Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
Cedric
|
En cumulant l'inflation 2022 (déjà forte) et celle de 2023…
|
Scooped by
Cedric
|
Si, dans les supermarchés, le coût de la plaquette a fortement augmenté en un an, le cours du beurre industriel en vrac, lui, connaît une glissade accélérée…
Début 2022, sa cotation dépassait les 6 000 euros la tonne. A l’automne, elle se négociait même à près de 7 300 euros la tonne, en progression de 70 % sur un an. Depuis, elle a amorcé une glissade accélérée. « Aujourd’hui, le prix de la tonne de beurre industriel est proche des 5 300 euros. Début 2022, la poudre de lait écrémé se négociait à près de 4 400 euros la tonne. Aujourd’hui, le cours est proche de 2 600 euros la tonne »…
Toutefois, il n’existe pas de corrélation immédiate entre les cotations des ingrédients laitiers industriels et l’inflation des produits de grande consommation. En tout cas en France. Le prix du beurre fond, sauf en rayons. A contrario, en Allemagne, il fait le yoyo. La plaquette bénéficie, depuis février, d’un rabais de 20 % dans les magasins – après, il est vrai, une augmentation de 40 % en 2022, selon les données du Cniel…
|
Scooped by
Cedric
|
Le beurre dans les 10 catégories les plus inflationnistes en novembre
Le rayon crémerie est un des plus inflationniste de la grande distribution. Sans surprise, les ménages revoient à la baisse leurs achats… Exemple d'élasticité-prix élevée : les matières grasses - les consommateurs sont très sensibles à toute hausse et réagissent…
|
Scooped by
Cedric
|
Pourquoi les différences entre les pays sont-elles grandes ? Par exemple, le prix moyen du beurre dans l’UE en juillet est supérieur de 31% à celui de juillet de l’année dernière. Le consommateur allemand est confronté à une augmentation de 48%, tandis que les Français ne paient que 13% de plus que l’année dernière pour le beurre.
Trois facteurs entraînent des différences considérables dans la hausse des prix à la consommation entre les pays. Ce sont les suivants :
• Combien de temps durent les contrats avec les détaillants ?
• À quel niveau étaient les prix avant la hausse de l’inflation ?
• Quelle est la part de marché des marques ?
Prenons l’exemple du beurre en Allemagne et en France. Les contrats de beurre avec les détaillants allemands sont pour la plupart des contrats à court terme d’une durée d’un mois. D’où la hausse rapide du prix du beurre en Allemagne…
|
Scooped by
Cedric
|
Le club très fermé des catégories de PGC dépassant le milliard d’euros de chiffre d’affaires compte vingt-six membres, quatre marchés bimilliardaires (dont Yaourts et Laits) et des locomotives en forme…
Ce « club des riches » est plus résilient que la moyenne des PGC, avec des progressions supérieures…
En 2ème position Les yaourts s’imposent par leur accessibilité : 2,29 Milliards € de CA, + 0,3 % vs 2020, + 5,3 % vs 2019
En 4ème position le lait : 2,04 Milliards € de CA, - 5 % vs 2020, + 0,7 % vs 2019
Et en 11ème position, le beurre plie mais ne fond pas : 1,51 milliard € de CA, - 6,2 % vs 2020, + 1,6 % vs 2019
|
Scooped by
Cedric
|
Un bloc de beurre coûte maintenant 5,67 $, soit plus de 60% de plus que l'an dernier. Pendant ce temps, les prix du lait ont augmenté de 7,5%, tandis que le fromage a augmenté de 12%. "Étant donné que nous exportons environ 95% des produits laitiers produits en Nouvelle-Zélande, les Néo-Zélandais doivent accepter qu'ils paient à peu près le prix mondial."
|
Scooped by
Cedric
|
Après avoir atteint un sommet de près de 7 000 euros la tonne en septembre, les contrats à terme sur le beurre négociés avec l'EEX allemand ont perdu environ un quart de leur valeur. Les analystes citent un simple adage des produits de base pour la baisse: "Le remède aux prix élevés est des prix élevés." Kevin Bellamy, stratège laitier mondial chez Rabobank, explique : "Ce que nous voyons, ce sont les prix élevés qui étouffent la demande".
Dans la plupart des marchés, les hausses de prix ont été répercutées sur les consommateurs. Au Royaume-Uni, par exemple, l'indice des prix de détail du beurre de septembre a enregistré l'une des augmentations mensuelles les plus élevées des dernières années, en hausse de 6,5% par rapport au mois précédent et en hausse d'un cinquième par rapport à l'année précédente.
