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Les alternatives à la viande ou au lait, exclusivement végétales, sont désormais composées à l’aide d’algorithmes. De quoi accélérer le développement du secteur, et améliorer les aliments sortis de ces éprouvettes…
Deux semaines top chrono ! C’est le temps qu’il a fallu à Climax Foods, une start-up implantée à Berkeley en Californie, pour recréer à la perfection, visuelle tout autant que diététique et gustative, un «Mini Babybel» bien de chez nous réalisé en collaboration avec Bel. «En n’utilisant que du chanvre, de la citrouille et des haricots blancs, pour aboutir au même niveau de protéines que le produit initial»…
L'IA permet de diminuer le temps consacré à la recherche et au développement. Ce trompe-l’œil culinaire n’aurait pas été possible sans le recours à l’IA. La seule capable de combiner aussi rapidement, et sans erreur, les milliers de références de plantes et de légumineuses qui constituent la base de données de Climax Foods…
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Cela fait maintenant vingt ans que les familles qui contrôlent le groupe Bel se déchirent. Une guérilla attisée par le patron de son concurrent Lactalis, qui s’invite régulièrement à la table des disputes…
Un homme se tortille sur son fauteuil, se lève subitement et prend la parole. «Je suis très inquiet, les résultats ne sont pas bons», lâche-t-il devant une assemblée médusée. Les produits bio à base de fruits marchent bien, dit-il en substance, mais notre activité historique de fromages s’effondre. En face, Antoine Fiévet, excédé, refuse de répondre à la nouvelle provocation de son cousin Stéphane Dufort. Le président du groupe fromager Bel lève les yeux au ciel et surjoue cette énième dispute familiale. Il se tourne alors vers sa directrice générale, Cécile Béliot, et lui passe la patate chaude…
«Que peut-on faire pour rassurer monsieur Dufort?», lui demande-t-il en soupirant d’autant plus qu’il ne peut s’empêcher de deviner, dans l’ombre de son cousin, son pire ennemi : Emmanuel Besnier, le patron du groupe Lactalis. Même discours, même critique, mêmes angles d’attaque. Après un échange ping-pong de quelques minutes, l’assemblée générale vote. Comme tous les ans, Stéphane Dufort s’oppose aux propositions de son cousin, en vain. Il est actionnaire minoritaire et n’a droit qu’à la parole…
Ainsi va la vie du groupe Bel, l’un des plus vieux empires français du fromage…
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La directrice générale du groupe Bel parle de "tsunami d'inflation" sur tous les composants des fromages, des matières premières aux emballages, et n'a pas d'autres choix que d'augmenter les prix…
"Nous n'avons pas [d'autre] solution que d'augmenter les prix et d'avoir un vrai discours transparent vis-à-vis de nos distributeurs pour assurer que l'ensemble de la chaîne de valeur passe la vague", lance-t-elle. Sur le plateau de nos confrères, Cécile Béliot met en avant des chiffres alarmants à l'image des matières premières qui ont augmenté de 37% et les emballages de 30%...
Cécile Béliot demande aussi aux acteurs de la grande distribution de "concéder à ces hausses de prix" afin de "survivre". "Les marges sont aujourd'hui sur un niveau qui est extrêmement fragile. C'est nous comme l'ensemble de la chaîne, c'est vrai aussi pour les agriculteurs"…
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L' accord prévoit :
- la garantie d'un prix de référence moyen annuel pour toute l'année 2018 pour le lait acheté aux producteurs de l'APBO, fixé à 350 euros pour 1 000 litres ; un accord unique dans la profession et dans la relation entre producteurs de lait et transformateur.
- le déploiement par l'ensemble des producteurs de l'APBO de pratiques d'élevage différenciantes parmi lesquelles une alimentation sans OGM pour les troupeaux laitiers et la mise en valeur du pâturage (engagement de 150 jours par an minimum) ;
- la rémunération de ces pratiques différenciantes sous forme de primes mensuelles pour un montant total de 21 € les 1 000 litres.
Il est le résultat de plusieurs mois d'échanges et de concertation au cours desquels l'APBO, force de proposition, a pleinement exprimé sa vision d'un partenariat gagnant-gagnant. Il implique l'ensemble de ses 700 exploitations adhérentes.
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Le groupe Bel a annoncé vendredi une chute de son bénéfice net de 24% au premier semestre, en dépit d'une hausse de ses ventes grâce à l'intégration de MOM.
Les ventes des Fromageries Bel qui produisent notamment les fromages Vache qui rit, Kiri et Babybel ont affiché une croissance de 14,9%, à 1,6 milliard d'euros, grâce à l'intégration du Groupe Mont-Blanc Materne (MOM) qui en représente 14,1%, a indiqué le groupe dans un communiqué.
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Les Fromageries Bel ont inauguré jeudi une usine de production de La Vache qui rit au Vietnam, pour alimenter le marché local et accompagner le développement du groupe en Asie du sud-est.
