Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
Cedric
|
La directrice générale de Bel, Cécile Beliot, veut diversifier le groupe fromager avec plus de végétal. Elle a rejoint en 2018 le groupe familial fondé en 1865, très présent à l’international. Elle présente ses nouveautés axées sur le « bien-manger »…
La diversification géographique était une nécessité, en Amérique du Nord comme en Asie. Les États-Unis sont déjà le premier marché du groupe, devant la France, avec 27 % de nos ventes - réparties à égalité entre les fromages et les compotes - et cinq sites industriels. Bel a doublé de taille en cinq ans outre-Atlantique, avec plus de 1 milliard de chiffre d'affaires. Nous souhaitons encore doubler de taille d'ici à 2030, car nos marques en sont capables. En Chine, nous avons multiplié par cinq notre activité depuis 2020. Nous souhaitons encore le multiplier par trois d'ici à 2030…
Notre portefeuille reste diversifié, même si le non-laitier a progressé de 15% à 20% des ventes en cinq ans. De cet équilibre entre les deux, laitier et non-laitier, dépend la résilience. Nous serons à 50-50 après 2030. Et nous multiplions les partenariats avec des start-up pour créer des alternatives végétales aux fromages…
|
Scooped by
Cedric
|
Le groupe Bel (La Vache qui rit, Babybel… et, depuis peu, Pom’Potes), conforte ses ambitions sur le marché des alternatives végétales… Avec 3,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires, le groupe Bel a enregistré, en 2023, une croissance de 5,8 %, notamment portée par le « snacking fruitier » (portions individuelles de compote), aux États-Unis et au Canada et par le dynamisme de la marque Kiri en Chine… Aujourd’hui, plus de 80% de l’activité de Bel est réalisée à l’étranger. Les produits sont fabriqués sur tous les continents (10 000 salariés au total) et sont vendus dans 130 pays. En 2022, le groupe a renforcé son développement à l’international avec deux acquisitions en Chine, et en Inde.
|
Scooped by
Cedric
|
L'été dernier, plusieurs marques avaient annoncé enclencher une révision de leur tarif. La Vache qui Rit. Résultat : plutôt concluant dans le niveau de baisse : – 8% vs un maximum annoncé de 10%.
|
Scooped by
Cedric
|
Le groupe Bel a doublé son chiffre d'affaires à 1 milliard en 5 ans aux Etats-Unis en surfant sur « le snacking sain ». L'Asie est son autre pôle de développement…
Bel se voit un avenir de plus en plus international. Avec ses fromages en portions, La Vache qui rit, Babybel, ses spécialités végétales… et ses gourdes de compote. « Il y a cinq ans, nous réalisions 20% de notre chiffre d'affaires entre l'Amérique du Nord et l'Asie. En 2023, c'est 33%. D'ici à cinq ans, ce sera 50% »…
L'entreprise française, qui s'est retirée de la Bourse en janvier 2022, a sérieusement infléchi sa stratégie de groupe laitier au profit du snacking sain et du végétal en 2019. Mouvement qu'elle a confirmé plus récemment en vendant les fromages Leerdammer en septembre 2021 au groupe Lactalis, numéro un mondial des produits laitiers…
|
Scooped by
Cedric
|
La première portion végétale de Vache qui rit, produite exclusivement à Lons-le-Saunier, est commercialisée sur le marché anglo-saxon, aux États-Unis, mais aussi en Angleterre et au Canada depuis début décembre. Une petite révolution dans une entreprise qui travaille dans le monde du lait depuis plus de 150 ans.
