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Une étude d’organismes experts en économie de l’élevage actualise quelques repères à atteindre pour maintenir en bon santé son système de production. Plus que dans la maximisation du produit, le plus souvent les marges de manœuvre sont dans la maîtrise des charges alimentaire et de mécanisation. - Viser 100€/1.000l de rémunération permise - Pas plus de deux chevaux à l’hectare A lire aussi : Un agrès pour que votre coût de production garde la ligne ; Le coût alimentaire calculé au jour le jour ; Le lait issu de pâturage plus écolo et plus rentable ; La robotisation laitière rend-elle plus heureux?
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A défaut d’avoir des prix rémunérateurs en production bovine et en lait, l’alimentation animale ne pénalise plus les éleveurs comme en 2016 et les années précédentes. C’est ce que révèle une étude du service de la statistique et de la prospective (Scees) du ministère de l’Agriculture portant sur l’évolution des prix de compensation.
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Introduire de la luzerne enrubannée dans des rations à base de maïs fourrage réduit le coût alimentaire. Mais pas la luzerne ensilée.
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La voie royale pour réduire les coûts de production est d’optimiser la conduite du pâturage. Mais ce n’est pas si simple. Retrouvez dans ce dossier les clés d’un pâturage bien mené.
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"Dans un contexte où le prix du lait n'est pas bon, c'est dans un premier temps par l'alimentation que l'éleveur peut trouver des marges de progrès : à lui seul, ce poste représente 70% des charges opérationnelles du troupeau" Pour maîtriser les coûts, il faut d'abord valoriser les fourrages. "L'herbe pâturée coûte 18 €/1 000 UFL, quand l'ensilage de maïs est à 50 €, l'ensilage d'herbe à 94 € et le concentré de production à 200 €". Une logique qui vaut aussi pour la ration hivernale. "Selon le potentiel des vaches, une ration d'ensilage de maïs ou de maïs et d'herbe distribuée à volonté va permettre de produire 20 à 45 kg de lait en début de lactation, 15 à 30 kg en fin de lactation".
Des chiffres étonnants ? "La capacité d'ingestion des vaches a progressé. Et certaines peuvent consommer jusqu'à 30 kg de matière sèche".
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L’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (UTAP) a appelé les autorités et les structures gouvernementales à accélérer la révision du prix du lait au niveau de la production. La hausse des prix des aliments pour animaux qui représente plus de 60% du cout de production du lait, outre la hausse du cout de la main d’œuvre, ont renforcé davantage les pertes subies par les éleveurs. Plusieurs éleveurs de vaches laitières ont été obligés de vendre leurs troupeaux à bas prix ce qui a renforcé le phénomène de l’abattage anarchique et enrichi les contrebandiers, outre les dégâts causés au système de viandes rouges, précise encore la même source.
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Une enquête réalisée en 2015 auprès de 50 élevages sur la zone couverte par Littoral Normand (Calvados, Manche, Haute-Normandie) indique un coût de 504 EUR par génisse produite, pour un âge au vêlage de 29 mois. L'échantillon repose sur un tiers d'élevages en Prim'Holstein, un tiers en Normandes et un tiers en race mixte.
Les résultats ont oscillé entre 340 EUR et 680 EUR. Les coûts ont été calculés à partir des factures de concentrés, de minéraux et d'aliment d'allaitement, et le coût fourrager à partir de la comptabilité des exploitations. Le lait entier a été pris au coût forfaitaire de 300 EUR/1000 l.
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Associée au coût alimentaire, l’efficacité alimentaire est un critère pertinent pour piloter la ration. Elle traduit la capacité de la vache à transformer les aliments en lait.
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Cette consommation est notamment marquée par une augmentation de la demande de fromages et de matières grasses d’origine animale. Les 320 millions d'habitants aux États-Unis consomment ainsi en moyenne 270 kg équivalent lait par an, soit une hausse de 2 % de la consommation par habitant.
Cette dynamique interne soutient le prix du lait dans le pays autour de 377 US $, soit un niveau moins bas que celui de ses concurrents. Mais la production n’a pas attendu cette hausse de consommation pour augmenter de façon régulière pour atteindre + 20 % en dix ans. Elle s’appuie notamment sur une hausse de 1,4 % de la productivité des vaches dont le rendement est désormais de 10 160 kg/vache.
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Les Espagnols et même les Polonais rêveraient du coût alimentaire des élevages bretons. Alors pourquoi le lait de chez nous n’est pas toujours concurrentiel ? Nourrir une vache en Espagne coûte 2 fois plus cher qu’en Bretagne. « 4,77 € par jour en Catalogne », … La Bretagne qui part gagnante sur le poste alimentaire perd son avance dans « les charges de mécanisation qui sont beaucoup plus élevées que dans les autres pays »
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Le Gaec de la Cour du Tremblay à Bécon-les-Granits (Maine-et-Loire) produit près d'1 million de litres de lait avec 125 vaches laitières normandes et prim'holstein sur 290 ha.
