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Cedric
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Une diminution des ventes d'antibiotiques vétérinaires de 26% en un an
Après de fortes baisses des ventes d’antibiotiques vétérinaires entre 2011 et 2021, la quantité d’antibiotiques vétérinaires vendus en 2022 a encore diminué de 26% sur un an…
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Une startup biopharmaceutique israélienne appelée Mileutis affirme que ses essais cliniques ont démontré la capacité de remplacer les antibiotiques utilisés dans l'industrie laitière par sa propre thérapie appelée Imilac…
Mileutis a utilisé sa thérapie Imilac au lieu d'antibiotiques pendant la phase de tarissement. Les essais, qui ont eu lieu dans 7 grandes fermes laitières israéliennes, ont impliqué plus de 500 vaches. L'essai a duré un an après l'administration de la thérapie et les résultats étaient significatifs.
L'utilisation d'Imilac comme antibiotique de remplacement a entraîné une augmentation de 7,2 % de la teneur en protéines, une augmentation de 4 % de la teneur en matières grasses et une augmentation de 8,6 % de la production de lait par vache. De plus, Mileutis a découvert qu'Imilac permettait une période de tarissement raccourcie et une augmentation du nombre de jours de traite.
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De plus en plus d'éleveurs se tournent vers la "médecine douce" dans l'espoir de réduire la consommation d'antibiotiques de leurs animaux. Une pratique autorisée par la réglementation ?
Trente centimes le traitement en acupuncture ou aromathérapie contre 20 à 25 euros en antibiotiques : les éleveurs commencent à avoir recours aux médecines naturelles, malgré un durcissement de la réglementation...
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« Avec un meilleur suivi de l’élevage, nous avons diminué la quantité administrée d’environ 50 % en cinq ou six ans, surtout pour les vaches en cours de tarissement. Avant, nous donnions des antibiotiques en prévention des mammites (inflammation de la mamelle). »
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D’après le suivi annuel réalisé par l’Anses en 2016, l’exposition des bovins aux antibiotiques a baissé de 24% sur les cinq dernières années, et de 37% toutes espèces confondues.
L’objectif de réduction de 25% du plan Ecoantibio 1 sur 2012-2016 est donc dépassé.
L’exposition des bovins aux antibiotiques critiques (de derniers recours en médecine humaine) a elle aussi bien diminué :
- 82% pour les céphalosporines de dernière génération entre 2016 et 2013,
et – 83% pour les fluoroquinolones.
L’exposition à la colistine a baissé de 43% par rapport à la moyenne 2014-2015.
Quant au nombre de traitements intramamaires, il s’est réduit de 15% entre 2016 et 2011. L’Anses estime en 2016 le nombre de traitements en lactation à 72 pour 100 vaches , et au tarissement à 71 pour 100 vaches.
Les traitements à base de céphalosporines de dernières générations ont baissé de 80% entre 2013 et 2016.
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Sur les cinq dernières années, l’exposition globale des animaux aux antibiotiques a diminué de 36,6 %, selon le « suivi annuel des ventes de médicaments vétérinaires contenant des antibiotiques en France en 2016 », réalisé par l’Agence nationale du médicament vétérinaire et publié par l’Anses le 5 octobre 2017.
L’exposition globale des animaux aux antibiotiques a diminué de 36,6 % ces cinq dernières années, et ce, pour toutes les espèces (bovins : -24,3 % par rapport à 2011, porcs : -41,5 %, volailles : -42,8 %, lapins : -37,6 %, chats et chiens : -19,4 %).
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Cedric
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Les objectifs du plan ECOANTIBIO² sont d'évaluer les impacts du 1er plan, d'en valoriser les résultats et d’amplifier la dynamique en consolidant les acquis et en poursuivant les actions déjà engagées. Afin d'inscrire cette dynamique positive dans la durée, un nouveau plan est nécessaire, tel est l'objet du plan ECOANTIBIO² resserré autour de 20 actions réunies en 4 axes stratégiques ; par rapport au précédent, il privilégie des mesures incitatives plutôt que réglementaires : - Axe 1 : Développer les mesures de prévention des maladies infectieuses et faciliter le recours aux traitements alternatifs
- Axe 2 : Communiquer et former sur les enjeux de lutte contre l'antibiorésistance, sur la prescription raisonnée des antibiotiques et sur les autres moyens de maîtrise des maladies infectieuses
- Axe 3 : Mettre à disposition des outils d’évaluation et de suivi du recours aux antibiotiques, et des outils pour leur prescription et administration responsables
- Axe 4 : S’assurer de la bonne application des règles de bon usage au niveau national et favoriser leur adoption aux niveaux européen et international
La lutte contre l'antibiorésistance est une des clés du projet agro-écologique développé par le ministère de l'Agriculture. A travers le plan EcoAntibio, le ministère met en place des actions concrètes pour encadrer l'utilisation des antibiotiques.