|
Scooped by
Cedric
|
Énergie, eau et embauches sont trois priorités pour 2024 à l’usine Bel de Sablé sur Sarthe. Le site, qui est le plus diversifié du groupe, s’étend sur 12 hectares dont 318 000 m2 couverts. Une grande partie des fromages produit à l'usine Bel de Sablé-sur-Sarthe est exportée, notamment vers le Japon…
Cette usine est la plus importante du groupe avec 615 salariés, une production de 41 000 t de fromages (à plus de 50% exportés notamment au Japon) et de 13 000 t de produits industriels (lait concentré ou poudre de lait, protéines sériques, sérum concentré)…
|
Scooped by
Cedric
|
Les alternatives à la viande ou au lait, exclusivement végétales, sont désormais composées à l’aide d’algorithmes. De quoi accélérer le développement du secteur, et améliorer les aliments sortis de ces éprouvettes…
Deux semaines top chrono ! C’est le temps qu’il a fallu à Climax Foods, une start-up implantée à Berkeley en Californie, pour recréer à la perfection, visuelle tout autant que diététique et gustative, un «Mini Babybel» bien de chez nous réalisé en collaboration avec Bel. «En n’utilisant que du chanvre, de la citrouille et des haricots blancs, pour aboutir au même niveau de protéines que le produit initial»…
L'IA permet de diminuer le temps consacré à la recherche et au développement. Ce trompe-l’œil culinaire n’aurait pas été possible sans le recours à l’IA. La seule capable de combiner aussi rapidement, et sans erreur, les milliers de références de plantes et de légumineuses qui constituent la base de données de Climax Foods…
|
Scooped by
Cedric
|
Nous ne sommes pas obsédés par la taille : avec 3,6 milliards d’euros de revenus, on est dix fois plus petit que Danone. Mais nous misons sur l’innovation et la responsabilité pour émerger… Nous nous définissons par l'offre de portions de "bien manger" sur 3 territoires : le lait, le fruit et le végétal. Et nous voulons être pionner en responsabilité. Nous œuvrons selon trois piliers : • Un, passer partout en agriculture régénérative. Pour l’élevage, cela signifie élever les vaches en pâturage, ne pas les nourrir avec des tourteaux de soja génétiquement modifié (OGM), leur donner des compléments alimentaires, favoriser des méthodes d’agro-écologie, etc. • Deux, veiller à ce qu’on met dans l’assiette du consommateur. En commençant par changer sa composition. Idéalement, la moitié devrait provenir de fruits et légumes, 15% de céréales, 15% d’huiles et matières grasses pour la préparation et 15% de protéines d’origine végétale. • Et trois, développer des alternatives aux protéines animales : nous avons lancé récemment un Vache Qui Rit, un Babybel et un Boursin à base de plantes. Aujourd’hui, notre portefeuille est composé à 80% de produits laitiers et à 20% de non-laitiers. À terme, nous voulons arriver à 50-50%. Je dis à nos éleveurs que nous allons financer leur transition vers une agriculture et un élevage durables…
|
Scooped by
Cedric
|
La marque Boursin, propriété de Bel Brands USA, a ajouté une nouvelle saveur de truffe à sa gamme de fromages. Boursin Truffle offrirait « une touche de luxe supplémentaire »…
« Maintenant, avec l'essor de la cuisine maison et les consommateurs qui cherchent à rehausser leurs repas quotidiens pour un moment de gourmandise, la nouvelle saveur est parfaitement placée pour répondre à cet appétit. »
|
Scooped by
Cedric
|
Le groupe continue d'étoffer sa marque Nurishh Parmi les dernières innovations de la marque, le râpé végétal Gran Veggiano, pour saupoudrer pâtes, risottos, légumes ou s'intégrer dans des sauces en apportant sa touche italienne…
Bel a lancé Nurishh en 2021, dans le cadre de sa stratégie de transformation, qui consiste à diversifier son portefeuille pour atteindre à moyen terme 50% de produits laitiers et 50% de produits fruitiers et végétaux. Des produits qui peuvent s'intégrer à un régime végétalien, végétarien ou flexitarien, sans lait ni lactose mais riches en calcium et en vitamine B12…
|
Scooped by
Cedric
|
Le distributeur veut accélérer le développement des ventes d’alternatives végétales. Pour cela, il a lancé une coalition internationale avec 7 industriels de l’agroalimentaire, Danone, Bel, Savencia... Objectif ? 3 Mds € de chiffre d’affaires d’ici à 2026…
