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Cedric
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Le cheptel bovin diminue presque partout en Europe. Suivant la tendance européenne, le cheptel bovin français a lui aussi perdu 2% de son effectif en 2023. Mais ce repli des effectifs ralentit depuis fin 2023…
Le cheptel de vaches laitières françaises a reculé de 1,5% en février par rapport à février 2023, contre 1,6% en janvier et 1,9% en décembre, « les sorties de vaches sont en recul tous les mois et on observe une progression des entrées de génisses »…
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La décapitalisation risque de s’accélérer dans les cheptels bovins laitiers et allaitants au cours de la prochaine décennie. Les effectifs de vaches laitières devraient proportionnellement davantage reculer que ceux des vaches allaitantes…
Le nombre de vaches laitières dans l’UE est projeté à 17,3 millions de têtes en 2035, c’est 12% de moins qu’en 2023 et 19% de moins qu’en 2013. La baisse du nombre de vaches laitières ne sera pas compensée par les gains de productivité. Une baisse que la Commission explique par les normes environnementales…
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Le manque d’offre maintient difficilement les prix des réformes laitières françaises, les plus chères d’Europe…
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En France, les cheptels bovins, laitiers comme allaitants, ont de nouveau reculé en mai, creusant l’écart avec l’an dernier. C’est 2,4 % de moins qu’en mai 2022 et 4,5 % de moins qu’en mai 2021…
C’est en femelles que le recul est le plus fort, toujours un fort recul des génisses laitières (-5,8% pour les 8-12 mois et -3,5% pour les 12-16 mois) ce qui n’augure pas d’une amélioration à moyen terme pour ce qui est du troupeau laitier. Les naissances de petits veaux restaient par ailleurs en retrait en avril, -4,5 % pour les veaux laitiers…
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Crainte de la disparition de l'élevage en Seine-Maritime. Le Département est celui qui a perdu le plus de bovins ces cinq dernières années. Et cela s'accélère encore plus depuis deux ans…
Et l’inquiétude qui se fait ressentir désormais, « c’est la perte d’attractivité du milieu agricole, en raison des inconvénients et problématiques qui s’accumulent et auxquelles, il va falloir trouver des solutions ». L'un des premiers problèmes, c'est le fait que la moitié des bovins, en France comme ici en Pays de Bray, soit détenu par des éleveurs de plus de 55 ans, qui vont dans une dizaine d'années prendre leur retraite. Et force est de constater qu'il n'y a pas de renouvellement…
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La conjoncture actuelle met en lumière un phénomène de long terme qui voit l’élevage s’effacer au profit des grandes cultures, qui nécessitent moins de travail et bénéficient de prix plus favorables.
Soumis à une pression sociétale qui stigmatise les émissions de méthane, à la volatilité des coûts de l’alimentation, aux sécheresses récurrentes qui impactent les stocks fourragers, à la désaffection des jeunes qui aspirent à une vie libérée des astreintes de la vie d’éleveur, l’élevage fait aujourd’hui face à des enjeux importants. La montée des prix de vente du lait comme de la viande reste un signal encourageant, mais qui doit être pérennisé pour pouvoir espérer redonner de l’attractivité à ce métier…
Dans ce contexte, la contractualisation peut amener certaines réponses, à condition de remédier aux faiblesses de la loi Egalim et de trouver des compromis qui permettent de protéger l’ensemble de la filière. La compétitivité du produit final dépend en effet aussi de la compétitivité des abatteurs et des transformateurs, qui éprouvent des difficultés à saturer leurs outils et répercuter leurs propres hausses de charges…
Les enjeux s’étendent au-delà des seuls secteurs laitiers et allaitants. Le maintien des cheptels est nécessaire à la valorisation des prairies, des bocages, des paysages, qui risquent de disparaitre faute d’entretien dans les zones où l’élevage se retirera. De nombreux emplois sont également liés à ces filières, et c’est aussi notre capacité d’auto-approvisionnement, et donc de souveraineté alimentaire, qui sera à terme remise en question…
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« En un an, sur la Normandie, on perd près de 40 000 bovins sur un total de près de 2 000 000 de bovins »…
Ce phénomène touche la France entière. « La décapitalisation du cheptel est bien réelle : chaque mois, les effectifs de bovins viande décroissent dorénavant de 3 % et ceux de bovins lait, de 1,5 %...
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Placer ses économies dans un troupeau de vaches plutôt qu’en bourse ou dans l’immobilier est une pratique encore relativement peu connue. Le principe est simple : on achète des vaches qu’on confie à un agriculteur qui les élève et qui paye un loyer...
