Le Grand Ouest cherche des solutions pour limiter la soja-dépendance de son élevage.
Devant une tendance haussière claire, il faut s’habituer à une protéine chère, voire rare. « Le marché mondial des protéines végétales reste tendu en raison de la forte demande des pays asiatiques. La Chine représente à elle seule plus de 60 % des importations de soja. Cette situation s’aggravera probablement sous l’effet de l’évolution de la démographie et des transitions nutritionnelles protéiques. »
Pas étonnant que dans le Grand Ouest, chercheurs, industriels et agriculteurs s’intéressent à la question.