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Créée en 2004, l’association SPIE (Système Professionnel Information Élevage) recueille et transmet des données d’élevage, brutes ou élaborées, dans le respect de la réglementation. Depuis le 1er octobre 2023, elles sont accessibles, sous condition, sur le site internet www.e-spie.fr . SPIE a pour vocation la constitution d’une base de données d’élevage informatisée destinée aux professionnels de la filière bovine. Disposant « d’une copie-miroir » de la BDNI (base de données nationale d’identification animale), l’association souhaite fluidifier les échanges de données et à terme, lancer un service de passeport professionnel dématérialisé. Le catalogue géré par SPIE comprend 3 familles de données mises à jour quotidiennement : • les détenteurs d’animaux (élevages, abattoirs, marchés, équarrisseurs, négociants…) • les animaux (identification des bovins, type racial, âge, sexe, localisation, informations sur les parents) • les flux dans les élevages, entre élevages, mais aussi sur les marchés et dans les abattoirs
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Les chambres d’agriculture-EDE et les entreprises de conseil en élevage de Normandie, Pays de LA Loire et trois départements du Centre proposeront désormais un outil commun qui permettra de rassembler toutes les données de l’exploitation.
Pilot’Élevage remplacera avantageusement les trois outils utilisés sur la zone (Synel, Mil’Klic et Osmos selon les départements).
Il permet de gérer l’identification (déclarations de naissance, boucles, inventaire avec effectifs UGB), la santé, la reproduction, les performances lait et viande.
L’ergonomie a été revisitée avec un axe tactile très développé.
La révolution numérique continue son chemin dans le monde agricole. La notion de partage de données et de connaissances prend de l’ampleur avec la création de nouveaux outils et plateformes collaboratifs. En voici un tour d’horizon...
Via IDELE Institut de l'Elevage
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Ce 21 novembre, les actionnaires de la SAS Api-Agro, fondée par les instituts techniques, ont acté une deuxième levée de fonds. De nouveaux acteurs du privé se sont mobilisés pour réunir au total 1 million d’euros... Pour rappel, la société Api-Agro a pour objet la valorisation des données agricoles pour aider à inventer de nouveaux services pour l’agriculture.
À la création de la SAS, les données sont celles de la quinzaine d’instituts techniques français. Le rôle d’Api-Agro est de venir en appui aux organisations en les interconnectant. En particulier, elle s’adresse aux sociétés spécialisées du numérique, de la traçabilité, aux fournisseurs de données, aux entreprises économiques et aux organisations professionnelles des secteurs animaux, végétaux, sanitaires, génétiques…
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Le Big Data est un concept qui s'est popularisé dès 2012 pour signifier la croissance exponentielle des données (data) à traiter..
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Les Zen’bots sont des robots conversationnels utilisant des principes d’intelligence artificielle et de big data au service des éleveurs. Benoît Coudreau, consultant en système d’information chez Adventiel, nous explique plus en détails comment cela fonctionne.
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« On n’a jamais eu une aussi grande dynamique de création de projets et de start-ups en agriculture. Pourtant, on reste faible sur la phase d’accélération [...]. Peu de boîtes sont parvenues à émerger depuis trois ans : comment passer d’un marché de 10 agriculteurs à 10 000 ? Pour cela, on a encore du mal. »
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Si vous pensiez l’agriculture coincée à l’âge de pierre, vous avez tout faux. C’est même l’un des secteurs les plus connectés et technophiles. Pas à la traîne, la France mise sur le Big Data pour toujours plus innover et cela se passe à Montpellier avec #DigitAg.
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Les producteurs laitiers ont adopté de nombreuses technologies qui génèrent de nombreuses quantités de données, mais ils ne sont pas en mesure d'intégrer l'information pour améliorer la prise de décision. Il devrait y avoir une application pour cela, et il pourrait bientôt y avoir une.
Une équipe multidisciplinaire de scientifiques de l'Université du Wisconsin a commencé à créer un «cerveau virtuel de la ferme laitière» qui rassemblera et intégrera tous les flux de données d'une ferme en temps réel et utilisera l'intelligence artificielle pour analyser les données afin d'aider les agriculteurs à mieux gérer les décisions.
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AgGate collectera dans un cloud protégé les millions d’informations provenant de capteurs au sol, de stations météo, de drones et de satellites. Il sera opérationnel dans trois ans pour l’ensemble de la profession agricole. ...
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AgGate collectera dans un cloud protégé les millions d’informations provenant de capteurs au sol, de stations météo, de drones et de satellites. Il sera opérationnel dans trois ans pour l’ensemble de la profession agricole.
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Synthèse de l'étude menée autour de l'agriculture numérique et de la data agricole sur les réseaux sociaux.