D’ici à 2026, le marché des alternatives végétales devra générer un chiffre d’affaires de 3 Mds € grâce aux ventes de la marque propre de Carrefour « Sensation Végétal » pour 500 M€ (soit un objectif de croissance de 65% par rapport à 2022) mais aussi grâce aux produits des 7 membres fondateurs de cette coalition (Unilever, Danone, Bel, Andros, Bonduelle, Nutrition et Santé, Savencia)…
Au premier semestre 2023, le chiffre d’affaires réalisé par Carrefour sur le marché des alternatives végétales a atteint 200 M€. Il se compose de quatre catégories principales : les boissons, l’ultra-frais, le traiteur et les légumineuses. Une démarche, déjà à l’œuvre dans 26 points de ventes de Carrefour Espagne et qui donne des résultats plutôt encourageants avec une hausse de 26% des ventes…
|
Scooped by
Cedric
|
C’est né dans l’Eure : Le Boursin, de la vache normande aux supermarchés américains
Né de l’imagination d’un crémier parisien, le Boursin est bel est bien né dans l’Eure. Toujours produit dans son usine de Croisy-sur-Eure, le fromage frais mondialement connu reste fidèle à ses racines, tout en évoluant constamment…
|
Scooped by
Cedric
|
Lactalis, Danone, Bel... Les grands groupes français du secteur sont partis à l’assaut du marché indien. Au pays de la vache sacrée, les champions français veulent conquérir un marché laitier en plein essor. Mais, entre les contraintes logistiques et l’État protectionniste, l’aventure est souvent éprouvante…
• 210 millions de tonnes de lait produites en 2020 (contre 140 millions en Europe et 100 millions aux États-Unis)
• 91 millions de producteurs
• 5 % C’est la part du secteur laitier dans le PIB indien, ce qui correspond à un tiers de la valeur ajoutée de l’agriculture.
Au pays de la vache sacrée, la productivité n’est pas encore au rendez-vous, généralement de 6 à 8 litres). Rien de surprenant, quand les éleveurs ne possèdent en moyenne que trois bêtes et conservent jalousement un gros tiers de leur production. Le respect de la chaîne du froid relève trop souvent de la chimère. La qualité du lait et la productivité des vaches doivent grimper en flèche. Ici, les vaches n’ont pas le monopole du lait : elles se partagent équitablement le gâteau avec les bufflonnes d’eau. Ces dernières produisent un lait de moins bonne qualité, mais ont l’avantage de ne pas être sacrées. Ainsi, quand elles arrivent au terme de leur production laitière, elles peuvent être réformées, puis consommées pour leur viande…
« C’est un secteur qui croît d’environ 6 % chaque année. D’ici à 2047, nous espérons atteindre 45 % de la production mondiale, contre 24 % aujourd’hui.» Les champions hexagonaux l’ont bien compris et placent leurs pions. Lactalis multiplie les acquisitions d’acteurs indiens depuis dix ans. Il possède désormais trois marques Tirumula, …), onze usines et figure parmi les acteurs privés de premier plan avec… près de 1,5 % de part de marché. Cette année, Bel lance pour de bon la production de sa fameuse Vache qui rit en partenariat avec un acteur local. Savencia (propriétaire de marques comme Elle & Vire et Tartare) s’est, lui, implanté du côté de Delhi, tandis qu’Andros commercialise sa « Mamie Yova »…
Le Gujarat, un État situé à la frontière sud du Pakistan, l’une des régions agricoles les plus développées du pays. Et plus précisément Anand, "la capitale du lait". C’est ici qu’est née en 1946 la coopérative Amul qui, avec ses 16 % de part de marché, écrase le secteur indien des produits laitiers. Quand la plupart des acteurs restent confinés au niveau régional, Amul, et sa flopée de marques, déverse ses produits dans tout le pays. Amul se veut l’antithèse de la société privée, un modèle qui assure qu’entre «75 et 85 % du prix du produit final revient aux éleveurs». Amul, c’est le bras armé de la politique agricole de l’État, qui distribue de généreuses subventions dans le sillage de programmes de développement ambitieux. Amul, l’héritier de la «révolution blanche» qui, à partir de 1970, a été chargée de conduire le pays vers l’autosuffisance laitière…
