Le coût de production du lait en janvier 2024 était de 47,66 cts/kg, soit presque autant qu'en octobre 2023 (47,92 cts). Par rapport à 2023, le coût de janvier 2024 est en hausse de 2,66% (+1,30 cts). Le prix du lait en janvier était de 43,92 cts…
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Le coût de production du lait en janvier 2024 était de 47,66 cts/kg, soit presque autant qu'en octobre 2023 (47,92 cts). Par rapport à 2023, le coût de janvier 2024 est en hausse de 2,66% (+1,30 cts). Le prix du lait en janvier était de 43,92 cts… No comment yet.
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Des prix qui respectent le coût de production, c’est l’engagement de Métro auprès des éleveurs bovins qui inscrivent leur production dans la démarche « Eleveur & Engagé»… En contrepartie d’un prix plus juste (80% du prix payé au producteur tient compte du coût de production des éleveurs et 20% est calé sur le prix du marché), la démarche “Éleveur & Engagé” se fonde sur un élevage herbager et à taille humaine… Des critères sont fixés comme l’âge (8 ans maximum), l’état d’engraissement de l’animal, ou encore la maturation de la viande qui doit durer 10 jours minimum. Le projet qui s’inscrit dans une démarche locale est actuellement en place dans 15 halles Métro et a vocation à se développer. Dans le cadre de ce partenariat, deux abattoirs sont mandatés par Metro France. Il s’agit de Puigrenier et d’Eva. L’organisation de producteurs Elvea s’assure quant à elle du transfert du complément de prix auprès des éleveurs mobilisés dans la démarche...
Cedric's insight:
Le coût de production d’un jeune bovin est estimé à 6 €/kg par l’interprofession et se négocie sur le marché à 5,20€…
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Coûts de production en élevage, prix du lait payé au producteur, prix des produits laitiers en magasins, etc. : en trois ans, le référentiel de coûts et de prix a augmenté de 30 % au sein de la filière laitière. Ce qui, avec le ralentissement de l'inflation, pourrait laisser craindre des ciseaux de prix…
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La production laitière néo-zélandaise repose sur des vaches en pâturage intensif toute l’année. Les systèmes sont simples, rationnalisés et basés sur une forte productivité de l’herbe. Néanmoins, les systèmes intensifs à l’herbe nécessitent de très fortes doses de fertilisation azotée et la distribution croissante d’aliments concentrés…
Depuis le début des années 2000, les coûts de production n’ont cessé d’augmenter. Ils sont passés d’environ 180 €/1 000 l dans les années 2000 à plus de 300 € en 2021. Les charges opérationnelles ont plus que doublé dans cet intervalle de temps. Elles représentaient 63% en 2000 et désormais elles atteignent les 75% du coût de production…
Le poste d’alimentation est celui qui a augmenté le plus rapidement. Il atteint 94 €/1 000 l en 2021-22 soit x4,5 depuis 2000 (21 €) et quasiment x2 depuis 2007 (59 €). Cette hausse est liée à l’augmentation du recours aux compléments notamment les tourteaux de façon à sécuriser l’approvisionnement des troupeaux en cas de problèmes météo et augmenter les rendements laitiers.
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« La seule chose que nous avons à faible coût, c’est notre herbe », selon le directeur politique de l’Association des agriculteurs irlandais (IFA), Tadhg Buckley…
Buckley a déclaré qu'en comparant les coûts de production avec ceux d'autres pays européens, l'Irlande semble être un endroit idéal. Mais en réalité « ce n’est pas le cas – l’Irlande est en fait l’un des pays où les coûts sont les plus élevés au monde »…
L'Irlande a le deuxième salaire minimum le plus élevé d'Europe et l'un des coûts d'électricité les plus élevés. Le prix du lait en Irlande est inférieur à celui de l'Europe, ce qui est dû au modèle de production basé sur l'herbe. Le maintien de la dérogation sur les nitrates est une priorité et constitue notre avantage concurrentiel, « sans cela, nous allons effectivement tuer la poule aux œufs d'or »…
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L’anticipation de la date butoir des négociations commerciales entre transformateurs et distributeurs « poursuit l’objectif de baisses de prix »…
« Alors que les lois Egalim successives ont instauré une construction du prix en marche avant pour une juste rémunération des producteurs, le législateur prend le risque d’une pression accrue sur les OP dans le secteur laitier pour faire évoluer les prix à la baisse »…
Le projet de loi visant à avancer la date de fin des négociations commerciales « risque d’entériner une sorte d’Egalim inversée, avec une répercussion des baisses de prix de l’aval à l’amont »….
