Lait de Normandie... et d'ailleurs
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L'avenir de la production laitière

L'avenir de la production laitière | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La convergence des prix laitiers européens et mondiaux au cours des dernières années a ouvert davantage de « possibilités d'exportation » pour le secteur laitier de l'UE, ce qui a également créé une volatilité des prix des produits laitiers dans l’UE et, par conséquent, des prix du lait de ferme dans l’UE…


Afin d’être mieux armés pour relever les principaux défis auxquels le secteur est désormais confronté, les auteurs de l’étude ont avancé un certain nombre de recommandations, notamment :


• Lutter contre la volatilité des prix du lait – envisager des mécanismes/instruments qui pourraient aider les agriculteurs à faire face à la volatilité des revenus et quel rôle les transformateurs laitiers pourraient jouer ;

• Travail et renouvellement générationnel – un soutien accru devrait être accordé aux solutions technologiques susceptibles de réduire les besoins en main-d'œuvre des exploitations laitières, ce qui pourrait retarder la fermeture des exploitations laitières ;

• L'incertitude quant à la taille future du secteur de l'élevage laitier biologique est un risque qui doit être pris en considération et approfondi ;

• Il convient d’envisager des mécanismes qui encouragent ou récompensent les agriculteurs individuels pour les efforts individuels déployés pour réduire les émissions de GES de leur exploitation.

Cedric's insight:
voir aussi Développement de la production laitière dans l’UE après la fin des quotas laitiers

1984 les quotas laitiers, 2015 les contrats, 2027 les importations ?
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« L'Inde est l'avenir de l'industrie laitière mondiale »

« L'Inde est l'avenir de l'industrie laitière mondiale » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
L'Inde est l'avenir de l'industrie laitière mondiale et elle a un énorme potentiel pour augmenter la production de lait, a déclaré le président de la Fédération internationale laitière (FIL). Il a crédité le modèle laitier coopératif dirigé par les petits agriculteurs de l'Inde pour sa position de leader…
Cedric's insight:
voir aussi « La production de lait de l'Inde va tripler au cours des 25 prochaines années »

RS Sodhi, directeur général de la principale coopérative laitière indienne GCMMF qui commercialise ses produits sous la marque « Amul », a affirmé que la production de lait de l'Inde devrait tripler pour atteindre 628 millions de tonnes au cours des 25 prochaines années, avec une croissance annuelle moyenne de 4,5 %. Le pays qui représente actuellement 23% de la production contribuera à près de la moitié de la production mondiale…


Inde : d'un pays déficitaire en lait au premier producteur mondial https://indianewengland.com/india-from-a-milk-deficit-country-to-worlds-largest-producer/

Top 10 des entreprises laitières en Inde en 2023 https://www.inventiva.co.in/trends/10-best-dairy-companies-in-india-2023/
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Pandémie, guerre et pénuries : du just-in-time au just-in-case

Pandémie, guerre et pénuries : du just-in-time au just-in-case | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La pandémie révèle les fragilités des chaînes de valeur mondiales. Les ruptures d’approvisionnement provoquent pénuries et inflation – que la guerre en Ukraine risque d’exacerber.


Rendre les chaînes de production plus résilientes implique de passer du « Just-in-Time » au « Just-in-Case »…

Cedric's insight:
Voir aussi Pénuries agricoles, inflation, insécurité alimentaire… https://laitdenormandie.blogspot.com/2022/03/penuries-agricoles-inflation-insecurite.html
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Filière : Quatre défis pour la bio

Filière : Quatre défis pour la bio | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

S’il ne veut pas faire la part belle aux importations, le secteur bio français doit changer de braquet. Tel est l’avis de Coface qui pointe quatre facteurs clés de la mutation : l’innovation, les rendements d’échelle, la concentration de la distribution, et la rémunération par le marché.

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Foodtech : que mangerons-nous dans le futur ?

Foodtech : que mangerons-nous dans le futur ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La foodtech et la Silicon Valley révolutionneront-ils nos assiettes ? Viande artificielle conçue en laboratoire, barres protéinées et boissons aux algues pouvant se substituer à un repas, steaks végétariens bien saignants… la nourriture du futur est déjà là, ou presque.

Que mangerons-nous dans quelques décennies ? Mangerons-nous tous des produits de synthèse, comme les tablettes de protéines vitaminées imaginées dans le roman (puis film) “Soleil Vert” ? Bienvenue dans l’ère des aliments high-tech.

