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Les deux pays s'affrontent sur l'octroi de contingents tarifaires, prévus par le traité de libre-échange AEUMC (accord États-Unis, Mexique, Canada), un mécanisme imposant un droit de douane nul ou faible sur les importations de certains produits jusqu'à une quantité déterminée…
Washington a déjà eu recours à des dispositions du traité pour dénoncer les quotas laitiers canadiens. Pour autant, les restrictions commerciales ne semblent pas avoir été levées côté canadien. La mission diplomatique précise avoir identifié des aspects additionnels dans les mesures canadiennes qui paraissent en contradiction avec les obligations du Canada dans le cadre de l'accord…
« Plutôt que de travailler au respect de ses obligations, le Canada persiste à mettre en place de nouvelles politiques concernant les produits laitiers qui sont contraires à l'accord AEUMC. Le Canada continue de violer ses obligations dans le cadre de l'accord en refusant de retirer ses restrictions au commerce relatives aux produits laitiers américains »…
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Après quinze jours de bras de fer, l’administration américaine a décidé d’exempter l’Union européenne de sa surtaxation... Le niveau des barrières douanières imposé par les deux zones apparaît sensiblement identique : en moyenne, l’Union européenne taxe à 3 % les produits qu’elle importe d’outre-Atlantique, contre 2,4 % pour les biens européens vendus aux États-Unis.
Toutefois, cet équilibre masque des « pics tarifaires » : par exemple, sur les chaussures (taxées à 48 %, contre 17 % dans l’UE au maximum), le textile et les produits laitiers (140 %, contre 40 %) ou l’huile d’arachide. De son côté, l’UE applique des droits de douane importants sur les produits agricoles, en particulier sur les viandes (45,1 % et jusqu’à 140 %, contre 4,7 % aux États-Unis) ou les légumes.
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L'avenir de plus en plus sombre de l'Accord de libre-échange nord-américain (Aléna), dont une nouvelle séance de renégociation a débuté mardi à Montréal, a poussé le Canada à créer la surprise en se tournant vers ses partenaires du Pacifique.
Afin de se mettre à l'abri d'un éventuel échec de l'Aléna, le gouvernement canadien a décidé mardi de rejoindre le partenariat transpacifique, zone de libre-échange réunissant dix autres pays riverains du Pacifique, dont le Mexique, sans les Etats-Unis qui s'en étaient retirés il y a un an à l'arrivée au pouvoir du président Donald Trump.
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Les Américains remettent en question le système canadien de classification du lait et viseraient même son élimination.
Après trois rondes de négociations sans aucune demande d’accès au marché canadien de la gestion de l’offre de leur part, les négociateurs américains ont finalement ouvert leur jeu pour le secteur laitier… Les Américains ne requerraient pas formellement d’accès supplémentaire dans le marché des produits laitiers, mais voulaient plutôt « plus de transparence sur la gestion de l’offre »....
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Au début de la quatrième séance de négociations de l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), un consensus semble se dégager : la série de positions de négociation intenables des États-Unis pourrait faire partie d'un plan du président Donald Trump pour ouvrir la voie au retrait de son pays de l'accord commercial afin de plaire à sa base électorale.
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L'industrie laitière américaine est divisée sur la question de la gestion de l'offre au Canada alors que les négociateurs doivent samedi discuter d'agriculture dans le cadre de la négociation de l'Accord de libre-échange nord-américain...
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À quelques heures de l’ouverture de la première séance de négociations de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) à Washington, l’équipe canadienne a placé la défense de la gestion de l’offre parmi ses priorités. Par contre, plusieurs observateurs doutent que les négociateurs puissent maintenir cette ligne dure très longtemps.
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Le président s'attaque aux mesures protectionnistes du Canada pour les producteurs laitiers. Le réveil pourrait être brutal pour les producteurs laitiers québécois. Pour la première fois, Donald Trump passe en mode attaque. «Au Canada, des choses très injustes se sont passées contre les producteurs laitiers américains», a déploré le président américain mardi dans un discours enflammé au Wisconsin.
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La rencontre entre le président Trump et le Premier ministre Justin Trudeau était fort attendue, en raison des inquiétudes causées par la volonté de la nouvelle administration de revoir l’ALENA. Le président Trump a indiqué qu’il ne souhaitait que quelques ajustements, mais le système de la gestion de l’offre risque de se retrouver dans le collimateur.
