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La hausse des prix du lait et des gros bovins ont compensé celle de l'aliment en février, la situation est en revanche négative en volaille et porc, selon les calculs d'Agreste…
Ainsi en bovins de boucherie, la forte hausse des prix à la production (+23,9 % sur un an) compensait en février la hausse du coût de l’aliment (+14%), tout comme la hausse du prix du lait à la production (14,1 %) compensait celle de l’aliment (+12,6 %). En porc et poulet, les hausses des prix à la production (+2,6 % et +10,5 % respectivement) ne compensaient pas celles de l’aliment (+17,5 % et +14,9 %)…
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Le prix mondial des vitamines A et E a triplé depuis la fin 2017. Une pénurie de leur fabrication explique cette flambée. Le prix des vitamines A et E flambe sur le marché international. Une usine allemande a brûlé sur le Rhin et la Chine a baissé sa production créant une pénurie de l’offre...
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Les industriels privés de la nutrition animale tirent la sonnette d’alarme concernant le prix du tourteau de soja estimant qu’il a augmenté de 24 % depuis le début de l’année.
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A défaut d’avoir des prix rémunérateurs en production bovine et en lait, l’alimentation animale ne pénalise plus les éleveurs comme en 2016 et les années précédentes. C’est ce que révèle une étude du service de la statistique et de la prospective (Scees) du ministère de l’Agriculture portant sur l’évolution des prix de compensation.
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L’OCDE et la FAO prévoient la fin de la période des prix alimentaires élevés. Cette prévision ne concerne pas les productions animales, dont les cours devraient continuer d’augmenter... La stabilité ne concerne pas les productions animales : Si le scénario de la stabilité des prix était respecté, l’OCDE et la FAO prévoient quand même une hausse des prix des productions animales. « À la faveur de la hausse des revenus, notamment dans les économies émergentes, la demande de viande et de produits halieutiques et aquacoles s’élèvera sensiblement », explique le rapport. La hausse devrait également s’appliquer aux productions végétales destinées à l’alimentation animale.
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L'indice FAO des prix des produits laitiers affiche une hausse de 5,1 % en mai mais les cours sont encore bas, 30% en dessous du niveau record atteint en février 2014. Tous les produits ont augmenté : le beurre soutenu par une forte demande intérieure en Europe et en Amérique du Nord mais la hausse des cours du lait écrémé en poudre a, quant à elle, été limitée en raison de l'ampleur des stocks d'intervention dans l'Union européenne.
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« L'instabilité (des prix agricoles) devient la règle et le consommateur final n'en est pas conscient », explique Philippe Chamin. « Au moins depuis 2013, le seul véritable gagnant est tout simplement le consommateur, isolé de toutes variations de prix de l'amont ».
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Le 6e rapport de l'Observatoire des prix et des marges des produits alimentaires vient d'être publié. "La part agricole des produits alimentaire n’a jamais été aussi faible, l’évolution des prix agricoles est totalement déconnectée de ce que nous payons en tant que consommateurs."
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L'Indice FAO des prix des produits laitiers était en moyenne de 194,2 points en février; il affiche une légère hausse par rapport au mois précédent et atteint son niveau le plus élevé depuis août 2014. Il gagne ainsi 52 points (37%) par rapport à sa valeur à la même période l'année dernière. Alors que les marchés des produits laitiers observent l'évolution des disponibilités exportables depuis l'UE et les États-Unis à mesure de l'avancement de la campagne laitière en cours, l'approvisionnement du marché international demeure adéquat compte tenu du niveau de la demande. L'analyse des tendances générales des douze derniers mois indique que la graisse butyrique est le produit laitier ayant connu la plus forte demande, ce qui a entraîné une hausse des prix du beurre et du lait entier en poudre bien supérieure à celle qu'ont connue le fromage et le lait écrémé en poudre.
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Les scientifiques l'ont blanchi dans les maladies cardio-vasculaires. Résultat, son cours a bondi de 77 % entre le mois d'avril dernier et janvier.