Des aliments qui ne vous donnerons pas forcément toujours très faim.

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Dossier : Pistes d’avenir pour le secteur laitier wallon

Dossier : Pistes d’avenir pour le secteur laitier wallon | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans le cadre du projet « Echangeons sur notre agriculture » de Nature & Progrès, citoyens et éleveurs se sont rencontrés afin de discuter de la situation du secteur laitier en Wallonie et d’émettre ensemble des solutions pour l’avenir. Douze pistes sont ressorties des échanges à l’occasion des cinq soirées-débat, des neuf visites de fermes et fromageries et du sondage. Elles touchent à l’ensemble du secteur laitier : marché du lait, production, valorisation et filières courtes et longues.

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Y aura-t-il un effet Trump sur l'agriculture mondiale?

Une émission tournée sur le plateau #VillageSemence, au Salon International de l'Agriculture 2017 à Paris.

Présentée par Jean-Paul Hébrard (www.tvagri.info)

Invités : Thierry Pouch (économiste et responsable du Service Études Références et Prospective APCA), Frédéric Courleux (conseiller Momagri), Eddy Fougier (politologue, chercheur associé à l'IRIS)

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Lait : Quel type de contractualisation pour demain ? | Journal Paysan Breton

Lait : Quel type de contractualisation pour demain ? | Journal Paysan Breton | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Des avancées permises par la loi Sapin II à l’organisation des producteurs verticale et horizontale, la journée laitière FDSEA / JA a fait le point sur les relations contractuelles.

Renforcer le pouvoir de l’amont est tout l’enjeu des nouvelles organisations à mettre en place dans la filière laitière. « La loi Sapin II oblige au 1er/04/17 à l’établissement d’un accord-cadre entre les OP / AOP * et l’acheteur. Les OP ont aujourd’hui la possibilité de gérer collectivement les sous-réalisations et dépassements de production par leurs adhérents », a précisé André Bonnard, secrétaire général de la FNPL, lors de la journée laitière organisée par la FDSEA et les JA 35, le 31 janvier à Rennes.

Intégrer les coûts :

Autre obligation nouvelle : les prix devront être en lien avec des indices publics sur les coûts de production et les prix de vente de produits laitiers. « L’accord-cadre n’est, par contre, pas obligatoire pour les coopératives qui n’ont pas demandé de reconnaissance au titre d’OP », note Maud Marguet, du service Économie / Emploi de la Chambre d’agriculture de Bretagne. En revanche, les industriels coopératifs (comme les privés) doivent mentionner au distributeur le prix prévisionnel moyen d’achat du lait. Mais comme le précise André Bonnard, toutes ces avancées sont vaines, « si les producteurs n’adhèrent pas en masse aux OP. Chez Lactalis par exemple, les taux d’adhésion sont faibles… »

L’OP Cleps Ouest qui livre son lait à Savencia (ex-Bongrain) n’a pas attendu la loi pour mettre en place un « contrat-cadre ». Il existe depuis 2012. Aujourd’hui, l’OP rassemble 700 producteurs du nord Ille-et-Vilaine / sud Manche, soit 95 % de représentativité. C’est plus facile de discuter… « Nous sommes aussi adhérents à l’AOP Sunlait qui regroupe les 12 OP de Savencia au plan national, représentant 2 600 producteurs. Il y a près de 90 % de taux d’adhésion. Les négociations, la gestion des sous-réalisations et dépassements se font au niveau local et national », explique David Renault, producteur de l’OP Cleps Ouest.

Depuis 3 mois, un groupe de travail a été lancé pour mener une réflexion sur les formules de prix. « Différentes entrées sont possibles : le coût de production, la différence entre les produits et les charges (Milc) et l’Ipampa (alimentation, carburant…). » L’OP a également mené une enquête auprès de ses adhérents pour savoir s’ils préféraient un système de prix réactifs (donc volatil comme en Allemagne) ou lissé. « La très grande majorité s’est positionnée pour la seconde option, l’expliquant par le niveau élevé des investissements. Cela correspond à une formule de prix intégrant plutôt les coûts de production. »

Peser sur le Grand Ouest : 

L’OP Cleps Ouest est aussi adhérente à l’AOP « horizontale » Grand Ouest, agréée depuis le 25 octobre dernier, qui compte cinq OP livrant à des privés (3 800 exploitations, 1,4 milliard de L). « Notre objectif est de regrouper les associations de producteurs privées et coopératives de Bretagne, Pays de la Loire et Normandie, pour ramener de la valeur ajoutée aux producteurs », détaille le président Christian Le Nan, éleveur dans le Finistère. Une cotisation de 2 €/100 000 L livrés est demandée. L’AOP va travailler sur la mise en place d’outils de prévention et gestion de crise (régulation volontaire, plan d’épargne avec avantage fiscal, recherche de marché pour les volumes supplémentaires des OP…).