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Cette semaine La Presse nous apprenait que, Les producteurs laitiers américains demandent à Donald Trump qu'il place dans son collimateur les pratiques «protectionnistes» du Canada dans ce secteur !
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Pour Bernard Valluis et Frédéric Courleux, les évolutions du Farm Bill américain entreprises depuis 2002 sont en totale rupture avec les règles imposées par l’OMC. Dans ce contexte, il est, selon eux, recevable de « mettre en avant le TTIP pour atteindre l’objectif d’une convergence des économies agricoles américaines et européennes ». Analyse.
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Une nouvelle analyse de l'USDA montre que le Partenariat Trans-Pacifique augmenterait les exportations de produits laitiers des Etats-Unis jusqu'à 275 millions $ par an, soit 1,8 milliard $ d'ici 2032.
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« Au lieu de protéger les noms de quelques spécialités alimentaires, l'UE utilise les IG pour éliminer la concurrence. » Pour les Américains, les IGP constituent un énorme avantage commercial de l’industrie laitière européenne. Céder à l’Union européenne coûterait des milliards de dollars aux États-Unis, par la baisse de la consommation intérieure de fromage et l’augmentation des prix aux consommateurs. L'expansion continue des indications géographiques en Europe protège des termes longtemps considérés comme génériques. La baisse de la consommation de fromage américain pourrait se chiffrer à 2,3 milliards $ en ventes perdues en trois ans, et 5,2 milliards $ en 10 ans. «En 2025, nos producteurs laitiers perdraient jusqu'à 15% de leur revenu et le troupeau laitier américain se contracterait jusqu'à 9%, soit 850.000 vaches. Des milliers de producteurs laitiers seraient contraints à la faillite. »
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Les mesures annoncées par le Canada concernant les contingents tarifaires pour les produits laitiers sont insuffisantes, a déploré l’administration américaine, laissant entendre qu’elle pourrait prendre des mesures de représailles…
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Grâce à l’ALENA, le Mexique est le premier marché des exportations de produits laitiers des États-Unis, représentant un quart des exportations américaines, selon une analyse publiée par Informa Economics.
"Sans l'ALENA, les États-Unis paieraient des droits de douane de 20% à 45%, ou les mêmes niveaux que ceux de leurs concurrents"
En 2016, les États-Unis ont expédié pour 1,2 milliard de dollars de produits laitiers au Mexique, contre 201 millions de dollars en 2002. En 2016, le Mexique représentait 45% des exportations totales de lait écrémé américain vers toutes les destinations ainsi que 30% des exportations de fromage, 10% des exportations de beurre et 8% des exportations de lactosérum.
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Le Canada, les Etats-Unis et le Mexique achevaient mardi une quatrième session de tractations pour moderniser le traité de libre-échange nord-américain (Aléna) dans un climat tendu...
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Le président américain Donald Trump se dit prêt à conclure un accord bilatéral de libre-échange avec le Canada si les négociations entourant l’ALENA, qui impliquent aussi le Mexique, échouent. Et le Canada ne dit pas non.
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L'industrie laitière américaine appelle les autorités japonaises à la vigilance dans leur négociation d'un accord de libre-échange avec l'Union européenne.
L’UE tente de monopoliser l’utilisation d’une longue liste de noms génériques de fromages qui font partie du domaine public sous couvert d'indications géographiques dans ses accords commerciaux avec le Japon et d'autres pays. Ainsi, "Parmigiano Reggiano" est un terme géographique acceptable, mais pas le nom générique du "parmesan", largement utilisé au Japon et ailleurs.
Les industriels américains réunis dans le Consortium for Common Food Names (CCFN) cherchent des solutions pour protéger à la fois les indications géographiques légitimes et les noms génériques. L'objectif de l'UE profiterait aux seuls industriels européens, en étouffant l'accès équitable aux marchés, le libre commerce et une saine concurrence internationale. La décision du Canada d'accepter la pression de l'UE a eu une incidence négative pour ses producteurs, ses consommateurs et ses partenaires commerciaux.
Il est impératif que les noms génériques des fromages restent accessibles à tous. Le Japon doit rejeter les tentatives de l'UE. Sinon, la capacité des fabricants de fromage des États-Unis et d’autres pays à faire des affaires au Japon serait injustement limitée, avec un impact négatif sur les consommateurs et les producteurs de fromage japonais.
