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Une équipe de zoologues allie les prouesses des Holstein et des Jersey avec la résistance à la chaleur, la sécheresse et la résistance aux maladies des Gyrs, une race bovine indigène. Cinq générations de croisements donnent naissance à des bovins capables de produire 10 litres de lait par jour sous une conduite tanzanienne typique…
« Les Girolandos – croisements Holstein-Gyr – à haut rendement sont courants au Brésil, mais à cause des maladies endémiques qui y règnent, ces bovins ne peuvent pas être exportés vers la plupart des autres pays »…
L’objectif est de créer des bovins « purement synthétiques » avec cinq huitièmes de génétique Holstein ou Jersey et trois huitièmes de génétique Gyr. Contrairement à Girolandos, les synthétiques purs Jersey-Gyr n’ont pas encore de nom officiel.
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Ma vache est-elle en stress thermique ? Différents indicateurs en élevage permettent de savoir si les animaux sont en situation de stress thermique :
• La notion de THI croise les valeurs de température et d’hygrométrie. « Si le THI obtenu atteint 68, les animaux sont au seuil du stress thermique… »
• La maîtrise de la température corporelle interne du bovin. Pour un suivi au thermomètre, la température rectale normale est autour de 38,5 °C, le seuil des 39 °C étant considéré comme la limite d’entrée en stress thermique…
• Le rythme respiratoire « est l’un des moyens les plus simples pour estimer le stress thermique. Il suffit de compter les mouvements des flancs. Dès que les 60 mouvements par minute sont dépassés, les animaux commencent à subir le stress thermique »…
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Installer des dispositifs d’ombrage, réduire la hauteur de maçonnerie, éviter les plaques translucides en toiture, faire entrer la lumière par les côtés… Autant de nouveaux principes pour limiter le rayonnement et améliorer le confort thermique l’été dans les bâtiments…
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L'haplotype SLICK est un trait génétique dominant des bovins avec un pelage court et lisse, qui permet une meilleure tolérance à la chaleur et une moindre réduction de la production laitière en période de stress thermique.
C’est une mutation du gène du récepteur de la prolactine, dont l’origine provient de la race Senepol dans les îles Vierges américaines. L’Université de Floride a utilisé le croisement pour introduire le gène dans la race américaine Holstein.
La génétique SLICK a également été incorporée chez des Holstein de Porto Rico, les croisements Holstein-Jersey-Senepol en Nouvelle-Zélande, la race Carora et la race JR à double usage au Venezuela.
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Une société basée au Japon a développé une chemise avec des capteurs d’humidité qui peuvent prévenir le stress thermique chez les vaches laitières.
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Des chercheurs de l’université des sciences agroalimentaires de Floride ont reçu une bourse de 733 000 euros pour développer une vache adaptée au réchauffement climatique. Pour cela, ils comptent étudier les particularités génétiques de la race Brangus, naturellement résistante aux fortes chaleurs. Puis ils utiliseront la technique d’édition génomique, CISPR-CAS9, pour les exprimer chez d’autres bovins.
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Si la menace du réchauffement climatique sur le bétail n’est pas imminente, ces changements climatiques pourraient bien être « la cause la plus importante d’extinctions d’espèces dans le siècle à venir » d’après WWF.
Pour réagir à ces prévisions, des scientifiques de l‘Université de Floride travaillent sur la création d’une vache génétiquement modifiée pour résister aux dérèglements du climat. En croisant deux races, les Angus et les Brahman, ils espèrent mettre au point une nouvelle vache capable de supporter de plus grandes chaleurs, sans perdre en qualité sur la viande qu’elle fournit.
Ce projet très sérieux a reçu une bourse de trois ans, avec un budget de 733 000$ pour aider les chercheurs. D’après Raluca Mateescu, professeur associé de l’IFAS (institut des sciences agro-alimentaires), plus de la moitié du bétail mondial vit actuellement dans des environnements humides et/ou chauds, ce qui en fait une préoccupation de premier plan.
Le but de l’étude est d’identifier avec le plus de précision possible les segments d’ADN responsables de la régulation thermique de ces animaux, afin de pouvoir optimiser dans leur nouvelle vache cette fonction.
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PLM vous propose cette compilation d'articles pour vous aider à gérer cette période de stress thermique à l'étable.
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Selon une récente étude, l’investissement économique dans un détecteur automatique de chaleurs (DAC) n’est pertinent que pour les grands troupeaux avec une proportion de détection des chaleurs de moins de 50%.
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Dès 20 degrés, les difficultés à s’autoréguler commencent. Pour les Montbéliardes, par exemple, la température optimale est comprise en 11 et 13 degrés. La petite taille de leur poumon n’aide pas : leur capacité pulmonaire est trois fois inférieure à la nôtre, à corpulence équivalente…
L’acquisition de chaleur par un bovin laitier est liée à son métabolisme et notamment la digestion ruminale. Pour satisfaire ses besoins d’entretien et de production laitière, une vache à 25/30 kg de lait par jour va produire la chaleur de l’équivalent de deux radiateurs de 2000 watts…
Quelles solutions pour limiter le stress thermique ?