L’échec de Danone sur le marché des yaourts revient régulièrement dans les conversations, ses produits ne trouvant pas suffisamment de clients. Les success stories étrangères sont maigres. Les ventes de Lactalis reposent encore à 70% sur ces immanquables poches de lait, un sachet plastique de 500 ml à consommer sous 48 heures. Un produit d'entrée de gamme par excellence, pour lequel la bataille avec les coopératives est particulièrement sanglante. « Ça ne sert à rien d’avoir de la qualité si ce n’est pas ce que le marché veut»…
A côté de ce cœur de modèle low cost assumé, se développent aussi des acteurs privés nationaux aux ambitions gargantuesques. «Nous ciblons le marché des dix prochaines années. Amul se focalise sur le lait, nous nous focalisons sur le produit », selon Milky Mist. Exit les poches de lait en plastique : le Tetra Pak est de mise, tout comme une kyrielle de produits «à valeur ajoutée». Les lignes débitent les yaourts – à boire ou à manger –, ou encore le paneer, un fromage frais assez répandu… «Nous sommes un grand pays, le pouvoir d’achat augmente, les jeunes veulent de la nouveauté : il y a beaucoup de place à prendre». Reste que pour Milky Mist, 70% du chiffre d’affaires sont réalisés dans le sud du pays, la partie la plus riche…
«Le cœur du marché restera le low cost, mais Amul introduit aussi beaucoup de nouveautés. Les habitudes alimentaires changent progressivement, nous accompagnons le mouvement. La prochaine étape sera de démocratiser ces nouveaux produits à valeur ajoutée.»…
Non contentes de devoir jongler avec ces contraintes logistiques, les entreprises tricolores se heurtent également à un État très interventionniste. «Le premier défi est de collecter le lait. Le deuxième, c’est d’être en compétition avec des coopératives sur un marché subventionné»…
|
|
Scooped by
Cedric
|
C'est la première fois qu'un acteur privé, le Groupe Bel, investit dans la réhabilitation des tourbières du Jura. Pour l'entreprise, financer un projet de captation du carbone est un moyen de compenser les émissions inévitablement induites par la production industrielle de son fromage…
"Pour des acteurs de l'environnement, c'est un cadeau de Noël." Après 4 ans de préparation, un partenariat a été officialisé entre les différents acteurs publics du projet et le producteur de fromage, pour réhabiliter des tourbières dans le Jura, un levier d'action considérable contre le réchauffement climatique…
Les tourbières sont des zones humides. L'accumulation des végétaux morts dans l'eau y forme de la tourbe, une matière organique qui fixe le carbone dans le sol. Les espaces tourbeux emprisonnent 30% du carbone mondial stocké dans le sol alors qu’ils n'occupent que 3% des terres émergées du globe. Résultat : les tourbières asséchées sont responsables de 5% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Leur réhabilitation est donc un levier d'action essentiel contre le réchauffement climatique…
|
Scooped by
Cedric
|
Conçue et fabriquée sur le site Bel de Lons-le-Saunier (Jura), cette version végane du célèbre fromage a nécessité plusieurs années de recherches. Elle est d’abord destinée au marché anglo-saxon…
Ici, la couleur verte est primordiale. La ligne de production consacrée à cette nouvelle diversification sans lait produit ses 220 portions à la minute, immédiatement empaquetées dans les fameuses petites boîtes rondes. Ces dernières partiront vers le Royaume-Uni, l’Irlande, le Canada ou les États-Unis…
|
Scooped by
Cedric
|
En pleine crise agricole, alors que Lactalis et ses fournisseurs s'écharpent sur les prix du lait, le groupe Bel établit chaque année avec ses éleveurs un prix annuel. Il respecte leur prix de revient, et leur garantit une visibilité…
Un grand industriel français du lait, Bel, affiche en effet des relations bien plus apaisées avec ses éleveurs. Et ce grâce à un modèle contractuel pionnier, expérimenté depuis 7 ans avec l’OP réunissant tous ses fournisseurs de lait en France : l'Association des producteurs Bel de l'Ouest (APBO), qui réunit quelque 700 fermes dans le grand-ouest…
