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Cedric
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Nestlé, Ferrero, Lactalis, Findus… Les cas de bad buzz dans l’industrie alimentaire ne manquent pas. Et pour cause, dès que l’on touche à la santé des consommateurs, le potentiel de viralité et de reprises médiatiques explose. Les crises Buitoni et Kinder, derniers exemples en date, prouvent, une fois encore, que le secteur alimentaire est extrêmement sensible aux crises…
Visibrain, l’outil de veille des réseaux sociaux, publie une étude «Crises et industrie alimentaire : les leçons à tirer» et dévoile les 5 enseignements à retenir pour les marques en cas de crise…
• Une crise peut marquer durablement l’image d’une entreprise
• Un bad buzz peut en cacher un autre. Un bad buzz n’arrive pas par hasard. Il est souvent le fruit d’une cause plus profonde qui remonte à la surface une fois que la crise explose
• Une polémique peut aussi éclabousser tout un groupe ou un secteur, au-delà de la marque ciblée
• etc…
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Cedric
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En 2050, le Monde aura 9 milliards de bouches à nourrir. Pour répondre aux besoins alimentaires des générations futures, nous devons augmenter notre capacité de production d’environ 70% - selon les estimations de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Mais produire plus n’est pas suffisant. Nous devons également réorienter d’urgence notre système alimentaire vers plus de qualité, de naturalité et de proximité pour nous assurer une nourriture saine et durable à long terme. Mais comment ? En s’inspirant de l’économie circulaire.
L’économie circulaire est un système économique qui met l’accent sur la restauration et la régénération des ressources plutôt que sur l’élimination des déchets. Il favorise également l’utilisation d’énergies renouvelables…
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Cedric
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15 millions d’euros ont permis d’automatiser les usines d’aliments de l’ETI familiale. La plupart des fabricants d'aliments du bétail souffrent compte tenu des difficultés des éleveurs, notamment des producteurs de lait, marqués par une baisse des cours. Dans ces conditions, le marché de la nutrition animale a reculé de 4 % l'an dernier. Quelques sociétés passent entre les gouttes. C'est le cas du groupe familial Michel, en Ille-et-Vilaine. Il annonce une progression de ses ventes de « 3 % l'an dernier », indique Matthias Michel, l'un des trois dirigeants. A ce développement du fabricant d'aliments pour vaches laitières, porcs et volailles, correspond un investissement de 15 millions d'euros répartis entre les trois usines de l'entreprise.
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Cedric
from Fil'Agro
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La notoriété des super-aliments progresse. Ils sont en effet perçus comme une réponse à nos problèmes de santé. Une étude réalisée par Mintel GNPD (Global New Product Database) souligne la popularité de ces aliments riches en nutriments aux bienfaits multiples et révèle une explosion quant à leur incorporation dans de nouveaux produits...
Via AgroVision
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Cedric
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«Le problème de la France, c'est qu'on veut deux modèles : celui des grandes exploitations pour rivaliser avec les entreprises étrangères et celui du modèle familial», remarque Emmanuel Vasseneix.
Ce dernier qui soutient, dans un même temps, que la distribution a «besoin de différenciation» dans un contexte marqué par une forte concurrence des plateformes de distribution numérique incarnées par la plus célèbre d'entre elles : le géant américain Amazon. Un chiffre inquiétant, cité lors d’échanges, interpelle. Près de 67 % des produits alimentaires seraient issus de 16 multinationales seulement. Cette concentration de l'offre empêche d'entrevoir pour l'heure l'équilibre tant revendiqué à la fois vis à vis des consommateurs et de ceux en amont de la chaîne.
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Cedric
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Cargill a inauguré une nouvelle usine d'aliments pour crore Rs 88 [US$ 13 M] à Bathinda dans le Punjab. L'usine fournira des aliments nutritifs et sains aux producteurs laitiers au Punjab, Haryana, Uttar Pradesh et du Rajasthan. Elle produira 10.000 tonnes de nourriture par mois et nourrira 75.000 vaches par jour. Cette nouvelle usine est un témoignage de l'engagement de Cargill pour soutenir la croissance et le développement de l'industrie laitière en plein essor et de sa communauté agricole en Inde.
Exportatrice nette de produits alimentaires il y a encore une quinzaine d’années, l'Afrique importe aujourd’hui annuellement pour 35 milliards de dollars, soit plus de 31 milliards d’euros au cours actuel.