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Bloqué côté Etats-Unis, le Mexique se retourne vers le Brésil. Les deux pays visent un accord commercial avant la fin de l'année.
Alors que les négociations en vue de renégocier l'Aléna, impliquant le Canada, les Etats-Unis et le Mexique, ont commencé, mercredi, à Washington, le Mexique, qui s'est longtemps cru ancré aux Etats-Unis (qui absorbent 80 % de ses exportations) tourne désormais de plus en plus son regard vers les pays du sud de l'Amérique latine. Cela passe en priorité par un rapprochement avec le Brésil, qui joue actuellement la carte de l'ouverture....
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L'industrie laitière américaine a déposé ses demandes en vue de la renégociation de l'ALÉNA. Elle réclame notamment une plus grande libéralisation du marché, en particulier l'abolition des nouvelles règles canadiennes sur les produits dérivés du lait.
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L'Institut économique de Montréal propose d'échanger avec le gouvernement américain la fin de la gestion de l'offre contre un accès libre et permanent au marché du bois d'oeuvre.
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La Fédération nationale des producteurs laitiers (NMPF) et le Conseil américain pour l'exportation de produits laitiers (USDEC) ont demandé à l'Administration Trump cet après-midi de ne pas se retirer des accords commerciaux (TPP,ALENA, …)
Un retrait du TPP (Partenariat Trans-Pacifique) «ne doit pas conduire à un retrait de l'engagement économique avec les marchés asiatiques croissants pour les produits laitiers américains».
Le Partenariat transpacifique était loin d'être parfait, mais il était bénéfique pour le secteur laitier des États-Unis. «Nos concurrents ont négocié avec succès des accords commerciaux au cours des dernières années. Cela met le secteur agricole des États-Unis dans un désavantage concurrentiel si nous ne poursuivons pas nos propres initiatives ». Une approche que la nouvelle administration pourrait adopter consiste à remplacer le TPP par des accords bilatéraux avec des pays comme le Japon, le Vietnam et d'autres pays d'Asie du Sud-Est.
« L'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) a ouvert une porte majeure au Mexique que nous ne voulons pas claquer. En revanche, le Canada, a travaillé habituellement et délibérément à miner le commerce des produits laitiers. »
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Avant l'accord de libre-échange avec la Chine, les fromages australiens et américains étaient tous deux assujettis à une taxe à l'importation de 12%. L'Australie avait 18% du marché chinois du fromage importé en valeur en 2015 et les États-Unis, dont les produits sont généralement plus chers, avaient 16% du marché, soit 348 millions de dollar.
La Nouvelle-Zélande, qui a conclu un accord de libre-échange avec la Chine depuis 2008 et peut exporter du fromage vers le pays en franchise d'impôt, contrôle environ la moitié du marché chinois des fromages importés. L'accord de libre-échange australien avec la Chine a réduit la taxe à l'importation du fromage à 9,6%, abaissant le prix pour les consommateurs chinois. Dans les 10 mois qui ont suivi, la part de l'Australie dans les importations chinoises de fromage en valeur a augmenté de près de 1 point de pourcentage, tandis que les États-Unis ont baissé de plus de 6 points de pourcentage. Par rapport à l'année précédente, la quantité de fromage importé des États-Unis en provenance des États-Unis a chuté de 28% au cours des 10 mois précédant le 31 octobre, en termes de volume et de valeur, alors que les importations totales de fromage de Chine ont augmenté de 29% pour atteindre 78 369 tonnes.
La demande chinoise pour les produits occidentaux devrait croître avec sa classe moyenne. Bien que le pays importe relativement peu de fromage pour sa taille, ce volume pourrait croître de 7% par an jusqu'en 2025, selon le ministère américain de l'Agriculture.
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Les éleveurs laitiers du Wisconsin rejettent le cadre de l'accord commercial sur le Partenariat transpacifique sous sa forme actuelle (PPT).
Dans une enquête auprès de plus de 1 000 producteurs laitiers menée par le Wisconsin Farmers Union, près de 80% des répondants ont convenu que le TPP devrait être rejeté. L'ouverture des frontières américaines pour les importations à faible coût de concentrés de protéines de lait est la préoccupation la plus courante.
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Surtaxe du roquefort par les États-Unis hier, oubli de l’Ossau-Iraty dans les négociations avec le Canada aujourd’hui, le libre-échange donne un goût amer au fromage français.
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