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Les six membres de la Dairy Methane Action Alliance - Danone, Bel Group, General Mills, Lactalis USA, Kraft Heinz et Nestlé - commenceront à rendre compte de leurs émissions de méthane d'ici à la mi-2024 et rédigeront des plans d'action pour le méthane d'ici à la fin de l'année…
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Le méthane a 28 fois plus de "potentiel de réchauffement global" que le CO2…
Mais ceci masque le fait que le méthane a une forte influence réchauffante lors de sa première émission, qui diminue ensuite rapidement en quelques décennies. Des réactions chimiques provoquent son élimination de l'atmosphère, avec une demi-vie d'environ une décennie. Au bout de 100 ans, ce méthane ne provoque plus un fort réchauffement, car il a presque été totalement détruit…
En comparaison, une émission "équivalente" de CO2 persisterait effectivement dans l'atmosphère pendant des siècles ou plus, continuant à provoquer un réchauffement à peu près au même rythme que lorsqu'elle a été émise pour la première fois. Cela montre que les deux émissions ne sont pas vraiment équivalentes…
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Gaz à effet de serre : « Le CH4, c'est temporaire. Le CO2, c'est pour toujours »
On s'inquiète beaucoup de l'accélération des concentrations atmosphériques en CH4, mais le CO2 reste le principal moteur du réchauffement ces dernières années…
Le Food Climate Research Network (FCRN) de l'université d'Oxford (Grande-Bretagne) publie le 3 octobre un rapport qui tente d'éclairer le bilan en termes d'émissions de gaz à effet de serre des animaux d'élevage et la question de la séquestration du carbone dans le sol. L'étude Grazed and Confused ? s'attache à quantifier l'impact climatique net du bétail nourri à l'herbe afin d'éclairer le débat autour de la réduction des impacts du secteur agricole et des choix de production, en particulier en termes d'émissions de méthane, gaz à effet de serre au pouvoir de réchauffement global 28 fois plus élevé sur cent ans que le dioxyde de carbone.
Via CIHEAM News, IDELE Institut de l'Elevage
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L’élevage bovin a toute sa place dans un cercle vertueux du carbone. Face au méthane émis et à la consommation d’intrants, la production laitière permet de nourrir, de stocker du carbone dans ses prairies et son bocage. Quelques conseils pour alléger son bilan carbone et défendre sa production.
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Les règles approuvées visent une réduction de 40% du méthane et des gaz fluorés et une réduction de 50% des émissions de carbone noir non forestier d'ici 2030, en dessous des niveaux de 2013. Les règles entreront en vigueur en janvier 2018.
L'un des plus grands défis sera de trouver comment réduire les émissions des 1,4 millions de vaches laitières de l'État.
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La flambée depuis dix ans des émissions de méthane, un gaz à effet de serre plus nocif pour le climat que le CO2, risque de compromettre la lutte contre le réchauffement. Telle est la mise en garde faite cette semaine par des experts qui ont coordonné un bilan mondial mené par plus de 80 scientifiques de 15 pays.
Après un léger ralentissement entre 2000 et 2006, la concentration de méthane dans l’atmosphère a crû dix fois plus rapidement la décennie suivante, relève l‘étude parue dans le journal Earth System Science Data.
Pour l’instant, les scientifiques ont des suspects mais pas de coupables. Parmi les hypothèses : l’exploitation du charbon en Chine, des gaz de schiste aux États-Unis, mais aussi l’agriculture.
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Les nouveaux règlements sur les émissions de méthane pourraient tendre vers une Californie plus verte ou aigrir l'industrie laitière de l'État.
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Le modèle d’élevage breton produit des gaz à effet de serre (GES), mais stocke aussi beaucoup de carbone. L’élevage est une force. Le projet Carbon Dairy vise à sensibiliser les producteurs de lait à la réduction des gaz à effet de serre : l’activité d’élevage …
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Le principe de l'action du système digestif d'une vache a servi de modèle pour créer un conteneur qui reçoit les déchets organiques, principalement des effluents d'élevage, où il est mélangé avec des millions de bactéries pour obtenir du gaz naturel constitué principalement de méthane, appelé biogaz. Alex Eaton, un des créateurs du biodigesteur appelé Biobolsa, explique que les chercheurs veulent apporter ses bienfaits à de petits et moyens producteurs, qui produisent 99% de la nourriture du pays et 80% à l'échelle mondiale. « Nous avons visité les familles qui ont de petites exploitations de subsistance, ou moins d'une centaine de vaches laitières. Ces familles sont sans accès au crédit ou de financement. Ils font aussi le tissu social des zones rurales, comme les gardiens des bassins versants, de la terre et du sol . Ceci est une façon de leur donner les moyens dans le changement climatique, la gestion des sols, la sécurité alimentaire, la pollution de l'eau et plus. »...
Environ 32 tonnes de CO2 économisées depuis le début de l'année, soit l'équivalent de 470.000 km parcourus en voiture: quand elles rotent, les 40 vaches normandes de Marie-Françoise Brizard émettent moins de méthane que leurs congénères.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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Dans un pays comptant sept fois plus de têtes de bétail que d'habitants, la proposition de taxe sur les émissions de gaz à effet de serre issues de l'agriculture fait l'objet de vives contestations…
En Nouvelle-Zélande, les résidents à quatre pattes sont sept fois plus nombreux que ceux à deux pattes : 5 millions de citoyens pour 26 millions de moutons, et 10 millions de bovins. Le lait, la viande et la laine représentent plus de la moitié des exportations du pays.
Cependant, cette abondance a un coût pour l’environnement. La moitié des émissions de gaz à effet de serre de la Nouvelle-Zélande provient de l’agriculture, plus particulièrement du méthane et du protoxyde d’azote émanant des rots, de l’urine et des excréments du bétail.