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Neovia unit ses compétences à celles d’Innoval Eilyps, Cogedis et Adisseo pour créer la start-up Applifarm. Cette plateforme exploitera diverses sources de données (gestion, alimentation, laiterie, conseil en élevage, reproduction, suivi de performance, conseil sanitaire, …) qui permettront aux entreprises de la filière ruminants de créer de nouveaux services pour les éleveurs. Ce projet ouvert et collaboratif s’inscrit résolument dans la démarche « d’open innovation » menée depuis plusieurs années par Neovia.
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Les principes fondateurs de l’open source – la capacité de partager, distribuer, modifier et reproduire des informations – sont-ils transposables à l’agriculture ?
L’open source dans le monde agricole : état des lieux
Les cas d’étude open source en agriculture :
- Ekylibre, logiciel de gestion agricole
- Atelier Paysan, coopérative d’auto-construction de matériel agricole
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Smag, filiale du groupe coopératif Invivo, veut s’imposer comme l’acteur de référence du big data agricole en France dans les prochaines années. Après avoir construit une plate-forme de traitement des données, il va produire de premiers services et indicateurs nourris au big data en 2018.
Capter "50% des données agricoles françaises" à l’horizon 2025 ! C’est l’objectif que se fixe la société Smag (compression de "Smart agriculture"), filiale numérique du groupe coopératif Invivo.
Ambitieux, car des géants mondiaux du secteur ont le même appétit pour les données agricoles : les Monsanto (avec sa filiale Climate Corp), John Deere ou Dupont sont sur les rangs pour capter cette valeur.
Le Français est encore un petit poucet, avec ses 12 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2017 (en croissance de 13% sur un an), mais il ne compte pas jouer les seconds rôles, en particulier sur ses terres.
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Depuis les années 2000, la filière laitière a connu d’importants changements structurels, y compris avant la sortie des quotas laitiers en 2015. Ces transformations donnent une importance particulière à la connaissance et à l’analyse des exploitations du secteur. Du fait de leur périodicité pluriannuelle, les données statistiques habituellement mobilisées pour analyser la structure des exploitations ne permettent pas de rendre compte des phénomènes constatés, très rapides, notamment depuis 2010. Afin de disposer d’une base d’informations sur un pas de temps resserré et permettant de faire des focus géographiques, différentes sources de données administratives disponibles à l’échelle des exploitations laitières ont été appariées dans le cadre d’un travail engagé en 2015 par le Centre d’études et de prospective du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. Cet Appariement de Données sur les Exploitations Laitières (ADEL) fournit ainsi une base d’informations annuelles entre 1995 et 2015 compilant, pour un panel non cylindrique de plus de 240 000 exploitations (ayant produit du lait de vache sur cette période), 208 variables concernant leur quota laitier, leurs surfaces exploitées et cultures mises en oeuvre, leur cheptel bovin, ainsi que leur main-d’oeuvre. A retrouver sur http://agriculture.gouv.fr/telecharger/87849?token=8f0df385e4d34d080feadf50fd89bce8
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Vous en avez assez d'entendre parler de la génération Y ? Et pourtant, elle représente aujourd'hui le quart de la population américaine et rapporte 10 milliards de dollars en pouvoir d'achat. Une part importante des efforts de développement de nouveaux produits des transformateurs de produits laitiers devrait cibler cette puissante population.
Mais que veulent exactement les millénials ? Selon un nouveau rapport de CBD Marketing, les millénials gravitent autour d'aliments naturels et sains ; de saveurs et aliments culturels tels que scandinaves et indiens ; des boissons vous qui énergisantes, qui favorisent l'immunité et l'aide digestive.
De plus, les millénials veulent préparer et cuisiner leurs propres repas, et ils soutiennent la distribution de nourriture alternative par l'intermédiaire de services de livraison.
Selon une nouvelle étude de l'Organic Trade Association (OTC), les enfants du millénaire sont également de grands acheteurs d'aliments et de boissons biologiques. La tendance de la génération Y pour le bio va de pair avec une autre tendance, à savoir la montée du consommateur socialement responsable.
Selon CBD Marketing, les millénials veulent la transparence et veulent acheter auprès de fabricants et de fournisseurs soucieux de l'environnement. « Les acheteurs se sont familiarisés avec les étiquettes alimentaires telles que "bio", "sans OGM" et "sans antibiotiques" et ces attributs sont très importants pour les décisions d'achat. » Mais la prochaine vague de croissance, prévoit l’IRI, se concentrera sur les entreprises allant au-delà des attributs du produit. « Les stratégies commerciales globales devront intégrer les valeurs culturelles émergentes ».