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Le coût des aliments exploitations laitières américaines a diminué en moyenne de 1,37 $ le quintal de lait de Janvier à Octobre par rapport à la même période en 2014, soit 11,93 $ en 2015 contre 13,30 $ en 2014 selon l'USDA. Cela a aidé à maintenir les coûts de production, mais pas suffisamment pour faire face à la baisse du prix du lait…
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La quantité d’aliments par vache a augmenté en 2015 en dépit de la baisse du prix du lait dans les exploitations laitières irlandaises, selon Teagasc. Les concentrés représentent environ 20% du coût de production. Les conditions météo ont été favorables à la croissance de l'herbe, ce qui suggère que l'augmentation des concentrés est liée à la suppression des quotas et à l’augmentation de la production laitière. Le rendement laitier moyen par vache a augmenté de 5% en 2015 par rapport à 2014. Pour la ferme laitière moyenne, l’augmentation de production est de 10%, l'utilisation de concentrés a augmenté de plus de 5% en volume par rapport à 2014. Le prix de l'alimentation moyenne annuelle pour 2015 est estimé à 282 €/t, soit une baisse de 6% par rapport à 2014. Teagasc dit que la baisse du prix des aliments combinée à l’augmentation d'environ 10% de la consommation se traduit par une augmentation de 3% des charges alimentaires. Cependant, Teagasc ajoute que cette dépense supplémentaire soutenait les niveaux de production plus élevés. Cela signifie que sur une base par litre les dépenses alimentaires ont en fait diminué de 6%.
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"Nourrir avec des concentrés pour des rendements maximum ne garantit pas le profit." C'était le message clé de Teagasc.
Selon Teagasc, le besoin alimentaire de base pour une vache laitière est de 2,8-3,2% du poids corporel total en matière sèche. Elle a également besoin de: 0,9-0,95 UFL / kg MS ; 90-105 g de PDI / kg MS et 300-350g / kg MS de NDF (fibre).
Cependant, comment l'agriculteur peut-il atteindre ces objectifs au cours de l'hiver, tout en limitant les coûts ?
Les agriculteurs doivent connaître la qualité et la valeur nutritive de leur fourrage d'hiver et, par conséquent, ajuster la supplémentation en concentrés en conséquence.
Les concentrés peuvent non seulement réduire le profit, mais aussi avoir un effet négatif sur les performances de l'animal. Une supplémentation réduit l'efficacité de la digestion des fibres, ce qui entraîne une réponse négative du fourrage dans l'alimentation.
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Le coût de production moyen de l’atelier laitier est de 494 € pour 1000 litres, selon une étude menée sur 269 exploitations laitières issues des groupes lait de Normandie.
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En janvier 2017, le coût des moyens de production agricole progresse légèrement sur un an. Une première depuis juillet 2013.
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L’herbe jeune est riche et appétente. Ce qui signifie moins de complémentation et moins de refus. Il convient de la valoriser au maximum.
Le pâturage très précoce de printemps est loin de pénaliser la production d’herbe d’une prairie, bien au contraire. Gérer via un pâturage tournant – 5 à 6 parcelles en bovins viande, 8 à 10 en bovins lait – permet de toujours disposer de jeune herbe à proposer aux animaux. Mais le pâturage de printemps ne doit pas occulter celui d’automne
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Pour distribuer une ration mélangée à ses ruminants, la solution désilage en cuma a ses avantages. Pour quelques euros par jour, la qualité est à la clef et le chef d’élevage élimine une astreinte opérationnelle de son temps de travail quotidien.
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Dans un contexte laitier toujours dégradé, les conseillers d’élevage de la Chambre d’agriculture rappellent plusieurs pistes pour maîtriser le coût alimentaire
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Constat : l’herbe pâturée est le fourrage le moins cher à produire et à récolter. Mais comment l’exploiter plus et mieux ? C’est la question que ce sont posés trois élevages du Calvados qui ont accepté d’ouvrir leurs portes lors du rallye « Pâturer Plus »
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La majorité des éleveurs semble avoir opté pour des stratégies alimentaires plus économes (augmentation du pâturage, ajuster les achats de concentrés,…). 45 % d’entre eux sont prêts à faire baisser le niveau de production de leurs vaches pour dépenser moins. 14 % sont parvenus à baisser le coût de leur ration tout en maintenant la production individuelle. Tandis que 8 % ont fait le choix d’augmenter la production par vache par l’alimentation.
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Alors que le prix du lait est une composante importante de la rentabilité, ce n’est pas le seul facteur de ce qui reste dans le carnet de chèques à la fin du mois. L'analyse des cinq principaux États laitiers américains au cours de la dernière décennie montre que les prix des aliments et du lait par vache sont des éléments clés dans l'équation de la rentabilité.
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Les différents essais et simulations menés sur l'introduction des légumineuses dans les systèmes fourragers concluent à une incidence neutre à positive...
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Réduire la pénibilité et le temps de travail dans les élevages laitiers par la mécanisation est possible. Mais cela a un coût que l’on peut partager à plusieurs.
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Chasse au gaspillage, meilleure valorisation des fourrages… Relever le défi de l’autonomie contribue souvent à réduire le coût alimentaire. Des marges de manoeuvre sont possibles dans tous les systèmes. En France, plus de 80 % de l’alimentation ingérée par le troupeau laitier, fourrages et concentrés, est produite sur les exploitations. Une vraie force pour la compétitivité des élevages dans un contexte de volatilité du prix des matières premières.
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