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La relation contractuelle ailleurs :
Du fait de la volatilité, de la concentration d’acteurs, de la pression sur les prix, des nouvelles attentes des consommateurs… des organisations différentes se mettent en place. Les relations contractuelles diffèrent selon leur nature et finalité. « Elles peuvent permettre d’encadrer un mode de production, garantir un niveau de prix, des débouchés… » Une étude réalisée par la Chambre d’agriculture de Bretagne décrypte 21 initiatives relevées dans les filières lait et porc. Aux Pays-Bas par exemple, les adhérents de la coopérative Cono touchent une prime de 7,5 €/t en livrant un lait suivant un cahier des charges avec des mesures sur le social, le bien-être et l’environnement. En Australie, le distributeur Coles sécurise ses volumes en s’engageant sur 10 ans à acheter 200 millions de L/an à la coopérative Murray Glouburn…
D’autres exemples sont en consultation libre sur le site synagri.com
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L'agriculture bio s'interroge sur ses perspectives d'avenir

L'agriculture bio s'interroge sur ses perspectives d'avenir | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Certains s'inquiètent de la percée du bio dans la grande distribution, où les relations commerciales sont souvent tendues.

  La solution serait de réussir à contractualiser les relations entre producteurs bio et distributeurs. Un contrat qui inscrirait, noir sur blanc, les droits et les devoirs de chacun.

L'Agence bio y travaille.

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Et aussi : La filière à un tournant… mais attention à ne pas déraper !
Sur http://www.lafranceagricole.fr/actualites/agriculture-biologique-la-filiere-aun-tournant-mais-attention-ane-pas-deraper-1,0,3388209400.html
« Le bio n’est plus une niche mais une filière à part entière, qui a augmenté ses surfaces en production de 50 % depuis mon arrivée en 2012 », s’est réjoui Stéphane Le Foll, invité aux 9e Assises nationales de l’agriculture biologique à Paris, le 14 novembre.
Mais pour le ministre, le combat n’est pas fini : « Nous sommes à un moment charnière. La bio est à un tournant : où va-t-elle aller ? Il faut se battre pour les spécificités de la bio, sinon elle court le risque de disparaître d’ici 15 ans », a averti le ministre, qui craint une dénaturation du bio, avec une production industrielle « hors-sol » avec « comme seul argument le « zéro pesticide » ».
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La Russie compte augmenter sa production de lait de 40% d’ici 2025

La Russie compte augmenter sa production de lait de 40% d’ici 2025 | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le ministère russe de l’agriculture débat actuellement d’un programme de développement de l’élevage laitier dans le pays, indique Kommersant. L’objectif du programme, rédigé par un groupe de fermiers, de chercheurs et de fonctionnaires, est d’accroître la production de lait cru de 37 % d’ici l’année 2025, en passant des 30,8 millions de tonnes actuelles à 42,4 millions.

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Innoval interroge les éleveurs : « Aurons-nous du lait français en 2035 ? »

Innoval interroge les éleveurs : « Aurons-nous du lait français en 2035 ? » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Souveraineté alimentaire, adaptation au changement climatique, contraintes environnementales, attentes sociétales… La charge qui pèse sur les éleveurs laitiers est colossale. Quelle sera la production laitière nationale dans un futur proche ? Innoval a interrogé ses adhérents et des experts afin de prendre la mesure des défis de demain…


Des éleveurs optimistes : 60 % se disent optimistes sur l’avenir de leur métier, c’est d’autant plus vrai chez les 18-29 ans (87 %). Pour compléter les dires d’éleveurs et poser un regard lucide et objectif quant à l’avenir de la filière laitière française, Innoval a fait appel à trois spécialistes : le politologue Jérôme Fourquet, le sociologue François Purseigle et l’économiste Olivier Mevel. Pour eux, la situation est claire : le nombre d’exploitations est en baisse, la production diminue (- 20 % prévu à horizon 2035 et même - 30 % dans le Grand Ouest) et le renouvellement des générations est un véritable problème pour le maintien des fermes. Pour autant, la demande mondiale continue de croître…