« Nombre d’OP se battent encore pour l’application des grands principes d’Egalim, à savoir la prise en compte des coûts de production et la construction du prix en marche avant. Il est faux de croire que les coûts de production sont systématiquement pris en compte dans les négociations entre industriels et grande distribution. La justification du prix payé au producteur suffit, peu importe que les coûts de production soient réellement pris en compte ».
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Si les coûts de production et le prix du lait ont permis la rémunération des producteurs en 2022, c’est fini depuis avril 2023. Et la situation s’est encore dégradée ensuite…
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Le coût de production du lait augmente de 15€/1000 L en moyenne pour les clôtures du 2e trimestre 2022 et de 39€ au 1er trimestre 2023. En moyenne, le prix de vente du lait permet de couvrir le prix de revient, ce qui n’était pas le cas l’année précédente : le prix du lait permet de rémunérer les facteurs de production, dont la main d’œuvre à hauteur de 2 SMIC. Cela s’observe pour près de 7 exploitations sur 10…
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Cultiver les surfaces fourragères est rentable à condition d’atteindre certains seuils de rendement. C’est ce que montre une étude de la chambre d’agriculture du Cantal. La culture du méteil engage de faibles coûts, mais son intérêt économique est à relativiser par rapport à sa valeur alimentaire…
Sans surprise, les prairies naturelles pâturées sortent parmi les surfaces fourragères qui permettent de dégager la meilleure marge à l’hectare. Avoir recours au pâturage à chaque fois que c’est possible est toujours une bonne option. « Mais aujourd’hui, diversifier son assolement et son système fourrager renforce la résilience du système face aux aléas »…
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Le prix moyen du lait irlandais pour 2023 devrait désormais être inférieur de 25 % à la moyenne de l'année dernière, selon l'évaluation de mi-année de Teagasc…
Le rapport montre que le revenu moyen des exploitations laitières devrait être de 70 000 € en 2023, contre plus de 150 000 € l'année dernière. Le coût total moyen de production de lait par litre en 2023 devrait être similaire à celui de l'année dernière à 36c/L…
En 2023, Teagasc a déclaré que la ferme laitière irlandaise moyenne devrait voir une marge nette de près de 9c/L, soit une baisse de plus de 60 % par rapport au niveau de 2022…
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L’Union européenne veut améliorer la position des agriculteurs européens au sein des filières et suggère la création d'un observatoire des coûts de production, des marges et des pratiques commerciales…
Cet observatoire permettrait de disposer de données fiables et transparentes sur le fonctionnement de la chaîne alimentaire. Il devrait tenir sa première réunion cet été et prendra la forme d’un groupe d’experts et réunira la Commission ; les états membres et des acteurs privés. Les membres de l'Observatoire seront sélectionnés au moyen d'un appel à candidatures ouvert…
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Les prix du lait bio sont relativement stables depuis des mois et oscillent entre 54,5 et 56,6 centimes en moyenne (4% de matières grasses, 3,4% de protéines). Selon les calculs des associations biologiques Bioland et Naturland, les producteurs laitiers biologiques exigent un prix à la production de 69,6 centimes par kilogramme de lait cru. L'écart entre les revenus et les coûts était de près de 14 centimes en décembre !