Et en volume, ses importations sont supérieures de 30% à ses exportations... Le continent possède aujourd'hui 75% de la superficie agricole non encore exploitée dans le monde, soit 750 millions d'hectares sur 1 milliard d'hectares. Les potentialités du secteur agro-industriel du continent, c'était le thème de la conférence annuelle...
Via JJ Grodent
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Cedric
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L’industrie agroalimentaire transforme les aliments, qu’elle considère comme une simple somme de nutriments. Mais c’est nier leur complexité et conduire à des déséquilibres nutritionnels, cause de maladies chroniques. (...)
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Cedric
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Quand les géants de l'alimentaire se défendent…
"Jamais vous n’avez aussi bien mangé. Il s'agit d'un paradoxe parce qu’il n’y a jamais eu autant de peurs alimentaires." C’est par ces mots que Philippe Chalmin, professeur à l’université Paris-Dauphine, a ouvert la conférence "Produire et manger mieux".
Selon lui, la nourriture "était auparavant mesurée en terme de quantité, aujourd’hui en qualité". Les consommateurs sont de plus en plus soucieux de la nature des aliments qu’ils mangent et se tournent vers nouvelles formes d’alimentation…
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Cedric
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Vache folle, graines germées tueuses, lasagnes à la viande de cheval… Les crises sanitaires, aux conséquences plus ou moins dramatiques, illustrent la complexité du circuit alimentaire actuel... Récapitulatif de quelques scandales alimentaires qui ont touché la France ces dernières années, avec des conséquences plus ou moins dramatiques :
• Eté 2017 : du fipronil dans les œufs
• Décembre 2013 : des chevaux de laboratoire à la boucherie
• Janvier 2013 : des lasagnes à la viande de cheval
• Novembre 2012 : Ikea et la matière fécale
• Mai 2011 : les graines germées tueuses
• Mai 1999 : du poulet à la dioxine
• Année 1996 : la psychose de la « vache folle »
• 1981 : l’huile de colza frelatée
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Cedric
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Six géants de l’agroalimentaire ont annoncé la création de leur propre système d’étiquetage.
Le nouveau système proposé par Coca-Cola, Mars, Mondelez, Nestlé, PepsiCo et Unilever est également fondé sur le principe d’un code couleur, mais les quantités de nutriments seraient indiquées par « portion » et non par 100 milligrammes ou millilitres, le repère habituel. « Une manipulation délibérée pour fausser le jugement du consommateur, estime Olivier Andrault. D’après nos calculs, une barre chocolatée étiquetée rouge peut devenir magiquement orange ou verte. »
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Cedric
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Le système alimentaire est aujourd’hui bien verrouillé. Contrôlé par quelques acteurs, mastodontes de l’industrie agro-alimentaire ou de l’industrie des semences et produits phytosanitaires, fédérations de gros agriculteurs, la voix des petits producteurs et des consommateurs a du mal à se faire entendre.
Après de multiples scandales, vache folle, viande de cheval dans les lasagnes, crise du lait, la défiance de la population vis à vis du monde agricole grandit. Les mangeurs en quête de transparence se dirigent de plus en plus vers le bio et les circuits courts, qui jouent la carte du lien direct et de la confiance.
Les “marginaux” commencent à s’organiser, inventent des alternatives pour contourner la mainmise de ces grands groupes en quête de profits.
Face à ce constat et ces dynamiques à l’oeuvre, comment le système alimentaire pourrait évoluer dans les années à venir ?
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Cedric
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Aide à la lecture : sur 100 € de dépenses alimentaires nationales, 61 € constituent les valeurs ajoutées, c’est-à-dire une rémunération brute du travail et du capital, dont 8 € dans l’agriculture française et 53 € dans les autres branches, principalement le commerce et les services.
Avec l’allègement des interventions de la politique agricole commune et le poids croissant des pays émergents sur les marchés mondiaux, les prix agricoles sont devenus plus volatils. Cette situation nouvelle a ravivé les questions sur les écarts entre prix agricoles et prix alimentaires. C’est dans ce contexte et pour éclairer ces débats que la loi de modernisation de l’agriculture de 2010 a créé l’OFPM.
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Cedric
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Les fabrications d’aliments ont reculé de 5,3 % sur les huit premiers mois de l’année. Si cette tendance se confirme, 2016 s’achèverait sur une production d’environ 20 millions de tonnes, soit près de 1 million de tonnes de moins qu’en 2015.
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Cedric
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L'association des industries alimentaires (Ania) a dénoncé mardi « 31 mois de déflation consécutive » sur les prix payés par les distributeurs et la baisse continue de ses marges depuis l'entrée en vigueur de la loi de modernisation de l'économie (LME) en 2009.
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