Cedric's insight:
voir aussi Filière laitière : « Le rapport de force va s’inverser en faveur des éleveurs »

Compétitive ou durable : quel avenir pour la ferme France ?
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Lait : la perspective d'une pénurie s'installe en France

Lait : la perspective d'une pénurie s'installe en France | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La filière laitière s'inquiète d'une nouvelle baisse de collecte en 2022. Syndilait redoute un emballement des départs d'éleveurs « écoeurés ». Les ajustements de prix sont très inférieurs à la flambée des coûts. La tentation est réelle de délaisser le lait pour les céréales portées par l'inflation…


La France, puissance laitière mondiale, pourrait-elle bientôt manquer de lait ? L'inquiétude plane autant du côté des industriels que des producteurs. Ce que les professionnels appellent la « déprise laitière » revient en boucle dans les sphères concernées…

Cedric's insight:
Le nombre d'exploitations laitières en France (62.000 en 2021) est en baisse constante, selon FranceAgrimer. Le recul est en moyenne de 1,5 % par an…

Voir aussi Face au risque de sécheresse, les laiteries craignent de manquer de lait cet été
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Bien que dynamique, la filière bio en France pourrait être contrainte de renier ses fondements originels pour changer d’échelle

Bien que dynamique, la filière bio en France pourrait être contrainte de renier ses fondements originels pour changer d’échelle | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L’intérêt croissant des ménages se traduit par la très forte progression du marché des produits bio qui devrait dépasser la barre des 8 Mds€ en 2017. Solidité des entreprises bio : une augmentation de +10% de la part du bio dans une filière entraînerait une baisse de -11% de ses défaillances...

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Des étrangers en charge de la destinée laitière de l'Australie

Des étrangers en charge de la destinée laitière de l'Australie | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L'industrie laitière australienne n'est plus en charge de son propre destin. L'achat de Murray Goulburn (MG) par Saputo signifie qu'il n'y a plus de grande coopérative laitière sur le marché australien. C'est un énorme problème pour de nombreux producteurs laitiers, car ils ont l'impression de perdre le sentiment de propriété et de contrôle sur leur transformateur. On croyait depuis longtemps que MG fixait le prix du lait à la ferme.

Les coopératives représentent également une grande partie de l'énorme industrie de l'UE, les coopératives Friesland Campina et Arla Foods faisant partie des 10 principaux transformateurs laitiers au monde. C'est un changement monumental dans le paysage laitier australien. Seules quelques sociétés demeurant épargnées…

Cedric's insight:
Seules quelques sociétés demeurent épargnées : Australian Consolidated Milk a environ 330 millions de litres de lait, tandis que l'Australian Dairy Farmers Corporation possède 230 millions de litres de lait et est détenue par ses agriculteurs. La coopérative laitière NSW North Coast Norco traite 222 millions de litres de lait par année.
La coopérative laitière néo-zélandaise Fonterra dispose de deux milliards de litres, avec une capacité de traitement de 2,5 milliards par an. Bega Cheese est cotée à l'Australian Securities Exchange, tandis que l'Union Dairy Company à Penola, en Australie du Sud, est une joint-venture entre le Midfield Group de Warrnambool et le géant mondial de l'agro-industrie Louis Dreyfus. Beston Global Foods, le nouveau joueur en Australie-Méridionale, figure également sur la liste ASX.
En 2014, Saputo s’est implanté sur le marché australien en remportant le contrôle de Warrnambool Cheese and Butter.

Et aussi : MG a rejeté une proposition de Fonterra visant à former une super-coopérative laitière
Sur http://www.weeklytimesnow.com.au/agribusiness/dairy/murray-goulburn-rejects-fonterra-super-cooperative-proposal-in-favour-of-saputo-sale/news-story/2ab37a9967ddb23fc7f6ba7eda99a9a5
Fonterra a proposé de combiner ses actifs australiens avec ceux de Murray Goulburn pour former une super coopérative, mais la proposition a été rejetée par la direction de MG…
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« Oui, le lait a un avenir »

« Oui, le lait a un avenir » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

CHRISTOPHE LAFOUGÈRE, DIRECTEUR DU GIRA(1).  La production laitière mondiale va être tirée par l’Europe et la demande en produits laitiers par les pays émergents, notamment la Chine.

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Quelle PAC pour quelle Agriculture ?