«Les millénials partagent leurs opinions et leurs habitudes d'achat en ligne via les plateformes des médias sociaux et sur d'autres sites. Les entreprises et les marques qui exploiteront ce trésor de données en ligne seront celles qui commercialiseront leurs produits avec succès. »
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Si la robotique et l’élevage ont fait connaissance il y a plus de 25 ans (le 1er robot de traite est apparu fin des années 80 aux Pays-Bas, en 1992 en France), le nombre et le type de robots proposés explose. Leur première mission est de réduire le travail d’astreinte et la pénibilité de certaines tâche... De même, aux côtés des robots, les éleveurs peuvent compter sur des objets connectés : caméras de suivi à distance, boitiers de contrôle des clôtures, capteurs pour la santé et la reproduction... Les applis se multiplient et transforment le smartphone qu’ont dans la poche la plupart des agriculteurs, en cœur névralgique de l’exploitation.
En agriculture, on estime à 20%, jusqu’en 2020, la croissance annuelle de ces objets connectés. Au sommaire : - Les Zen’bots, des robots conversationnels pour le monde de l’élevage bovin sur http://www.ac-mag.fr/outils-aide-decision-interfaces-hommes-machines/91-les-zen-bots-des-robots-conversationnels-pour-le-monde-de-l-elevage-bovin
- Breeder et Applifarm optimisent le suivi technique du troupeau laitier sur http://www.ac-mag.fr/outils-aide-decision-interfaces-hommes-machines/92-breeder-et-applifarm-pour-optimiser-le-suivi-technique-du-troupeau-laitier
etc.
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Cargill Inc. a lancé récemment une plate-forme de collecte, de gestion et d'analyse de données Dairy Enteligen ™ en Italie et en Espagne, à déployer prochainement aux États-Unis et dans d'autres régions.
Cargill met l'accent sur la numérisation et l'analyse. Et cela témoigne clairement de l'intention de l'entreprise d'utiliser le big data pour aider les producteurs laitiers.
«Dans l'économie agricole actuelle, les producteurs laitiers recherchent des informations et des connaissances en temps réel pour les aider à prendre les meilleures décisions pour exploiter une ferme rentable et efficace, tout en assurant que leurs animaux soient bien nourris. Nous croyons que Dairy Enteligen ™ a le pouvoir de transformer fondamentalement l'industrie laitière en débloquant le pouvoir des données pour guider la prise de décision des agriculteurs du bout des doigts ".
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Neovia, Innoval (*), Eilyps, Cogedis, Ceva et Adisseo unissent leurs compétences (nutrition animale, génétique, conseil en élevage, expertise-comptable, santé animale...) pour créer la première plateforme de création de services big data pour la filière ruminants. Baptisée Applifarm, la start-up collectera et permettra de croiser plusieurs millions de données (gestion, alimentation, laiterie, conseil en élevage et sanitaire, reproduction, suivi de performance) générées par les objets connectés, par exemple, le collier d'une vache.
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L’Institut Convergences #DigitAg se positionne en "référence" des recherches, formations et innovations en agriculture numérique. Basé à Montpellier, fondé par 17 partenaires dont 8 entreprises, il affiche près de 150 millions d'euros de budget sur 7 ans. Son inauguration le 30 juin a été suivie du hackathon #DigitAg Challenge.
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Lely, l’Institut de l’élevage et France Conseil Elevage préparent une seconde phase d’étude afin de pouvoir utiliser les données des capteurs des robots de traite à des fins génétiques. Dans le cadre de la traite robotisée, l’arrivée de nouveaux capteurs analysant à chaque traite le TB, le TP et les cellules a généré une demande croissante de la part des éleveurs pour utiliser ces données à des fins génétiques. En 2016, pour répondre à cette demande, une première étude a été réalisée conjointement avec Lely, l’institut de l’Elevage et France Conseil Elevage. Cette première phase a mis en évidence que les mesures n’étaient pas directement substituables à celles réalisées par le contrôle laitier. Mais elle ouvre de réelles perspectives. C’est pourquoi les trois structures ont décidé conjointement d’engager une deuxième phase de travail dans le cadre d’un partenariat afin de faire encore progresser les systèmes et que les éleveurs puissent en bénéficier à terme.
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Une méthode de détection précoce des boiteries a été développée à partir d'images de la démarche de la vache avec une précision de 99% ou plus en appliquant une analyse de la marche humaine. Cette technique permet le dépistage précoce de la boiterie à partir de la démarche de la vache, ce qui était auparavant difficile. On espère qu'une révolution dans l'élevage laitier peut être réalisée grâce à une observation détaillée de l'analyse d'image à base d'intelligence artificielle.
Selon David Joulin, la gestion d’une exploitation agricole moyenne nécessite 500 heures par an de démarches administratives. Le cofondateur d’Ekylibre, logiciel complet de gestion d’exploitation, entend réduire drastiquement cette charge grâce à un meilleur transfert des données de la ferme.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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