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Un observatoire national de la pousse : 1 Protocole scientifique déployé dans 350 exploitations de 70 régions fourragères afin de fiabiliser l’indice satellitaire utilisé dans le cadre de l’assurance prairies…
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Finis le fonds des calamités agricoles et l’assurance multirisques, place à un système à trois étages. Applicable depuis le 1er janvier 2023, la loi du 2 mars 2022 instaure de nouvelles modalités d'indemnisation des pertes de récoltes résultant d'aléas climatiques, applicable à toutes les cultures, et reposant sur le partage du risque entre l’État, les agriculteurs et les entreprises d'assurances.
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Les aléas climatiques s’intensifient. Face à cela, toute une panoplie d’assurances se développe pour couvrir le risque encouru par les agriculteurs. Mais comment s’y retrouver au milieu de tous les contrats proposés ?
Sommaire du dossier
- Débat : faut-il rendre obligatoire l'assurance récolte ?
- Des couvertures « chiffre d’affaires » proposées par de grandes coopératives
- Des données satellitaires pour assurer les prairies
- Comparatif : trouver l’assurance climatique adaptée à ses besoins
- Comprendre son contrat d’assurance : un petit lexique à usage du néophyte…
- Faut-il transférer une partie des aides PAC vers des outils de gestion des risques ?
- Au Canada, l’assurance récolte est la règle, pas l’exception
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Le projet de loi agricole de l'USDA de 2014 comportait une participation volontaire des producteurs laitiers dans le Programme de protection de la marge laitière (MPP Dairy). Le but de ce filet fédéral de sécurité était de protéger les marges entre prix du lait et coût des aliments. Mais la participation des producteurs au dispositif n’a cessé de diminuer. MPP-Dairy a simplement échoué à répondre aux attentes des producteurs et à leur fournir la protection dont ils ont besoin (ils ont payé 100 millions de dollars, mais n'ont reçu que 12 millions de dollars).
Certaines organisations font pression pour offrir aux producteurs laitiers un programme plus souple qui offre une meilleure couverture. Elles proposent un nouveau produit d'assurance appelé Dairy Revenue Protection (Dairy-RP) basé sur les revenus, et non plus sur les marges.
Avec Dairy-RP, un agriculteur n'a que 4 décisions à prendre. Il doit déterminer son prix prévisionnel du lait en fonction d'un mix de prix à terme selon les catégories de lait, la quantité de production laitière à couvrir (entre 70 et 95%), le niveau de couverture souhaité (60 à 90%) et le type de contrat trimestriel (polices d'assurance trimestrielle ou plus).
Dairy-RP permettrait ainsi de se protéger contre des baisses de revenu trimestriel. En cas de chute en dessous du niveau de revenu prévisionnel garanti, le producteur recevrait une indemnité.
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Selon Momagri, les règles européennes autorisent le remplacement des DPB par des aides contracycliques et une aide fixe réduite. L’enveloppe du 1er pilier pourrait varier selon la situation des marchés des céréales, lait et oléagineux.
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Tous nos producteurs laitiers du New Hampshire sont en difficulté. Chaque fois qu'ils traient une vache, ils perdent de l'argent. Ce n’est pas seulement un problème du New Hampshire; c’est aussi la mort à l'échelle nationale de l'industrie laitière.
Pour chaque quintal de lait (11,6 gallons), l'agriculteur perd 10 $. À l'heure actuelle, on estime que la ferme moyenne du New Hampshire perd 5 $ par vache et par jour, à cause du prix du lait qui baisse mais aussi en raison du coût des aliments, du maïs, du carburant, de l'électricité et de l'engrais qui sont en hausse significative.
La ferme moyenne du New Hampshire possède 120 vaches laitières, ce qui signifie que le producteur laitier type perd 177.000 $ par an. Qui parmi nous peut survivre à ce genre de perte durable? Si nous ne faisons rien, nous allons perdre jusqu'à 50% de nos producteurs laitiers cette année.
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Dans un contexte de chute des cours mondiaux et de dégâts dus aux intempéries, les agriculteurs de la FNSEA et des Jeunes agriculteurs (JA) s’interrogent sur la nécessaire mise en place de systèmes d’assurance performants et abordables.
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La Fédération nationale des producteurs de lait (NMPF) a mis à jour à la fois son site Internet et ses outils en ligne pour aider les producteurs laitiers dans l'évaluation du Programme de protection des marges laitières 2017.
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Stéphane Le Foll a lancé, lors d’un débat à Amsterdam le 31 mai 2016 sur la Pac post-2020, l’idée d’un outil de soutien à la trésorerie des exploitations qui remplacerait l’inutilisée réserve de crise européenne.
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Au sein du nouveau contrat-socle d’assurance récoltes ou en contrat sur mesure, Groupama lance à partir du 18 janvier 2016 son assurance prairies....
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Depuis le 1er janvier, la nouvelle assurance récolte prend le relais du régime des calamités agricoles et de l’assurance multirisque climatique qui existait jusque-là. Seuil de déclenchement, subvention, franchise… On vous dit tout.
