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Cedric
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Le groupe Bel a doublé son chiffre d'affaires à 1 milliard en 5 ans aux Etats-Unis en surfant sur « le snacking sain ». L'Asie est son autre pôle de développement…
Bel se voit un avenir de plus en plus international. Avec ses fromages en portions, La Vache qui rit, Babybel, ses spécialités végétales… et ses gourdes de compote. « Il y a cinq ans, nous réalisions 20% de notre chiffre d'affaires entre l'Amérique du Nord et l'Asie. En 2023, c'est 33%. D'ici à cinq ans, ce sera 50% »…
L'entreprise française, qui s'est retirée de la Bourse en janvier 2022, a sérieusement infléchi sa stratégie de groupe laitier au profit du snacking sain et du végétal en 2019. Mouvement qu'elle a confirmé plus récemment en vendant les fromages Leerdammer en septembre 2021 au groupe Lactalis, numéro un mondial des produits laitiers…
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Le groupe fromager français a très bien traversé la crise. Ce succès valide sa stratégie d’expansion…
«2022 a été une année pivot dans l’histoire du groupe Bel», assure Cécile Béliot. Pas tant parce que celle-ci en a pris la direction générale en mai ; mais surtout parce que le fromager (La Vache qui rit, Babybel, Kiri) a fait preuve de sa capacité de résistance aux fortes turbulences, de l’explosion du prix du lait à la flamblée de ceux de l’énergie en passant par les difficultés d’approvisionnement en emballages…
« Dans un contexte marqué par l’inflation, la guerre en Ukraine et ses conséquences, l’année a été un “stress test” grandeur nature pour notre stratégie de transformation, résume la dirigeante. Or cette stratégie a tenu, ce qui valide nos choix d’expansion géographique, notre accélération sur le végétal et le fruit, notre politique d’innovation et notre volonté de ne rien céder sur les investissements de long terme sur la RSE. Nous avons piloté le groupe sur ses deux jambes : financière et extra-financière.»…
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Le bénéfice du groupe Bel s'est effrité de plus de 49% au premier semestre, dans un contexte inflationniste marqué par une forte hausse des coûts de production. « Ce qui est très frappant dans cette crise inflationniste est que ça touche l'ensemble des lignes de nos coûts d'achat : matières premières, emballage, énergie, transport. »…
Pour protéger ses marges, Bel compte notamment sur « les négociations commerciales avec les partenaires de la grande distribution pour obtenir une meilleure réallocation de l'impact de l'inflation »…
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Le groupe fromager Bel a annoncé mercredi une hausse de 14% de ses ventes en 2017, en grande partie liée à l'intégration de Mont-Blanc Materne (MOM), mais prévenu que son bénéfice opérationnel allait être en recul sur l'exercice. Le chiffre d'affaires du groupe s'est établi à 3,3 milliards d'euros, contre 2,9 milliards pour l'exercice 2016.
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Le groupe Bel a annoncé vendredi une chute de son bénéfice net de 24% au premier semestre, en dépit d'une hausse de ses ventes grâce à l'intégration de MOM.
Les ventes des Fromageries Bel qui produisent notamment les fromages Vache qui rit, Kiri et Babybel ont affiché une croissance de 14,9%, à 1,6 milliard d'euros, grâce à l'intégration du Groupe Mont-Blanc Materne (MOM) qui en représente 14,1%, a indiqué le groupe dans un communiqué.
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Les Fromageries Bel continuent à faire le dos rond dans un marché compliqué, en particulier en Europe. Le groupe a stabilisé ses revenus sur neuf mois et compte sur la prochaine acquisition de MOM pour se diversifier. Bel a dégagé 2,18 milliards d'euros de chiffre d'affaires après neuf mois d'activité en 2016, un niveau quasiment identique à celui de l'année précédente, après une légère contraction des ventes (-0,2% à 731 ME) au troisième trimestre.
Si les zones Moyen-Orient / Afrique et Asie / Amériques progressent, l'Europe reste en berne à cause de la guerre des prix acharnée. Les volumes y sont légèrement haussiers mais cela a nécessité des efforts promotionnels accrus. Le propriétaire de La Vache Qui Rit explique être toujours confronté à des conditions de marché difficiles...