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Le gouvernement néo-zélandais a proposé de taxer les GES produits par les animaux de ferme en rotant et en faisant pipi dans le cadre d’un plan de lutte contre le changement climatique. Les agriculteurs devraient être en mesure de récupérer le coût en facturant davantage pour des produits respectueux du climat…
Le gouvernement s’est engagé à rendre le pays neutre en carbone d’ici 2050. Une partie de ce plan comprend l’engagement de réduire les émissions de méthane des animaux de ferme de 10 % d’ici 2030 et jusqu’à 47 % d’ici 2050. Les agriculteurs commenceraient à payer les émissions en 2025, la tarification n’étant pas encore finalisée…
La bonne nouvelle, c'est que les émissions de CO2 sont restées stables depuis 2014, en partie du fait de l'essor des énergies renouvelables en Chine et en Inde.
Ce constat a pu laisser espérer que les émissions ont atteint leur pic, ce qui serait positif car elles doivent avoir commencé à diminuer dès 2020 pour que leur trajectoire préserve le climat.
Pour autant, le rapport met en garde sur d'autres gaz à effet de serre tels que le méthane, qui continue à augmenter.
Un regain de croissance économique pourrait aussi faire reprendre les émissions de CO2 de plus belle....
Même en mettant en pratique les plans climat nationaux actuels, qu'ils soient conditionnels ou inconditionnels, la température va augmenter de +3°C d'ici à 2100, s'alarme l'ONU environnement.
Ce qui veut dire que les gouvernements doivent impérativement adopter des contributions nationales plus exigeantes dès 2020. Si les Etats-Unis concrétisent leur sortie de l'Accord de Paris annoncée pour la même année, le tableau sera plus sombre encore...
Via IDELE Institut de l'Elevage
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Les émissions de méthane issues de l'élevage, en partie responsables du réchauffement climatique, sont plus importantes que prévu, le nombre et taille du bétail augmentant en en Asie, Amérique latine et Afrique, selon une étude parue vendredi dans la revue Carbon Balance and Management.
Des bêtes plus nombreuses et plus grosses, Des émissions en baisse en Europe occidentale, Notre alimentation en cause…
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L’empreinte carbone d’un litre de lait varie selon son mode de production. Les leviers d’amélioration sont identifiés, il ne reste qu’à les généraliser.
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Même si le gaz carbonique reste responsable de 80 % du réchauffement mondial, « sur un horizon de cent ans, le méthane a un potentiel de réchauffement 28 fois plus fort », ... L'élevage est responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre selon la FAO, et même de 70 % du méthane d'origine agricole en Europe. En cause, le système digestif des ruminants. Grâce à leur panse, qui abrite une population microbienne importante, les vaches notamment ont la capacité à digérer le fourrage et la cellulose, mais émettent de grandes quantités de méthane. Les chercheurs de l'Inra Clermont-Ferrand ont montré qu'en remplaçant une partie de leur alimentation par des lipides issus de la graine de lin, voire de colza, les bovins émettraient jusqu'à 40 % de méthane en moins. Michel Doreau, le chercheur à l'origine de ces travaux, reste pourtant prudent : « Au-delà de l'obstacle du coût, on ne pourrait de toute façon pas nourrir tout le bétail français avec le lin produit en France. J'avais estimé qu'on pourrait arriver à une baisse globale de 10 % des émissions, mais cela coûterait cher. »
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Depuis l'adoption de sa loi sur le réchauffement planétaire en 2006, la Californie a réduit les émissions de carbone des voitures, des camions, des maisons et des usines, tout en stimulant la production d'énergie renouvelable. Le principal État laitier du pays cible désormais les gaz à effet de serre produits par les vaches laitières.
La nouvelle loi vise à réduire les émissions de méthane des élevages à 40% sous les niveaux de 2013 d'ici 2030.
Les producteurs laitiers disent que les nouvelles réglementations augmenteront les coûts alors qu'ils sont déjà aux prises avec cinq années de sécheresse, les bas prix du lait et la hausse des coûts de la main-d'œuvre. L'industrie laitière pourrait être contrainte de déplacer sa production vers les États et les pays où les réglementations sont moins nombreuses.
Les émissions entériques - le méthane produit par le système digestif – peut être limité via l’alimentation du bétail. Mais l’essentiel est dû au fumier, qui représente environ un quart des émissions de méthane de l'État. Les agriculteurs peuvent réduire leurs émissions grâce à des digesteurs qui capturent le méthane provenant du fumier dans de grands réservoirs de stockage et transforment le gaz en électricité. L'Etat a réservé 50 millions de dollars pour les aider à installer des digesteurs, mais les agriculteurs disent que ce n'est pas assez pour les équiper tous…
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Le California Air Resources Board (ARB) a fixé un objectif de réduction des émissions de méthane de 40% d'ici 2030 et a ciblé les éructations et pets - connus sous le nom «fermentation entérique» - de ses 5,5 millions de bovins laitiers, ainsi que le fumier qu'ils créent.
Le méthane, principalement émis par l'industrie des combustibles fossiles et l'agriculture, ne s'attarde pas dans l'atmosphère aussi longtemps que le dioxyde de carbone. Mais il est 25 fois plus puissant en tant que gaz à effet de serre pendant une période de 100 ans.
L’industrie laitière craint l'ingérence du gouvernement de Californie dans la flatulence de ses vaches.
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Pour leur action en faveur de la santé et du climat, 429 éleveurs laitiers ont été remerciés et récompensés jeudi par l’association Bleu-Blanc-Cœur et ses partenaires économiques.
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Le Pays de Fougères réfléchit à limiter la production de méthane des vaches par une meilleure alimentation, avec une aide financière...
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