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Alors que le monde agricole craint pour la campagne 2023 les effets d’un ciseau des prix à venir, caractérisé par une baisse des prix associé à un maintien du haut niveau des charges, il est intéressant de se pencher sur les mécanismes du Farm Bill qui permettent de protéger jusqu’à la marge des agriculteurs américains…
La doctrine du Farm Bill consiste à donner « autant que nécessaire », et la combinaison de l’assurance récolte et des aides contracycliques permet une protection efficace du chiffre d’affaires des farmers…
L’assurance et les aides contracycliques sont souvent confondues par les observateurs français, alors qu’elles permettent d’atteindre deux objectifs distincts : l’assurance récolte offre une protection pour l’année en cours, vis-à-vis des risques (prix/rendement) qui interviennent post-semis. Mais si les prix de marchés projetés sont déjà peu élevés au moment des semis, elle ne suffit pas à protéger le revenu agricole, et c’est là que les aides contracycliques prennent tout leur sens, puisqu’elles visent à garantir un niveau de prix minimum et/ou de chiffre d’affaires consolidé dans la durée…
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Assurances et organisations de producteurs seront renforcées par le règlement omnibus, adopté par le Parlement européen, les États membres et la Commission. Le Parlement européen est parvenu, le 13 octobre, à l’issue de négociations avec les États membres et la Commission européenne sur la base du règlement dit « omnibus », à imposer une « mini-réforme » de la Pac avant l’heure, en renforçant les outils de gestion des risques et le pouvoir des organisations de producteurs.
Il s’agit d’une « révision profonde du régime des organisations de producteurs et du droit de la concurrence européen ».
Deux nouveautés principales ont été introduites :
- Le dispositif d’assurance n’est que très peu utilisé par les agriculteurs, le seuil de déclenchement de l’outil de stabilisation du revenu passerait de 30 % de pertes à 20 % au niveau sectoriel. - Renforcement des pouvoirs des organisations de producteurs qui pourront négocier collectivement des contrats précisant clairement les prix et les volumes, vendre collectivement leurs produits, gérer leur volume de production et discuter du partage de la valeur ajoutée entre les acteurs de la chaîne d’approvisionnement.
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Dairy Revenue Protection (Dairy-RP) est un plan conceptuel d'assurance, élaboré par la American Farm Bureau Federation, American Farm Bureau Insurance Services, et d'autres collaborateurs qui permettrait aux producteurs laitiers d'acheter une protection contre la baisse des revenus trimestriels des ventes de lait, C'est-à-dire une baisse inattendue des prix du lait, des baisses inattendues de la production laitière, ou les deux...
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Australie, Argentine, Chine, États-Unis… Chacun répond aux aléas dus au réchauffement climatique à sa manière. Les assurances, la gestion de la production ou encore des exportations sont autant de solutions mises en œuvres.
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Lait, céréales, viande... Aucun secteur de l'agriculture n'échappe aujourd'hui à la crise. Comment en est-on arrivé là et quel doit désormais être le rôle des différents acteurs ?
Face à la crise de l'agriculture, Pascal Viné, Délégué Général de Coop de France, livre son analyse et les défis à venir pour le secteur en France, en Europe et dans le monde.
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Pour sa première année de fonctionnement, le programme volontaire d’assurance marge des Etats-Unis ne s’est pas montré très convainquant. Ce programme propose une protection « à la carte » des revenus laitiers. « Il y a eu en 2015 très peu de versements car la marge sur coût alimentaire n’est pas descendue en dessous de 7,5 dollars/100 livres. Même ceux qui en ont bénéficié ont accusé une perte nette : ils ont dépensé 60 millions pour se couvrir et ont touché moins de 800 000 dollars !», souligne Mélanie Richard de l’Institut de l’élevage.
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Les producteurs laitiers du nord-est qui ont été soumis pendant des mois à des bas prix du lait disent qu’un programme d'assurance volontaire censé être un filet de sécurité n’aide pas. «C’est un échec complet », a déclaré un éleveur du Vermont, qui a perdu de l'argent pendant des mois. «Si ça ne paie pas une année comme ça, c’est complètement inutile. »
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L'assurance marge proposée aux producteurs de lait américains dans le cadre du Farm Bill est un dispositif à première vue intéressant pour adoucir les chocs liés à la volatilité des prix. Pourtant en 2015, les producteurs ne se sont pas massivement inscrits au programme. " 45% des producteurs n'ont pas payé les 100 dollars/ferme/an pour pouvoir bénéficier de l'assurance minimale automatique à 4 dollars ", constate Philippe Chotteau de l'Institut de l'élevage. 31% des producteurs ont souscrit une assurance payante en 2015 Au final en 2015, 24% des producteurs se sont inscrits pour l'assurance minimale gratuite à 4 dollars pour 42% de la production. Seuls 31% ont souscrit une assurance payante: 3% une assurance entre 4,5 et 5,5 dollars pour 4% de de la production, 23% une assurance entre 6 et 6,5 dollars pour 16% de la production, 5% une assurance de 7 à 8 dollars pour 1,5% de la production. En comptant les références non couvertes des producteurs inscrits, 41% du lait américain est non couvert par l'assurance marge.
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