Chaque année depuis 2017, Bel et l'APBO signent un accord fixant le prix du lait pour les 12 mois à venir. Cette stabilité du prix constitue une importante garantie pour les éleveurs, souvent soumis à des prix fixés au trimestre voire au mois. Par ailleurs, l'accord et le prix incluent chaque année une rémunération sur la transition écologique engagée par les producteurs de Bel. Notamment une prime de 21€ pour compenser les coûts d'une alimentation des vaches sans OGM et leur accès aux pâturages…
Ainsi, le tout dernier accord, conclu le 21 novembre 2023, prévoit qu'en 2024 Bel paiera à ses fournisseurs 456€ pour le lait conventionnel, et 525€ pour le lait bio. La baisse du prix est toutefois compensée par une hausse des volumes achetés, qui passent de 415 à 421 millions de litres par an. Une prime supplémentaire de 10€ est en outre prévue, à compter du second semestre 2024, pour les éleveurs choisissant d'utiliser un complément alimentaire réduisant les émissions de méthane entérique des vaches.
|
Scooped by
Cedric
|
Alors que la consommation nomade ne cesse de progresser, Bel Foodservice renforce son offre snacking avec des produits emblématiques et des nouveautés…
|
Scooped by
Cedric
|
Le fromager Bel conserve jalousement le secret de ses machines Apéricubes, capable de produire à la cadence infernale de 12 cubes à la seconde. Environ un milliard de ces petits carrés fromagers sont ainsi produits sur le site chaque année. Un savoir-faire technique que l'entreprise peaufine depuis les années 1960…
C’est un tourbillon de machines, une succession de rotations qui rappellent le tutu des ballerines, qu’on demande à faire ralentir pour entrevoir ce qu’elles trament. Nom de code : CCC. Photos interdites. Mais au milieu des fracas métalliques on gratte quelques explications sur la «chaîne cinématique continue». La ligne et ses neuf comparses est abritée par les murs de l’usine de Dole (Jura) de Bel, 3,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2022…
|
Scooped by
Cedric
|
Le plus petit des géants français des produits laitiers mise sur la biomasse et une relation étroite avec ses producteurs de lait pour adapter son modèle économique à la nouvelle donne climatique…
D’ici deux ans, tous les sites industriels du groupe Bel devront être neutres en carbone. Sur sa trentaine d’usines dans le monde, neuf sont en France, la biomasse est un des vecteurs de décarbonation privilégié : cinq sites y sont déjà convertis, deux pourraient suivre dans les prochains mois…
Bel compte réduire d’un quart les émissions carbone de son scope 3 d’ici 2035, soit ses émissions indirectes, liées notamment à ses achats de matières premières. Le groupe a fini en 2023 de réaliser des bilans carbone sur l’ensemble des 800 exploitations de l'association de producteurs (APBO) qui lui fournit son lait. Il doit en parallèle pérenniser les éleveurs, alors que la chute du cheptel, après des années de prix du lait peu rémunérateur est particulièrement forte en France. Depuis sept ans, Bel sécurise ces derniers avec un prix fixé pour l’année qui leur donne en visibilité. Cette année, Bel a prévu une prime de 10 euros tous les 1000 litres si les éleveurs intègrent à la ration de leurs bêtes le «Bovaer», un additif développé par le Néerlandais DSM…
|
Scooped by
Cedric
|
Bel promet 456 €/1 000 litres à ses producteurs en 2024 contre 471 en 2023. Ce prix du lait est assorti d’une clause de révision 2 fois dans l’année. Un accord responsable pour l’ensemble de la chaîne de valeur, mais aussi d’une agriculture durable…
Le cahier des charges Mon BB Lait® basé sur une alimentation non OGM de nos vaches, un accès aux pâturages de 150 jours minimum et une stratégie carbone, mis en œuvre pour l’ensemble des adhérents de l’APBO et ainsi pour 100% du lait servant à fabriqué le Kiri, le Babybel, le Boursin et le Cousteron…
Les exploitations qui choisiront de déployer volontairement le complément alimentaire Bovaer verront le prix majoré d’une prime optionnelle de +10 € sur la période d’utilisation, dès le second semestre 2024…
|
Scooped by
Cedric
|
La marque appartenant à Bel a déclaré qu'elle était la première au Royaume-Uni à proposer une alternative végétale au fromage en portions.