Selon Rabobank, les prix du beurre sont estimés à 6 000 $ la tonne ce trimestre et à 5 800 $ la tonne au premier trimestre de l'année prochaine. Bien que la hausse des prix du beurre ait freiné la demande, il y a encore beaucoup de vent arrière pour la consommation. La demande de beurre a augmenté après la mise en cause du lien entre le beurre et les maladies cardiovasculaires. Aux États-Unis, par exemple, la consommation de beurre par personne a augmenté de 16% depuis 2010, selon les données de l'USDA.
|
Scooped by
Cedric
|
Le cours mondial du beurre s'est envolé mais la distribution française a difficilement accepté les hausses de prix réclamées en cours d'année par les industriels. Ces derniers ont donc privilégié des débouchés plus rémunérateurs. Alarmés par les premières ruptures en rayon (et par les médias qui parlent de pénurie), les consommateurs se sont rués sur les rayons.
Résultat : selon Nielsen, le chiffre d'affaires du rayon beurre explose semaine après semaine. Sur le dernier pointage hebdomadaire, du 16 au 22 octobre, le CA est à +37% et les volumes à +19% !
En moyenne, le taux de rupture en linéaire grimpe lui aussi en flèche. Il a atteint 30% la semaine dernière. Les différences entre enseignes sont importantes et reflètent à l'évidence les politiques de négociation pratiquées par chaque distributeur.
|
Scooped by
Cedric
|
L’augmentation de la demande des consommateurs en produits laitiers riches en matières grasses a renforcé les prix du beurre aux États-Unis et a eu un effet important sur le prix que les producteurs laitiers reçoivent pour le lait.
Et cette tendance «va bien au-delà du beurre»... «La demande en matières grasses du lait est stimulée par l'augmentation de la demande de gros et de détail pour le beurre, l'huile de beurre, le fromage, le lait et le lait entier en poudre, ce qui reflète l'évolution des préférences des consommateurs pour les produits laitiers», selon Tony Banks, spécialiste du marketing.
Cette nouvelle demande s'est propagée du marché américain vers l’Europe, la Nouvelle-Zélande et l’Australie aussi. « Cette histoire ne fait que commencer ».
|
Scooped by
Cedric
|
Depuis l’an dernier, le prix du beurre a considérablement augmenté. Du fait de la crise du lait qui a conduit à réduire les volumes et à faire des stocks. Du fait des exportations vers la Chine et, semble-t-il, de la spéculation sur les cours. Dans les supermarchés, le prix de la plaquette reste contenu parce qu’il est négocié à l’année. De leur côté, les fabricants de biscuits tirent la sonnette d’alarme.
|
Scooped by
Cedric
|
Le prix du beurre flambe. En un an, le cours de la tonne de beurre en Europe a bondi de plus de 90% à près de 5 000 euros.
Ce corps gras, longtemps décrié pour son impact sur la santé, bénéficie du regain d'intérêt des consommateurs après plusieurs études révélant qu'il n'était finalement pas la cause de maladies cardio-vasculaires mais riche en vitamines A, B et D.
Sur les douze derniers mois, la demande mondiale a progressé de 5% tandis que l'offre a reculé simultanément de 5% en raison d'une production de lait insuffisante
|
Scooped by
Cedric
|
La consommation de beurre aux États-Unis devrait augmenter de 8% cette année, proche de battre un record vieux de 50 ans, qui pousse également les prix du beurre à augmenter. Pour cause : en partie de nouveaux produits comme le café au beurre et les cocktails au beurre brun, en partie des restaurants comme McDonald's avec du beurre au menu du petit déjeuner ou bien encore des plats préparés avec du vrai beurre.
|
Scooped by
Cedric
|
Les rayons de beurre se vident dans de nombreux magasins, particulièrement dans le haut de gamme et le bio.
La hausse de la consommation de cette matière grasse et la baisse de la production laitière entraînent une pénurie conjoncturelle.
|
|
Scooped by
Cedric
|
Un signal encourageant en Allemagne sur le front de l’inflation. Le prix du beurre chute depuis décembre, et ce à contre-courant de la flambée des prix de l’alimentaire. Un indicateur significatif pour le reste de l'Europe…
En Allemagne, le prix du beurre chute de 30% depuis le mois de décembre. Et ce, alors même que les produits transformés continuent de grimper. Signe avant-coureur d'une baisse de l'inflation dans l'alimentaire à l'échelle de l'Europe ?