Via IDELE Institut de l'Elevage
Avec quelque 1 000 amendements et près de 150 articles, la loi de santé animale européenne est le fruit d’un travail colossal et de longue haleine. Cette révision législative en profondeur entend en effet remplacer plus de 50 ans de législation européenne divisée en 39 lois différentes par un cadre plus clair, avec des principes et des objectifs actualisés. Preuve qu’il est possible de simplifier le contrôle des animaux au sein de l’Union. L’enjeu est triple et vise à concilier la protection de la santé animale et donc de la santé humaine, la lutte contre l’antibiorésistance, et la compétitivité des élevages et de l’industrie du médicament vétérinaire...
Via IDELE Institut de l'Elevage
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Cedric
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Non, la viande et le lait produits en France ne contiennent pas d’antibiotiques !
Comparaison des usages d’antibiotiques chez les animaux et les hommes La vente des antibios à usage vétérinaire a connu une chute spectaculaire en moins de 10 ans, passant de 917 tonnes en 2011 à 422 tonnes en 2019… Pendant ce temps le marché des antibios humains, lui, reste relativement stable…
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Le rapport 2022 de l’Anses-ANMV sur le suivi des ventes de médicaments vétérinaires contenant des antibiotiques en France en 2021 vient d’être publié. Il montre que l’exposition globale des animaux aux antibiotiques a diminué en un an…
En 2021, le volume total des ventes d’antibiotiques s’est élevé à 371 tonnes et a affiché une baisse de 10,7 % par rapport à l’année 2020. Ce tonnage correspond à moins d’un tiers de celui enregistré au début du suivi en 1999 (1311 tonnes). Une diminution de 59,5 % est observée par rapport à 2011, année de référence pour le premier plan Ecoantibio. Cette évolution est en grande partie imputable à une diminution des ventes d’antibiotiques administrés par voie orale…
Au cours des dix dernières années, l’exposition aux antibiotiques a diminué pour toutes les espèces productrices de denrées alimentaires : - 23 % pour les bovins, - 58,5 % pour les porcs, - 67,9 % pour les volailles. Le nombre de traitements intra mammaires par vache laitière à base de Céphalosporines de dernières générations a chuté de 99,1 % entre 2013 et 2021. Depuis 2017, la fréquence des traitements avec les antibiotiques d’importance critique est devenue très faible…
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Si l’élevage français a significativement réduit sa consommation d’antibiotiques ces dernières années, la lutte contre l’antibiorésistance continue sa progression. Vaccins, innovations médicamenteuses, informations et contractualisation font partie des solutions évoquées lors de la table-ronde « Sortir du tout antibiotique », organisée à Paris le 16 mars... « L’antibiorésistance va continuer à augmenter dans quasi tous les pays ». Bien que modérée en France, « elle est la cause directe de 12 500 décès par an, soit quatre fois plus que les tués sur les routes en 2016 »... En France, l’exposition des animaux aux antibiotiques a baissé de 36,6 % entre 2011 et 2016. Le second meilleur résultat au niveau européen, juste derrière les Pays-Bas. « Le secteur agricole a montré l’exemple avec les plans EcoAntibio 1 et 2 mais il ne faut pas relâcher les efforts »
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Denis Catinaud, directeur de la division ruminant France chez Zoetis (leader mondial de la santé animale), fait un point sur l’orientation de l’entreprise face au plan écoantibio : « l’objectif n’est pas de priver les animaux malades de traitements mais plutôt de raisonner davantage leur usage. »
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L'utilisation des antibiotiques en santé animale en France, que ce soit pour des élevages ou des animaux de compagnie, a chuté de 37 % en cinq ans, dans la foulée d'un plan gouvernemental lancé en 2012, a-t-on appris auprès du ministère de l'agriculture vendredi.
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Philippe Riaux, éleveur à Gosné (35), utilise les huiles essentielles depuis 2010 sur son troupeau laitier. Contre les mammites, mais aussi les diarrhées des veaux... « Depuis que j’utilise les huiles essentielles, je n’ai plus recours aux antibiotiques pour soigner une mammite en lactation », indique Philippe Riaux. Ces concentrés de plantes (ravintsara, cardamome, eucalyptus) sont appliqués matin et soir sur la mamelle, le pli du grasset ou le jarret, en dix traitements minimum. « Il faut observer les vaches et intervenir le plus tôt possible, bien cibler et jongler avec les huiles en fonction des symptômes… »
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Tous les indicateurs indiquent une diminution de l’exposition des animaux aux antibiotiques, selon l’Anses, qui organisait mercredi 16 novembre des rencontres scientifiques sur l’antibiorésistance en santé animale et dans l’environnement...
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Dans le prolongement du plan Ecoantibio 2017 et dans le cadre du pôle ruminant de Basse-Normandie les GDS ont souhaité mesurer la consommation d’antibiotiques dans les troupeaux laitiers.
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Réussir Lait - La baisse des résistances aux antibiotiques se poursuit. Les 37 000 antibiogrammes réalisés par le réseau Résapath en 2014 confirment les tendances à la baisse des résistances observées depuis 2006 pour la plupart des antibiotiques et dans toutes les filières d'élevage. À noter toutefois une augmentation des résistances aux céphalosporines chez les veaux, pour qui 8,5 % des bactéries prélevées étaient résistantes en 2014 contre un peu moins de 4% en 2016. En revanche pour les fluroquinolones (autres antibiotiques dits critiques), le taux de résistance baisse chez les bovins.
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