Quelle PAC pour quelle Agriculture ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Alors que s’ouvrent les discussions sur l’avenir de la Politique Agricole Commune (PAC), l’Académie d’Agriculture de France vient de rendre public un rapport, que nous reproduisons ci-après1, traitant des futures orientations souhaitables en matière agricole.
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Cinq scénarios pour l’avenir du comté

Cinq scénarios pour l’avenir du comté | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La filière comté ne veut pas s’endormir sur ses lauriers. Et réfléchit à actualiser son cahier des charges selon une doctrine : « En quoi notre AOP fait-elle ou fera-t-elle rêver le consommateur ?

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Revue de détail des 5 synopsis imaginés :
- Aseptisation et déclin : Des crises sanitaires conduisent les consommateurs à rechercher des produits aseptisés. Ceux-ci s’orientent vers les fromages pasteurisés. Découragés par les contraintes que le lait cru impose, les producteurs s’en détournent et créent une filière pasteurisée.
- Le monopole de l’industrie :  Le soutien de la politique européenne à la concentration touche la filière comté. En quelques années, le nombre des affineurs diminue de moitié et celui des fruitières du tiers. Une entreprise agroalimentaire crée une filiale, Lacomté, qui rachète en deux ans (2021-2022) l’essentiel des maisons d’affinage et intègre la transformation fromagère à son activité.
- L’individualisme : En plein boom de leurs AOP, les acteurs de la filière ne perçoivent plus clairement l’importance du collectif et de l’encadrement des modes de production. Ils misent sur le profit immédiat.
- Le haut de gamme :  Faibles volumes, qualité du fromage optimale, cahier des charges exigeant et zone AOP inchangée… Ensemble, les acteurs de la filière renforcent le cahier des charges et adossent à la typicité de goût des fromages une image idéale du produit (modèle extensif, respect de l’environnement…)
- L’excellence environnementale  : Pour répondre aux attentes des consommateurs et faire face à l’urgence environnementale, le CIGC souhaite intégrer plus de mesures vertes dans le cahier des charges (autonomie des fermes, synergies entre zones AOP et plaines céréalières…) « Voilà de quoi permettre aux sceptiques comme aux enthousiastes de réfléchir à là où l’on doit aller », conclut le président du CIGC
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Rabobank : World Dairy Map 2016

Rabobank : World Dairy Map 2016 | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L'expansion de la Nouvelle-Zélande est limitée par la disponibilité des terres, l'Europe se stabilise après l'élimination des quotas laitiers et les ambitions des États-Unis en matière d'exportation sont limitées par la croissance de la demande intérieure et le taux de change du dollar américain. Le commerce des produits laitiers est également susceptible de rester dominé par des routes régionales plutôt que mondiales, les accords de libre-échange influençant de façon significative les volumes. L'exception sera l'Asie qui continuera d'être un champ de bataille hautement compétitif pour les exportateurs du monde entier. Tout cela doit être compensé par les possibilités de renégociation ou d'annulation des accords commerciaux à la suite des résultats des élections américaines.

En 2015, la croissance du commerce a été d’un maigre 0,3% de plus qu’en 2014. Au cours des trois prochaines années, la croissance du commerce des produits laitiers diminuera légèrement, en raison du fort dollar américain, des prix du pétrole bas, de l'embargo commercial russe et du ralentissement de la croissance chinoise.

Mais peut-être même plus que ces dernières années, nous vivons dans des temps incertains où la nouvelle administration américaine, les relations avec la Russie, l'incertitude au Moyen-Orient, la performance économique chinoise, le Brexit et le sort du TPP et du TTIP peuvent avoir un effet majeur sur le commerce des produits laitiers.

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Libre-échange : une baisse de la production de lait au Québec est inévitable

Libre-échange : une baisse de la production de lait au Québec est inévitable | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le nouvel accord de libre-échange entre le Canada et l’Europe aura certainement un impact sur la production de lait au Québec, mais Robert Coallier, chef de la direction d'Agropur, ne peut le quantifier pour l’instant. «On sait qu’il y aura moins de lait produit, et transformé dans nos usines.»

Cedric's insight:
Le lait comme tel demeure protégé dans l’entente de libre-échange, mais pas le fromage. Les pays européens pourront exporter plus de 17 000 tonnes de fromages supplémentaires au Canada, dont 40% de fromages fins. Or, le Québec produit 60% de ces fromages au pays. «La consommation de fromage au Québec ne va pas augmenter de 20% pour absorber cette offre plus grande venue d’Europe», dit Robert Coallier.
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