• Comment atténuer les pics de chaleur en bâtiment pour mes vaches laitières ?
• Sept solutions pour réduire le rayonnement solaire en bâtiment • Les clés pour optimiser la ventilation mécanique en élevage laitier
• Les astuces efficaces et bon marché du Gaec Charretier
• "J’ai investi 45 000 € dans des ventilateurs et des douches pour réduire le stress thermique"
• « Nous avons minimisé l’impact du stress thermique pour nos 110 vaches »
• Comment limiter l’impact du stress thermique sur la reproduction des vaches laitières ?
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Les vaches transpirent bien, mais leur système de thermorégulation est différent de celui des humains. Une bonne gestion de la ventilation, de l’eau et de l’alimentation est essentielle pour assurer le bien-être…
Chez les vaches, la thermorégulation est assurée principalement par l’évaporation de l’eau et le rayonnement thermique à la surface de la peau. Les vaches possèdent également des vaisseaux sanguins à proximité de la surface de la peau qui permettent de dissiper la chaleur. La production de sueur chez les bovins est moins importante que chez les humains, elle se produit principalement au niveau du museau, des oreilles et des pattes. Les glandes sudoripares des vaches sont des glandes apocrines qui produisent une sueur plus épaisse et plus grasse que les glandes eccrines humaines…
L’alimentation des vaches a également un impact sur leur capacité à réguler leur température corporelle. Une alimentation riche en fibres et en protéines peut augmenter la production de chaleur et ainsi accroître les besoins en rafraîchissement de l’animal. Les éleveurs peuvent adapter la ration alimentaire de leurs animaux en fonction de la température pour minimiser les risques de surchauffe…
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L'institut de l'élevage a étudié l'impact de l'utilisation de dispositifs de détection des chaleurs sur 56 exploitations normandes afin de voir si la technologie répondait bien aux promesses des fabricants…
Le dispositif permet de gagner jusqu'à 17 jours d'IVV sur des troupeaux aux performances dégradées, mais l'effet est presque nul chez les éleveurs inséminant déjà leurs vaches rapidement après le vêlage…
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Des résultats de recherches menées aux États-Unis sur ce thème ont été présentés lors d’un forum organisé par Vetagro. Ils confortent des pistes et ouvrent de nouvelles voies aux fabricants d’aliments.
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Vous avez chaud ? Vos vaches laitières aussi ! Et on leur demande simultanément de mener à bien une gestation, de produire du lait, et pour les génisses de terminer leur croissance. Alors comment adapter l’alimentation pour minimiser l’impact de ce stress ? Quelles mesures prendre ?
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Ventilateurs, brumisateurs, asperseurs, complémentation minérale, humidification de la ration... Comment aider vos vaches laitières à supporter la canicule ? Le Btpl nous apprend que le rumen est un véritable radiateur interne qui atteint sa température maximale entre quatre et cinq heures après l’ingestion. Ainsi, une primipare haute productrice produit deux fois plus de chaleur qu’une vache tarie.
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L'épisode caniculaire que vient de connaître la France a fait souffrir les organismes. Heureusement, les trois mois d'été ne sont jamais aussi chauds. Tout le contraire du Japon où entre juin et septembre, la température ne descend quasiment jamais sous les 30 degrés et le taux d'humidité bat des records.
Une entreprise japonaise pense qu'elle a une solution pour permettre aux animaux de battre la chaleur. Le fabricant japonais de sous-vêtements Gunze Ltd. a développé un dispositif semblable à un tee-shirt pour garder les vaches bien au frais.
L'appareil, nommé Ushi-ble (ushi, la vache en japonais), est composé d'un tissu extensible souvent utilisé dans la confection des vêtements de sport. Il couvre le cou et les épaules des vaches, ce qui donne l'impression qu'elles portent un t-shirt.
L'appareil dispose d'un capteur qui surveille l'humidité et, lorsqu'il devient trop sec, l'eau est pompée dans un tube pour rafraîchir l'animal. L'eau se vaporise alors pour réduire la température de peau de la vache d'environ 5 ° C, a déclaré la compagnie.
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Les températures rencontrées actuellement diminuent le confort et pénalisent les performances des animaux et notamment des vaches laitières. Pour optimiser le stress thermique chez la vache laitière, il existe plusieurs activités de maîtrise et de prévention. Elles sont résumées dans le tableau ci-dessous. Elles portent à la fois sur des modifications dans les habitudes de l’élevage, sur les soins portés aux animaux et sur les améliorations de leur environnement.
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