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La société Gestel spécialisée dans la location de cheptel a annoncé le lancement prochain d’une solution de financement innovante pour les bovins avec une formule de location avec option d’achat…
Sur le même principe que le crédit-bail pour le matériel ou les voitures, la location de cheptel avec option d’achat (LOA) devrait voir le jour très prochainement. Cette solution de financement innovante en élevage, lancée par Gestel est la première du genre en France. « La grande différence avec la location de vaches classique est que la location avec option d’achat est payée uniquement en euros, quand la location classique implique un paiement du loyer en génisses pleines et des frais de location annuels…
La location de vaches avec option d’achat cible à la fois les éleveurs qui s’installent, mais aussi ceux qui souhaitent développer rapidement leur troupeau en limitant la charge mensuelle, et les exploitations qui ont besoin de cash sans vouloir faire appel à leur banque…
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Un rapport sur la production laitière aux États-Unis montre que les vaches continuent de se déplacer vers l'intérieur des terres. Il a également montré une baisse du nombre de vaches avec 36 000 têtes de moins que l'année dernière et 6 000 de moins que le mois dernier…
Le nombre de vaches dans le Sud-Ouest a connu une forte baisse, la Californie étant en tête avec 9 000 têtes de moins, ce qui a entraîné une diminution de 60 millions de livres. Le Nouveau-Mexique a vu 19 000 vaches de moins et 40 millions de livres de moins. Le Wisconsin a produit 30 millions de livres supplémentaires, avec 1 000 vaches de moins. Alors que le Michigan a ajouté 11 000 vaches supplémentaires et que l’État de New York a augmenté de 5 000 vaches. Le grand gagnant a été le Dakota du Sud, qui a produit 21 millions de livres supplémentaires, avec 12 000 vaches supplémentaires…
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Le nombre de vaches laitières et de vaches allaitantes chute en France. En parallèle, les importations augmentent sur le premier trimestre…
Au 1er mai 2022, le nombre de vaches laitières accuse un fort recul de -2,5 % à 3,37 millions de têtes. Cette diminution s’est amplifiée depuis septembre 2022. Le principal moteur de la baisse du cheptel laitier est le recul des entrées de génisses : -6 % en janvier, -8 % en février, -3 % en mars et -7 % en avril. Ce ne sont pas les réformes ; ces dernières reculent au contraire. De mi-mai à début juin, les abattages de vaches laitières baissent de 11 % par rapport à la même période 2022…
« En cinq ans, le cheptel bovin (veaux, génisses, bovins adultes mâles et femelles) s’est réduit de 1,9 million de têtes, soit -10 %, à 16,95 millions de bovins au 1er avril 2023 ». Dans le détail, sur cette période, la France a perdu plus de 300 000 vaches laitières (-8 %) et 430 000 vaches allaitantes (-11 %)…
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FranceAgriMer : Population bovine au 1er avril 2023
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La décapitalisation du cheptel laitier comme allaitant a continué en 2022. En 6 ans, la France a perdu 837 000 vaches, rapporte l’Idele.
• 80 000 têtes en moins pour les vaches laitières entre le 1er décembre 2021 et le 1er décembre 2022, qui atteint dorénavant 3,44 millions de têtes (-2,3 % en un an)…
• 110 000 têtes de moins pour les vaches allaitantes sur cette période, elles sont dorénavant 3,54 millions (-3 %)… • 837 000 têtes : c’est le nombre de vaches que la France a perdu en six ans
• etc…
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Conseiller régional de Bretagne, éleveur et ancien Président de la Chambre d’agriculture des Côtes d’Armor, Olivier Allain alerte sur la décapitalisation en Bretagne et appelle à un rééquilibrage d’urgence des aides de la Pac…
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Depuis le 1er juillet, et plus nettement au 1er août, le nombre de vaches laitières présentes en élevage chute. En août, les abattages de vaches laitières étaient en hausse de +3% par rapport à août 2021. La collecte laitière a baissé en août de l’ordre de - 2,5 % par rapport à août 2021…
Chaleur et sécheresse ont porté un gros coup : Ainsi, le nombre de vaches présentes chutait à nouveau : -1,6 % en juillet et - 1,8 % en août », indique l’Institut de l’élevage. Au 1er août, le cheptel de vaches laitières s’établit à 3,42 millions de têtes. En août, les abattages de vaches laitières sont en hausse de + 3 % par rapport à l’année précédente…
Conséquence : la collecte française baisse. D’après les sondages hebdomadaires de FranceAgriMer, en août elle a reculé de l’ordre de - 2,5 % par rapport à août 2021. En cumul depuis le début de l’année, la collecte française se replie de - 1,3 % par rapport à la même période 2021…
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