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L’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (UTAP) a appelé les autorités et les structures gouvernementales à accélérer la révision du prix du lait au niveau de la production. La hausse des prix des aliments pour animaux qui représente plus de 60% du cout de production du lait, outre la hausse du cout de la main d’œuvre, ont renforcé davantage les pertes subies par les éleveurs. Plusieurs éleveurs de vaches laitières ont été obligés de vendre leurs troupeaux à bas prix ce qui a renforcé le phénomène de l’abattage anarchique et enrichi les contrebandiers, outre les dégâts causés au système de viandes rouges, précise encore la même source.
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Depuis la fin du quota matière grasse, améliorer la recette laitière en recherchant davantage de TB peut se révéler une piste intéressante économiquement.
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La production laitière américaine en Mars a augmenté de 1,8% par rapport au mois correspondant de l'an dernier, selon les derniers chiffres du ministère américain de l'Agriculture. L'augmentation de la production laitière au cours des derniers mois aux États-Unis peut être attribuée à des prix relativement bas pour le maïs, la farine de soja et de foin de luzerne.
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Comme en 2008 et 2011, la hausse du prix des intrants porte essentiellement sur les engrais et amendements (+32,2 %), les dépenses en énergie carburants (+19,7 %) et les aliments pour animaux de ferme (+11,2 %)…
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Selon les données disponibles au niveau des intervenants de la filière aliment bétail, on indique que de 2005 à 2018, le prix de la graine de coton a connu une forte hausse. Une situation de cherté qui est due essentiellement à la spéculation.
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L'Indice FAO des prix des produits laitiers s'est établi en moyenne à 219,7 points en août, soit une hausse de 3,1 points (1,4 pour cent) par rapport à juillet. Il est ainsi supérieur de 65 points (42 pour cent) à son niveau de l'année dernière à la même période mais il demeure 20 pour cent en deçà du pic atteint en février 2014. Les prix du beurre et du lait entier en poudre ont augmenté en août en raison d'une réduction des disponibilités à l'exportation imputable à une demande intérieure de matière grasse butyrique plus forte en Europe et en Amérique du Nord. Les prix du lait écrémé en poudre ont en revanche subi une pression à la baisse, du fait de meilleures perspectives s'agissant des disponibilités exportables. Le marché mondial du fromage est resté stable.
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L’Indice FAO des prix des produits laitiers était en moyenne de 209 points en juin, ce qui représente une augmentation de 15,9 points (8,3 pour cent) par rapport à mai. Ce niveau est proche des valeurs les plus élevées de ces trois dernières années, mais reste inférieur de 24 pour cent au pic atteint en février 2014. Les prix de l’ensemble des produits laitiers qui composent l’indice ont augmenté, surtout ceux du beurre : ces derniers ont progressé de 51,2 points (14,1 pour cent) depuis mai pour atteindre un niveau record. Compte tenu du faible volume de produits laitiers disponibles à l’exportation dans l’ensemble des grands pays producteurs, les prix du beurre, du fromage, du lait écrémé en poudre et aussi du lait entier en poudre ont augmenté.
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Sur un an, les prix des produits issus de l’agriculture sont presque tous à la hausse. C’est la conséquence d’une demande à l’importation toujours plus importante, venue notamment des pays asiatiques, et du coût plus élevé du transport maritime. Vous avez l’impression que la facture des courses augmente ? Les prix alimentaires sont, en effet, remontés en mai, après trois mois de baisse. L’indice FAO (qui prend en compte les variations de cinq catégories de denrées alimentaires de base) estime que le prix du panier alimentaire a augmenté de 10 % par rapport à l’année dernière à la même période, et de 2,2 % par rapport au mois d’avril.
Les produits laitiers explosent tous les scores : leurs prix ont grimpé de 51 % en un an. Ils sont portés par le beurre, dont le prix a été multiplié par deux. La hausse est plus modeste pour le lait écrémé en poudre, car l’Europe détient d’importants stocks d’intervention. +51% C’est la hausse des prix des produits laitiers enregistrée en un an au niveau mondial. Elle est portée principalement par le beurre. Les cours de tous les produits laitiers ont augmenté en avril et mai 2017, ce qui représente une hausse de 5,1 %.
