Lait de Normandie... et d'ailleurs

Cinq ans après le lancement sur le marché du lait de protection animale, environ 140 exploitations laitières produisent leur lait – environ 125 millions de kg par an – selon cette norme.

Le programme "Pour plus de bien-être animal" de l'Association allemande pour le bien-être animal est un modèle de réussite. La demande a augmenté en raison de l'introduction prochaine d’un étiquetage spécifique, déclare la laiterie.

« En tant qu'entreprise dynamique, nous avons été les premiers à nous aventurer sur le marché en 2017 avec le lait "For More Animal Welfare". La coopération constructive et fructueuse avec l'Association allemande de protection des animaux s'est intensifiée au fil des années. Et bien sûr, avec l'introduction de l'étiquetage d'élevage par nombre de nos clients, la demande a considérablement augmenté », résume Wolfgang Hoff, directeur général de la laiterie Gropper.

Au cours des deux dernières années, des programmes pour plus de bien-être animal ont été mis en place par le commerce de détail alimentaire. Jusqu'à présent, cependant, seuls quelques producteurs de lait ont participé aux programmes actuels. Les surcoûts associés sont nettement plus élevés qu'on ne le supposait auparavant…

Selon une étude réalisée par le Bureau de sociologie agricole et d'agriculture (BAL) pour le compte du MEG Milch Board, l'adaptation des conditions de production à des normes d'élevage plus respectueuses des animaux et répondant aux exigences des labels actuels de bien-être animal pour le lait coûte entre 10,63 (Région Est), 11,97 (Nord) et 16,33 cents par kilogramme de lait (sud)…