La raison de cette baisse du prix du beurre chez nos voisins germaniques est simple : le lait coûte moins cher, car les prix des aliments pour les vaches baissent et les dépenses énergétiques aussi. Mais surtout, l'Allemagne a une spécificité : les prix du beurre sont renégociés très régulièrement. Ainsi, la baisse des coûts des matières premières se voit presque en temps réel sur une motte de beurre allemande. Un indicateur avancé donc, et selon les observateurs, ce marché allemand peut refléter une baisse globale des prix à venir en Europe…
Le beurre allemand est même un "indicateur précoce" d'une tendance à venir sur les autres produits alimentaires. Pour le moment, le prix du beurre ne faiblit pas en France. Il augmente même légèrement, comme en Espagne, et ce au même titre que l’huile, les pâtes, les biscuits. Mais en France aussi, les dépenses énergétiques et les coûts des matières premières refluent. Il faut juste plus de temps pour qu’ils se répercutent. La décrue devrait arriver avec les nouvelles négociations en cours entre industriels et distributeurs…
|
Scooped by
Cedric
|
Aldi et Kaufland réduisent actuellement les prix à la consommation du beurre d'environ 20% par rapport aux niveaux d'avant-guerre…
Chez Aldi, le bloc de 250 grammes de beurre de marque allemande ne coûtera plus que 1,59 euro à partir du 1er février. C'est 40 cents ou 20% de moins qu'avant. L'an dernier, les prix du beurre pour les consommateurs sont passés de 1,65 euro pour un paquet de 250 grammes chez Aldi à 2,09 euros en avril et 2,29 euros en mai…
Les experts s'attendaient à une baisse du prix du beurre, mais pas à ce point. De nouveaux contrats de livraison entre les laiteries et le commerce de détail alimentaire sont entrés en vigueur le 1er février. L'évolution des prix dans le secteur des matières grasses n'est pas de bon augure pour les fabricants de beurre. La baisse actuelle des prix poursuit le mouvement à la baisse. Habituellement, les chaînes de magasins concurrentes emboîtent le pas avec une telle baisse de prix de la part d'Aldi…
|
Scooped by
Cedric
|
En France, on ne peut appeler « beurre » qu’un produit contenant 82% de matières grasses. Trois et seulement trois dénominations légales existent pour le beurre : beurre cru, beurre fin et beurre extra-fin…
Aujourd’hui, 90% des beurres français sont fabriqués en quelques minutes dans des butyrateurs. Les 10% restants sont ces fameux beurres « de baratte », dont la crème a été maturée pour en développer les arômes puis lentement barattée. Leur prix est plus élevé, tout comme leur qualité gustative…
Très riche en goût, le beurre cru est le chouchou des puristes. Il est obtenu exclusivement à partir de crème n’ayant subi aucun traitement thermique. Si le beurre n’est pas cru, c’est qu’il a été fabriqué à base de crème pasteurisée. Il se conserve soixante jours et son goût est constant au fil de l’année. Les beurres fins et extra-fins sont des beurres pasteurisés. La fabrication de l’extra-fin se fait tout de suite après la collecte du lait (72 heures), sa crème n’a jamais été congelée, surgelée ou acidifiée. Pour le beurre fin, la crème peut être congelée à moins de 30%...
|
Scooped by
Cedric
|
L’inflation continue d’augmenter en France. Le beurre fait partie des produits qui ont connu une forte hausse des prix avec 10 % supplémentaires depuis le début de l’année 2022…
Sous toutes ses formes, le prix du beurre a fortement augmenté. Le beurre sert de matière première à de nombreuses entreprises, comme les biscuiteries. "100 % beurre, c’est-à-dire qu’il n’y a pas d’autres matières grasses que du beurre donc c’est environ 15 % de la recette". La hausse des prix trouve sa source dans le manque de producteur et par une augmentation de la demande.
|
Scooped by
Cedric
|
Et ce matin, on s’intéresse aux vices et aux vertus du beurre, indissociable de la cuisine française… Une matière grasse longtemps décriée d’un point de vue nutritionnel et désormais réhabilitée. Le beurre est-il bon ou mauvais pour la santé ? Contribue-t-il au mauvais cholestérol, aux maladies cardio-vasculaires ou encore au diabète ? Est-il cancérogène quand il brûle dans la poêle ? Vaut-il mieux le consommer cru ou cuit ? Pourquoi le beurre révèle-t-il son goût en compagnie d’autres aliments ? Comment choisir son beurre ? Comment est-il fabriqué ? D’où vient cet aliment indispensable pour de nombreux consommateurs ?