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La publication hier du rapport annuel de « l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires » montre à quel point la chute des cours du lait, de la viande bovine et des céréales aggrave les difficultés du monde paysan.
Cette baisse des cours à la production n’a profité qu’aux distributeurs et aux grandes entreprises de la transformation.
Entre 2013 et 2016, le prix du kilo de viande bovine payé à l’éleveur a baissé de 63 centimes. Mais le consommateur l’a payé 5 centimes de plus. En revanche, la marge du transformateur a augmenté de 37 centimes par kilo et celle du distributeur de 20 centimes.
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Le président de l’observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires, Phliippe Chalmin, a présenté ce 11 avril 2017 les travaux portant sur l’exercice 2016. Et malgré une instabilité des prix agricoles, il a constaté une "relative stabilité" des prix alimentaires à la consommation.
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Il y a deux leviers à utiliser selon Olivier Dauvers : l'origine des produits car la proximité rassure le consommateur. Il y a aussi la nécessité de sensibiliser les consommateurs sur la spécificité du modèle agricole français à savoir des petites fermes familiales.
Le spécialiste de la consommation milite ainsi pour "rendre obligatoire sur tous les produits la provenance pour donner aux consommateurs les moyens de devenir citoyen". Et donc de favoriser l'achat de produits français lorsqu'il fait ses courses. Recherche du prix bas : Olivier Dauvers a évoqué également l'évolution de la consommation et la schizophrénie permanente du consommateur. Ce dernier est conscient de son rôle de citoyen à travers ses achats mais, il est aussi titillé par la recherche du prix le plus bas.
Mais pour amener le consommateur à mettre du prix sur un produit encore faut-il lui faire savoir que le produit proposé est différent. Pour cela, "il faut miser sur le critère de la proximité qui est synonyme de qualité pour les acheteurs", explique Olivier Dauvers.
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Les tarifs des engrais et des aliments pour animaux continuent de baisser, tandis que ceux de l’énergie et des lubrifiants augmentent. Bilan, le recul du prix des intrants ralentit de 1,3 % en 2016.
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Parmi les Etats de l'Union Européenne, quels sont les pays où les produits alimentaires sont les plus chers ? Voici quelques éléments de réponses.
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A part les céréales, tous les prix alimentaires sont en hausse, constate la FAO. Mais on est loin des niveaux de 2011. Les prix des produits laitiers se reprennent également et fortement, depuis le mois de mai (+ 14% en un an).
Même si les stocks européens continuent de peser sur les prix de la poudre de lait écrémé, la poudre de lait entier, le fromage et le beurre renchérissent, face à une collecte historiquement faible en Nouvelle-Zélande et à une diminution de la production européenne.
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Arla va indemniser les agriculteurs qui se convertiront à l'alimentation sans OGM. La compensation pourrait être de 1c / kg de lait. Cette décision a été prise par le conseil d'administration d’Arla, suite aux développements récents en Allemagne, où les détaillants sont de plus en plus exigeants sur la provenance des produits laitiers et sont prêts à payer une prime de prix si les vaches ont été nourries sans aliments OGM. Arla estime que la tendance est susceptible de se propager à d'autres marchés et veut saisir cette occasion immédiatement pour ajouter de la valeur au lait de ses agriculteurs. Arla est bien préparé pour répondre à la demande croissante des détaillants transeuropéens pour l'alimentation sans OGM. Arla possède la plus grande usine de lait biologique dans le monde, dont l'alimentation est sans OGM. « Nos agriculteurs suédois ont toujours utilisé l'alimentation sans OGM. Cela signifie que près de 20% du pool de lait Arla répond déjà à cette demande du marché. » La demande immédiate d'Arla est jusqu'à 1 milliard de kg de lait supplémentaire au cours des 12 prochains mois et il devrait être en mesure de payer un 1c / kg de lait supplémentaire. Les aliments génétiquement modifiés actuellement utilisées sont le plus souvent limités au soja qui dans les exploitations couvre entre 0-10% du volume total de la charge.
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