera un peu moins cher pour l'instant, mais la discussion continue. A terme, (le litre de lait à moins d'un euro) ce n'est pas tenable, c'est l'appel (que les producteurs) nous font."
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Selon deux niveaux d'hypothèses de prix retenus par l'Institut de l'Elevage, l’impact des achats d'aliments et de carburants sur le coût de production du lait bio de plaine en 2022 pourrait se situer entre +10 €/1000 l et +35 €/1000 l.
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La forte hausse des prix des matières premières tout au long de l’année 2021 et début 2022 s’est transformée en véritable flambée au lendemain de l’invasion russe de l’Ukraine. La présente note vise à évaluer l’impact de la hausse des coûts sur 3 postes particuliers : aliments achetés ; carburant et travaux par tiers ; engrais de synthèse sur les différents systèmes d’élevage ruminant…
Face à la volatilité des marchés, nous avons choisi de construire 2 jeux d’hypothèses de prix et d’en calculer l’impact toutes choses égales par ailleurs sur les élevages spécialisés : bovins lait ; bovins viande ; ovins viande ; ovins lait et caprins, au sein de l’échantillon des élevages suivis dans le Réseau INOSYS. Rappelons à ce sujet que cet échantillon est construit pour sélectionner des fermes aux performances technico-économiques bien supérieures à la moyenne des fermes françaises…
Ces impacts sont établis en € par 1000 l de lait ou par kg de viande. Ils sont aussi comparés aux revenus par UMO estimés en 2021. Enfin, pour faciliter les calculs selon les variations ultérieures des cours des matières premières, ils sont exprimés relativement à une variation de 10 cts/l de GNR, ou de 100 € par tonne d’aliment acheté ou d’engrais azoté….
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Les mois se succèdent et se ressemblent. En janvier 2022, on assiste à une nouvelle augmentation du prix d’achat des intrants : +20,6 % par rapport à janvier 2021, après +19,7 % en décembre 2021. Les prix des engrais et de l’énergie sont ceux qui augmentent le plus fortement sur un an, avec respectivement +87,7 % et +34,2 %, rapporte Agreste…
• Les engrais atteignent des niveaux records : + 87,7 % sur un an
• Forte hausse également pour l’énergie et les lubrifiants +34,2 % (GNR + 58,4 %)
• Les prix de l’alimentation animale décollent : vaches laitières + 13,2 %
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Le prix du lait, 5,10 rands (34 cents d'euros) en décembre 2017, a atteint son plus haut niveau depuis 2014. Selon l’association des producteurs de lait (MPO – Milk Producer Association), le point positif essentiel est la baisse de prix des aliments pour bétail (maïs et soja) qui ont chuté de moitié entre juin 2016 (5 000 rands la tonne) et décembre 2017 (de 2 500 à 3 000 rands la t). Globalement, la production sud-africaine de lait sera en hausse d’environ 2% en 2017.
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En janvier 2018, le prix d’achat des moyens de production agricole est reparti à la hausse après une brève stabilisation le mois précédent. C’est ce que constate le ministère de l’Agriculture dans une note Agreste publiée le 14 mars 2018.
Le prix de l’énergie, des lubrifiants et des aliments pour animaux a progressé par rapport au mois précédent. La hausse des prix des engrais et amendements s’est poursuivie pour le cinquième mois consécutif.
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La plupart des fermes laitières néo-zélandaises devraient être rentables au cours de la saison 2017-18, mais elles restent plus endettées que les autres secteurs agricoles. Les prix mondiaux des produits laitiers ont baissé ces derniers mois, mais restent bien au-dessus de leurs niveaux de mi-2016 et les prêts au secteur laitier ont diminué.
Fonterra a prévu des prix du lait de 6,75$/kg pour la saison en cours, contre 6,12$/kg en 2016-2017. Même si les économistes s'attendent à une révision à la baisse vers 6,25 $ à 6,50 $/kg, Dairy NZ estime le seuil de rentabilité à environ 5,20 $ à 5,25 $ / kg.
La dette agricole avait explosé lorsque les prix ont chuté à 3,90 $/kg en 2014-2015 et à 4,40 /kg en 2015-2016.
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En visite en Allemagne, des producteurs de lait belges et français, membres de l’European Milk Board, font le même constat : les difficultés à répercuter les coûts de production dans le prix du lait sont les mêmes en France, en Allemagne ou en Belgique. Selon eux, le combat de l’intégration de ces coûts dans les prix d’achat du lait doit se faire collectivement au niveau européen et non pas individuellement dans chaque État membre...
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Producteur de lait à Carnet dans le sud Manche, Landry Rivière est membre de la commission «Communication» de Sunlait. Acteur des débats dans le cadre des EGA, il veut voir la co-construction de la filière laitière aboutir...
Une nouvelle formule de prix stoppée :
«Contrairement à ce que l’on peut observer dans de très grands groupes laitiers, Sunlait est reconnu par Savencia avec de réelles avancées acquises dans le passé. Le climat est constructif. Nous nous retrouvons tous les trimestres dans le cadre de réelles négociations pour parler contractualisation, prix, qualité, volume (...)», admet Landry Rivière.
En juin dernier, un protocole sur une nouvelle formule de calcul du prix du lait a même été signé. Il devait entrer en application sur le second semestre pour expertise et vérifier qu’il aboutissait à du «gagnant-gagnant». Une formule plus réactive, qui tenait compte de l’évolution du mixte produit, qui tenait compte de la marge des producteurs...
Pas encore sans doute un aboutissement mais ce qui aurait presque pu se faire de mieux.
Mais «patatras» le 27 septembre. Cinq jours avant les EGA lait, le protocole est dénoncé pas Savencia. «Nous n’arrivons pas à faire passer les hausses auprès des GMS (Grandes et Moyennes Surfaces» en guise de justification.
«Alors quand Daniel Chevreul dit à Caen qu’il faut discuter avec des OP fortes et fédérées, il a raison et c’est ce qu’il fait. Nous avons de vraies discussions. Ce n’est pas le copinage que nous pratiquons mais un vrai travail de fond depuis 5 ans. On passe du temps à co-construire une nouvelle formule qui correspond à la valorisation de l’entreprise mais le marché fait qu’on ne peut pas l’appliquer».
320 € eu lieu de 340 € : Voilà ce que voulait dénoncer publiquement Landry Rivière. «A quoi bon se battre sur une nouvelle formule si c’est pour s’aligner sur les moins-disants derrière?», s’interroge-t-il.
Tout n’est pas perdu pour autant. Le 11 octobre dernier, Sunlait a saisi le médiateur. Cela a permis de revenir à meilleure fortune sans faire pour autant affoler les compteurs : 332 € en novembre et 342 € en décembre.
«Mais il nous manque toujours les 20 € d’octobre». Les 1 000 litres ont été payés 320 € alors que la nouvelle formule affichait 340 €. Et de conclure: «il faut que la GMS et la transformation acceptent une meilleure répartition de la valeur ajoutée. Ce serait la meilleure façon de sortir par le haut des EGA».
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