|
Scooped by
Cedric
|
[Podcast] Bel : Stratégie Innovation & Responsabilité
"Mes actionnaires se définissent comme des passeurs. Ils me disent : nous n’avons pas hérité de l’entreprise, nous l’avons empruntée à la génération d’après. Quand on regarde à 20 ou 30 ans, on voit bien que le modèle est cassé."… Bel réalise un chiffre d’affaires de 3,6Mrd, fait travailler près de 11 000 employés dans le monde, a une présence dans 120 pays…
|
Scooped by
Cedric
|
Implanté depuis 1964 à Sablé-sur-Sarthe, le groupe Bel y produit des fromages frais fondus, dont le fameux Kiri®, mais aussi à pâte pressée, dont le Babybel®. Plus de 50 % de la production sarthoise part à l’exportation… C’est dans l’usine construite en 1964, que sont produits chaque jour quatre millions de portions de ce fromage issu d’un caillé frais dont la recette a été élaborée en 1966 et qui, depuis, traverse les générations. Un succès retentissant. Un best-seller qui a su vivre avec son temps. Il s’est notamment mis au bio en mai 2022... Le marché chinois est friand de ce produit ; le Japon, également, où sont concoctées des pâtisseries à base de Kiri®. C’est d’ailleurs notre client n°1. » En juin 2021, le Groupe Bel a conclu un partenariat avec Disneyland® Paris…
|
Scooped by
Cedric
|
Une vache qui rit® féministe : Martha Wilson crée une Boîte Collector féministe. Pour sa 10ème édition, la boîte collector a été rhabillée par l'artiste américaine Martha Wilson qui coiffe et maquille la vache emblématique…
Depuis 2014, le Lab’Bel, laboratoire artistique du groupe Bel, propose à un artiste de produire une Boîte Collector La Vache qui rit®, qu’il revisite à sa manière…
|
Scooped by
Cedric
|
L’enseigne Bel Algérie lance un nouveau produit « La Vache qui rit Extra Benna », classé dans la catégorie des fromages fondus sur le marché. La Vache qui rit® Extra Benna est une exclusivité algérienne, fabriquée en Algérie par des Algériens et avec une partie des ingrédients provenant de sources locales…
Cette démarche de développer l’approvisionnement local s’inscrit dans la vision de l’entreprise de renforcer son engagement en Algérie en participant au développement de l’économie nationale.
Désormais, la gamme La Vache qui rit® se décline en deux offres distinctes :
• La Vache qui rit® Extra Benna (Nouveau) : Un fromage fondu offrant une expérience gustative gourmande et un goût fromager intense, grâce à une sélection rigoureuse des meilleurs ingrédients laitiers, tels que le lait, le beurre et le fromage.
• La Vache qui rit Original® : Une recette équilibrée au bon goût de La Vache qui rit®, enrichie en nutriments essentiels que sont : les vitamines A, D, fer et zinc. Elle incarne l’engagement de l’accessibilité à la bonne alimentation au plus grand nombre.
|