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Les Fromageries Bel continuent à faire le dos rond dans un marché compliqué, en particulier en Europe. Le groupe a stabilisé ses revenus sur neuf mois et compte sur la prochaine acquisition de MOM pour se diversifier. Bel a dégagé 2,18 milliards d'euros de chiffre d'affaires après neuf mois d'activité en 2016, un niveau quasiment identique à celui de l'année précédente, après une légère contraction des ventes (-0,2% à 731 ME) au troisième trimestre.
Si les zones Moyen-Orient / Afrique et Asie / Amériques progressent, l'Europe reste en berne à cause de la guerre des prix acharnée. Les volumes y sont légèrement haussiers mais cela a nécessité des efforts promotionnels accrus. Le propriétaire de La Vache Qui Rit explique être toujours confronté à des conditions de marché difficiles...
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Le groupe Bel, qui compte Kiri, Babybel ou La Vache qui rit parmi ses marques phares, lance une grande campagne pour sortir de l'ombre afin de rassurer les consommateurs sur l'origine de ses produits, une première depuis la création du groupe familial il y a 151 ans. A Evron, en Mayenne, l'usine où sont fabriqués les mini-Babybel a ouvert ses portes à la presse pour marquer l'événement.
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L’achat du groupe MOM (Materne, Mont Blanc…) par Bel constitue une diversification historique pour l’industriel du fromage. Fromage ET dessert. Tel sera désormais le menu du groupe Bel, le fabricant de fromages aussi célèbres que La Vache qui rit, Boursin, Babybel, Leerdammer ou encore Apéricube. L’entreprise familiale s’apprête à prendre le contrôle de l’industriel des compotes et des desserts MOM, connu pour ses marques Pom’Potes, Materne et Mont Blanc. Un accord de principe en ce sens a été signé vendredi 29 juillet et annoncé lundi 1er août par le groupe Bel. ...
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Le groupe familial de fromage Bel, connue pour ses marques Kiri, Vache qui Rit et Mini Babybel a réalisé une belle année 2015 avec une croissance de son chiffre d’affaires de 5,9 % à 2,9 milliards d’euros, dont 0,1 % de croissance organique. ...
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Le chiffre d'affaires consolidé cumulé fin sept. 2015 s'établit à 2 181 millions d'euros, en hausse de + 6,5 % par rapport à septembre 2014... En Europe de l'Ouest, sur des marchés fortement concurrencés et en repli, le chiffre d'affaires trimestriel affiche un retrait modéré grâce aux efforts commerciaux déployés par les équipes et à la puissance des marques...
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Lactalis, Danone, Bel... Les grands groupes français du secteur sont partis à l’assaut du marché indien. Au pays de la vache sacrée, les champions français veulent conquérir un marché laitier en plein essor. Mais, entre les contraintes logistiques et l’État protectionniste, l’aventure est souvent éprouvante…
• 210 millions de tonnes de lait produites en 2020 (contre 140 millions en Europe et 100 millions aux États-Unis)
• 91 millions de producteurs
• 5 % C’est la part du secteur laitier dans le PIB indien, ce qui correspond à un tiers de la valeur ajoutée de l’agriculture.
Au pays de la vache sacrée, la productivité n’est pas encore au rendez-vous, généralement de 6 à 8 litres). Rien de surprenant, quand les éleveurs ne possèdent en moyenne que trois bêtes et conservent jalousement un gros tiers de leur production. Le respect de la chaîne du froid relève trop souvent de la chimère. La qualité du lait et la productivité des vaches doivent grimper en flèche. Ici, les vaches n’ont pas le monopole du lait : elles se partagent équitablement le gâteau avec les bufflonnes d’eau. Ces dernières produisent un lait de moins bonne qualité, mais ont l’avantage de ne pas être sacrées. Ainsi, quand elles arrivent au terme de leur production laitière, elles peuvent être réformées, puis consommées pour leur viande…
« C’est un secteur qui croît d’environ 6 % chaque année. D’ici à 2047, nous espérons atteindre 45 % de la production mondiale, contre 24 % aujourd’hui.» Les champions hexagonaux l’ont bien compris et placent leurs pions. Lactalis multiplie les acquisitions d’acteurs indiens depuis dix ans. Il possède désormais trois marques Tirumula, …), onze usines et figure parmi les acteurs privés de premier plan avec… près de 1,5 % de part de marché. Cette année, Bel lance pour de bon la production de sa fameuse Vache qui rit en partenariat avec un acteur local. Savencia (propriétaire de marques comme Elle & Vire et Tartare) s’est, lui, implanté du côté de Delhi, tandis qu’Andros commercialise sa « Mamie Yova »…
Le Gujarat, un État situé à la frontière sud du Pakistan, l’une des régions agricoles les plus développées du pays. Et plus précisément Anand, "la capitale du lait". C’est ici qu’est née en 1946 la coopérative Amul qui, avec ses 16 % de part de marché, écrase le secteur indien des produits laitiers. Quand la plupart des acteurs restent confinés au niveau régional, Amul, et sa flopée de marques, déverse ses produits dans tout le pays. Amul se veut l’antithèse de la société privée, un modèle qui assure qu’entre «75 et 85 % du prix du produit final revient aux éleveurs». Amul, c’est le bras armé de la politique agricole de l’État, qui distribue de généreuses subventions dans le sillage de programmes de développement ambitieux. Amul, l’héritier de la «révolution blanche» qui, à partir de 1970, a été chargée de conduire le pays vers l’autosuffisance laitière…