|
Scooped by
Cedric
|
Le beurre manque en France dans certaines enseignes et non dans d'autres. Le résultat de stratégies divergentes, selon qu'elles acceptent ou non de répercuter la hausse des cours sur le consommateur . Dans une majorité d'Etats européens, les prix de détail ont augmenté plus qu'en France. Le blocage décidé par les distributeurs concernés suscite l'indignation de la FNSEA, alors que les actions des agriculteurs se multiplient dans les magasins adeptes du boycott.
|
Scooped by
Cedric
|
Parce que les grandes surfaces achètent le beurre à trop bas prix, les producteurs se tournent vers l'exportation. Depuis plusieurs mois, le cours mondial du beurre européen a été multiplié par trois. La tonne se négocie 6832 euros, un record ! La planète entière en veut, la demande explose.
La Chine importait 873 tonnes de beurre en 2001, elle en fait venir 63 017 en 2016; l’Arabie saoudite est passée de 15 172 à 43 454 tonnes sur la même période; le Canada a doublé ses importations entre 2015 et 2016; son voisin américain en a importé cinq fois plus en 2016 qu’en 2010.
«La consommation de beurre, mais aussi celle des fromages, a beaucoup augmenté. En caricaturant, la demande croît au rythme des ouvertures de restaurants comme les McDonald’s ou les Pizza Hut dans les pays émergents», explique Dominique Chargé, président de la Fédération nationale des coopératives laitières.
|
Scooped by
Cedric
|
Pourquoi cette explosion de la demande de beurre ? Diabolisé pendant plusieurs années, le beurre revient en vogue. Le corps médical n'interdit plus d'en manger. Ainsi, entre 2013 et 2015, la consommation de beurre a augmenté de 2,5 % à l'échelle mondiale et de 5 % en France.
Pourquoi le cours du beurre a-t-il doublé en un an ?
C'est la conséquence d'un déséquilibre entre l'offre et la demande et d'un retournement de situation. La collecte laitière mondiale a chuté alors que la demande en matières grasses animales (beurre, crème et même fromage) continue d'exploser.
Ainsi, en Europe, après la surproduction qui a suivi la fin des quotas, en 2014, et fait plonger les prix payés aux producteurs, la collecte a connu un net repli en 2016.
Pourquoi ce manque dans les rayons des supermarchés ?
Les transformateurs nous expliquent que cette absence de beurre ou de certaines références dans les rayons révèle surtout les tensions entre certaines enseignes de la grande distribution et leurs fournisseurs.
« La grande distribution refuse d'augmenter en cours de saison, les tarifs négociés en février dernier. Il y a une trop grande rigidité dans les négociations. Alors qu'en Allemagne le prix de la plaquette de beurre a augmenté de 50 % en un an, elle n'a augmenté que de 12 % en France »
Pourquoi le prix du lait au producteur n'augmente pas autant que le prix du beurre ?
Parce que le beurre ne représente que 20 % du lait et que la matière protéique, l'autre composante du lait, ne connaît pas la même envolée.
|
Scooped by
Cedric
|
Les années passent, les exportations de produits laitiers continuent d’augmenter mais les produits exportés changent. ... L’année 2016 est marquée par la forte progression des échanges de fromages (+6 %, 350 000 tonnes). Désormais 10 % des fabrications (2,35 millions de tonnes) sont échangées sur les marchés internationaux pour 9,3 milliards d’euros, soit 25 % de la valeur des produits échangés. Avec un tiers de ce marché, l’Union européenne conforte sa position de leader mondial...
|
Scooped by
Cedric
|
Goût et plaisir, naturalité, histoire, usages… Le beurre ne manque pas d’attributs positifs. Mais il doit retrouver de la modernité. Si la demande augmente en industrie, viennoiserie et pâtisserie, les ventes baissent en GMS.
|
Scooped by
Cedric
|
Le médecin se lance dans une grande réhabilitation d'un aliment qui n'est mauvais que lorsqu'il est consommé avec excès.
|
Scooped by
Cedric
|
La consommation de beurre repart à la hausse, et les laiteries deux-sévriennes en profitent malgré un prix du lait toujours trop bas... Les beurres deux-sévriens font partie de l'appellation d'origine contrôlée « beurre Charente Poitou ». Cet engouement pour le beurre traditionnel profite donc aux laiteries traditionnelles : Pamplie, Echiré, Sèvres & Belle…
« maintenant, les gens veulent consommer moins, mais mieux ». Les marques Echiré et Sèvres et Belle ont progressé en volume de 25 % entre 2012 et 2016, preuve de cet engouement tant en France qu'à l'international....
|