Les laiteries biologiques paient le lait biologique à des prix quasiment inchangés depuis mi-2023. En janvier, il diminue même légèrement. Les associations bio affirment que ces prix ne couvrent pas les coûts. L'écart entre les revenus et les coûts était de près de 14 centimes en décembre ! La quantité de lait biologique a continué de croître…
Le début de l’année 2024 n’a pas non plus apporté la reprise espérée. Selon les données disponibles, la plupart des laiteries bios ont laissé leurs prix inchangés en janvier – au moins deux ont même légèrement abaissé leurs prix de distribution en janvier. Une évolution donc similaire à celle du secteur conventionnel, où certaines laiteries ont également fait baisser les prix en janvier…
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Les indicateurs interprofessionnels de coûts de production et de prix de revient seront désormais publiés en septembre. De quoi permettre aux OP et aux industriels d’objectiver leur négociation sur le prix du lait en amont des négociations commerciales entre la grande distribution et leurs fournisseurs…
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En 2023, pour la deuxième année consécutive, de nombreux producteurs laitiers d’Émilie-Romagne qui fournissent la matière première du parmesan ont clôturé leur bilan en perte. À l’heure où les ventes du célèbre fromage se portent très bien, ce paradoxe intrigue…
“Entre janvier et novembre 2023, les ventes de Parmigiano Reggiano ont augmenté de 8% par rapport à l’année précédente : 4 millions de meules ont été vendues, avec une augmentation de 10,2% en Italie et de 5,2% à l’étranger.”…
Problème, les excellents résultats du parmesan n’apportent pas de bénéfices tangibles à ceux qui sont à la base de la chaîne de production, puisque, “au cours de ces deux dernières années, de très nombreux éleveurs qui fournissent le lait nécessaire à la fabrication du Parmigiano Reggiano ont clôturé leur bilan en perte”…
Le prix de gros du Parmigiano Reggiano entre janvier et septembre, “est en baisse de 5,2% en 2023 par rapport à 2022”. Pourtant, le prix final au détail est resté pratiquement le même, ce qui signifie que la grande distribution paie moins les opérateurs du secteur et augmente ainsi ses profits…
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Soit 1,81 cts/kg de moins qu'en juillet 2023. L'indice du prix lait est revenu à 116, comme en janvier 2023. Le rapport prix-coûts s'est également légèrement amélioré. Avec une valeur de 0,86, les coûts et les revenus restent très disproportionnés…
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Les coûts de production de lait bio s'élevaient à 68,95 cts/kg pour la campagne de commercialisation 2022/23, en hausse de 2,64 cts par rapport à l'année précédente. Toutefois, les prix du lait bio ont également augmenté de 15% par rapport à l'année précédente, passant de 52,31 à 60,36 cts, ne couvrant que 88% des coûts de production…
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Le prix de revient est la différence entre le coût de production de l’atelier lait et le montant des aides et des autres produits affectés à cet atelier. Il constitue un point de comparaison avec le prix du lait à teneur réelle…
Travail à échantillon constant sur 2 ans, observatoires indépendants d’une année sur l’autre.
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• Toutes filières animales confondues, les principaux postes de charges d'exploitation sont en recul depuis le début de l'année
• En particulier, ce sont les prix de l'alimentation animale et les engrais qui ont diminué par rapport à l'an dernier
• MAIS les charges restent largement supérieures à la période pré-inflation : toutes filières confondues, elles ont augmenté de 27 % entre janvier 2021 et août 2023 !
• ET les charges liées à l'énergie sont reparties à la hausse depuis le début de l'été, et les récents évènements au Proche-Orient rendent d'autant plus improbable une détente des prix prochainement.
Côté bovin lait, l’indice Ipampa connaît un recul annuel de 2,5 % en août (de 136,8 en août 2022, il passe à 133,4 en août 2023). Ce recul est lié à parts égales à la baisse des indices « Aliments achetés » (-5,3 % ; représente près d’un tiers de l’indice Ipampa Bovin Lait) et « Engrais et amendements » (-34,4 % ; 5 % de l’indice Ipampa Bovin Lait) sur un an.
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Les Prés Rient Bio annonce mettre en place un contrat nouveau genre avec 50 éleveurs normands de l’Organisation de Producteurs de Lait Bio Seine et Loire, qui leur sécurise notamment un revenu indépendamment de la conjoncture…
Ce contrat conclu pour 5 ans renouvelables offre un prix plancher qui couvre « l’intégralité des coûts de production du lait, quels que soient les aléas, tels que l’inflation ou le climat, tout en intégrant une marge de sécurité de 10% », ce qui permet de sécuriser un revenu disponible moyen minimum de 2 SMIC, quelle que soit la conjoncture et les prix du marché »…
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Les associations Bioland et Naturland, représentant environ 50 % du lait bio produit en Allemagne avec plus de 13 000 membres, ont défini 67 centimes par kg de lait biologique comme prix indicatif, un prix qui couvre tous les coûts…
Les consultations des deux associations ont déterminé le prix d'orientation sur la base d'un calcul du coût complet. Les données du Conseil d'administration pour la technologie et la construction dans l'agriculture (KTBL) et d'autres institutions fédérales et étatiques ont servi de base au calcul. Les primes et les revenus supplémentaires, provenant par exemple de la vente d'animaux, ont été inclus…
« Nos fermes laitières biologiques paient actuellement la facture des hauts et des bas extrêmes des prix de détail de l'année dernière, ce qui a déstabilisé les consommateurs. » Mais surtout, de telles fluctuations extrêmes des ventes ne doivent pas affecter le paiement des producteurs. « Nos entreprises ont besoin d'un prix solide et constant afin de maintenir à long terme leurs normes élevées de durabilité dans la production de lait bio »…