L’échec de Danone sur le marché des yaourts revient régulièrement dans les conversations, ses produits ne trouvant pas suffisamment de clients. Les success stories étrangères sont maigres. Les ventes de Lactalis reposent encore à 70% sur ces immanquables poches de lait, un sachet plastique de 500 ml à consommer sous 48 heures. Un produit d'entrée de gamme par excellence, pour lequel la bataille avec les coopératives est particulièrement sanglante. « Ça ne sert à rien d’avoir de la qualité si ce n’est pas ce que le marché veut»…
A côté de ce cœur de modèle low cost assumé, se développent aussi des acteurs privés nationaux aux ambitions gargantuesques. «Nous ciblons le marché des dix prochaines années. Amul se focalise sur le lait, nous nous focalisons sur le produit », selon Milky Mist. Exit les poches de lait en plastique : le Tetra Pak est de mise, tout comme une kyrielle de produits «à valeur ajoutée». Les lignes débitent les yaourts – à boire ou à manger –, ou encore le paneer, un fromage frais assez répandu… «Nous sommes un grand pays, le pouvoir d’achat augmente, les jeunes veulent de la nouveauté : il y a beaucoup de place à prendre». Reste que pour Milky Mist, 70% du chiffre d’affaires sont réalisés dans le sud du pays, la partie la plus riche…
«Le cœur du marché restera le low cost, mais Amul introduit aussi beaucoup de nouveautés. Les habitudes alimentaires changent progressivement, nous accompagnons le mouvement. La prochaine étape sera de démocratiser ces nouveaux produits à valeur ajoutée.»…
Non contentes de devoir jongler avec ces contraintes logistiques, les entreprises tricolores se heurtent également à un État très interventionniste. «Le premier défi est de collecter le lait. Le deuxième, c’est d’être en compétition avec des coopératives sur un marché subventionné»…
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Le groupe Bel s’est associé à la start-up américaine Superbrewed Food pour collaborer exclusivement sur ses futurs produits fromagers incorporant des protéines végétales qui seront issues de la fermentation de la biomasse…
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Les producteurs qui livrent l'usine Mont Blanc de Chef-du-Pont (Manche) misent sur Bel, nouvel actionnaire majoritaire. C'est la seule usine au monde à fabriquer la fameuse crème Mont blanc. À Chef-du-Pont, dans la Manche, MOM (Mont Blanc Materne) transforme 30 millions de litres de lait, collecté dans un rayon de 30 kilomètres, auprès d'une soixantaine de producteurs. À la sortie : des crèmes desserts et des gourdes de yaourts brassés aux fruits (Pom'Potes).
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Avec un PDG personnellement impliqué, des sessions de comex exclusivement ad hoc et des réseaux internes mobilisés pour innover, le groupe renforce son engagement responsable.
« Nous avons priorisé trois sujets de développement durable inhérents à l'activité du groupe : la filière laitière durable, la nutrition engagée et le packaging responsable. Le sujet est stratégique sachant que le groupe Bel met sur le marché 18 milliards de portions fromagères chaque année, sous les marques Mini Babybel, Kiri, La vache qui rit, Boursin ou Leerdammer »
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Le troisième groupe fromager mondial multiplie les usines dans le monde. Dernière en date au Vietnam, où les consommateurs fondent pour les fameuses petites
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Les Fromageries Bel ont enregistré un chiffre d'affaires de 2,93 milliards d'euros en 2016, en baisse de 0,4 %, et même de 1 % à périmètre et changes constants. Le groupe, qui consolidera MOM dans ses comptes dès cette année, a vu ses ventes diminuer de 2,1 % en Europe (53 % de son activité). Si elles ont progressé de 4,5 % dans la zone Amérique et Asie-Pacifique, elles sont en retrait de 2,3 % dans la zone Moyen-Orient et grande Afrique, perturbée par le contexte géopolitique.
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Du lait, une pointe de sel et quelques ferments… Depuis 1977, l’usine d’Évron produit des Mini Babybel, selon la même recette. Cinq millions de petits fromages ronds et rouges en sortent chaque jour.
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Le groupe laitier français renouvelle son partenariat avec l’ONG WWF pour les trois prochaines années, en mettant l’accent sur l’empreinte environnementale de l’élevage des vaches laitières.
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Le résultat net part du groupe atteint 184 millions d'euros (6,4% du chiffre d'affaires) contre 123 millions en 2014. "Près de 80% de la croissance du résultat opérationnel est générée par les zones hors Europe de l'ouest. Le groupe a restauré sa rentabilité en 2015, grâce aux effets favorables des parités monétaires et des prix des matières premières. Le chiffre d'affaires a progressé grâce ...
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Paris - En peine crise de l'élevage, un poids-lourd de l'industrie fromagère, le groupe Bel qui produit notamment la Vache-Qui-Rit, a annoncé mercredi son engagement à maintenir le prix d'achat du lait aux producteurs à 300 euros les 1.000 litres, pour les mois de janvier et février.
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