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Le groupe familial de fromage Bel, connue pour ses marques Kiri, Vache qui Rit et Mini Babybel a réalisé une belle année 2015 avec une croissance de son chiffre d’affaires de 5,9 % à 2,9 milliards d’euros, dont 0,1 % de croissance organique. ...
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Le groupe Bel vient de publier des résultats en forte progression sur le premier semestre 2023. Le bénéfice net du groupe a bondi de 61,8 % à 55 millions d’euros, pour un résultat opérationnel qui a également fortement progressé de 57,1 % à 108 millions d’euros. La marge opérationnelle courante de Bel atteint désormais 6,4 %, contre 4,7 % au premier semestre 2022… Le premier semestre 2023 du groupe Bel est marqué par une forte progression de ses résultats financiers, portés par une croissance organique « solide ». Son chiffre d’affaires s’est élevé à 1,790 milliard d’euros (+6,3 % comparé au premier semestre 2022, dont +9,1 % de croissance organique). En Europe, ses ventes sont en progression de 7 %... « L’activité en Europe a été marquée par la bonne performance de Babybel au Royaume-Uni et a été soutenue par les revalorisations de prix, qui compensent une baisse de la consommation en volume, du fait de la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs ». Toutefois, sur cette zone comme en Afrique du Nord, les performances en volume sont en recul du fait d'une inflation qui s'est intensifiée et qui impacte le pouvoir d'achat des consommateurs…
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Les ventes du groupe Bel ont augmenté de 6,4% en 2022, portées par la croissance de l'activité "fruits", le marché chinois et des hausses de prix. Le groupe a enregistré un chiffre d'affaires de 3,59 milliards d'euros. Mais cette croissance s'affiche selon à 13,2 % en organique…
« Cette performance robuste s'explique par la forte croissance des volumes des nouveaux territoires », qui regroupent pêle-mêle les activités de MOM (marques Mont-Blanc, Materne), les marchés d'Afrique sub-saharienne et la Chine, explique le communiqué…
Les "marchés matures", où évoluent les marques traditionnelles comme Babybel ou Boursin, ont, eux, connu une baisse de 2,2 % du chiffre d'affaires, à 2,65 milliards d'euros, « du fait d'un changement de périmètre lié essentiellement à la cession de la marque Leerdammer »…
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Le Groupe Bel a enregistré en 2021 un chiffre d’affaires de 3 379 millions d’euros, en baisse de 2,2 %, à la suite de l’évolution du périmètre car le groupe a notamment cédé la marque Leerdammer à Lactalis. En 2022, il poursuit son verdissement malgré le contexte inflationniste…
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Au 30 septembre 2017, le chiffre d’affaires consolidé cumulé du Groupe Bel s’établit à 2 513 millions d’euros, en hausse de 15,3% par rapport aux neuf premiers mois de l’exercice précédent. Le Groupe Mont-Blanc Materne (MOM) représente 312 millions d’euros et apporte une croissance de14,3%. L’effet de change négatif sur la période est de 34 millions d’euros ou – 1,5%.
Ainsi, hors effet de change et de périmètre, le chiffre d’affaires progresse de 2,5% au cumul des neuf premiers mois de 2017 par rapport aux neuf premiers mois de l’exercice précédent.
Le chiffre d’affaires du troisième trimestre s’établit à 847 millions d’euros, en hausse de 16,0% si on le compare à celui du troisième trimestre 2016. Hors effet de périmètre et de change, la croissance du chiffre d’affaires du seul trimestre est de 5,0%.
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Les Fromageries Bel ont enregistré un chiffre d'affaires de 2,93 milliards d'euros en 2016, en baisse de 0,4 %, et même de 1 % à périmètre et changes constants. Le groupe, qui consolidera MOM dans ses comptes dès cette année, a vu ses ventes diminuer de 2,1 % en Europe (53 % de son activité). Si elles ont progressé de 4,5 % dans la zone Amérique et Asie-Pacifique, elles sont en retrait de 2,3 % dans la zone Moyen-Orient et grande Afrique, perturbée par le contexte géopolitique.
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Le résultat net part du groupe atteint 184 millions d'euros (6,4% du chiffre d'affaires) contre 123 millions en 2014. "Près de 80% de la croissance du résultat opérationnel est générée par les zones hors Europe de l'ouest. Le groupe a restauré sa rentabilité en 2015, grâce aux effets favorables des parités monétaires et des prix des matières premières. Le chiffre d'affaires a progressé grâce ...
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