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L’industriel et l’association d’organisations de producteurs annoncent s’être mis d’accord sur « la formule de calcul du prix du lait et sur un travail à mener pour réduire l’exposition aux marchés des produits industriels »…
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En plus du différend sur le prix du lait apparu l’an dernier, de nouveaux désaccords opposent désormais le transformateur et les producteurs :
• La revalorisation du prix de revient inscrit dans les conditions générales de vente pour 2024 du groupe Lactalis auprès de la grande distribution. L’Unell demande une hausse de 5 %, tandis que Lactalis reste sur une hausse de 1 % seulement.
• L’élargissement de la prise en compte du prix de revient dans le calcul du prix du lait. Aujourd’hui, le prix de revient détermine 50 % du lait valorisé en Produits de Grande Consommation (PGC), soit 25 % du prix total du lait, car 50 % du lait est valorisé en PGC. L’indicateur de Prix de Vente sortie Usine (indice PVI de l’Insee) constitue l’autre moitié de la valorisation PGC. Selon l’Unell, avec Egalim 2, le prix de revient devrait représenter 100 % du prix du lait valorisé en PGC, soit 50 % du prix total du lait.
• La revalorisation de l’indicateur beurre-poudre. Cet indicateur correspond à 30 % de la formule du prix négocié entre l’Unell et Lactalis. Selon l’entreprise, le coût de transformation aurait doublé depuis 2011 et ce coût doit être pris en compte dans la valeur de l’indicateur. Toutefois, le Cniel n’a pas validé cette proposition. A la place, l’Unell propose un système de pivot lié à l’écart entre la valorisation beurre-poudre et le prix de revient, afin d’amortir, pour les éleveurs, les impacts de la volatilité de cet indicateur. En effet, l’Unell dénonce le fait que le risque pris par la stratégie exportatrice de Lactalis est aujourd’hui à 100 % supporté par les producteurs.
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« Lactalis fait supporter aux producteurs de lait 100% des coûts de transformation du beurre/poudre, ainsi que la forte volatilité de ses cotations. Ce faisant, l’entreprise s’offre une marge fixe et transfère 100% des risques de ce segment de marché qui résulte de sa seule stratégie. Une situation également révoltante puisqu’en parallèle Lactalis nous adresse un « non » catégorique à une meilleure prise en compte des prix de revient sur la part du lait destiné au marché intérieur » • Lactalis refuse de prendre en compte l’évolution des prix de revient demandée par l’Unell • Depuis décembre, le Cniel ne publie plus d’indicateur de valorisation beurre-poudre • Un prix de revient en élevage réévalué à 1%, contrairement aux 5% demandés par l’Unell. • Un indice des prix de vente sorties usine qui ne permet pas d’être dans le principe de « construction du prix en marche en avant » • Une valorisation beurre-poudre dont le coût de transformation aurait doublé depuis 2011
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L’association d’organisation de producteurs conteste le prix de revient en élevage inscrit dans les conditions générales de vente pour 2024 du groupe Lactalis auprès de la grande distribution…
👉 Premier grief : un désaccord sur l’évolution du prix de revient à faire valoir aux enseignes de la distribution. Elle demande à Lactalis une augmentation de 5 % de cet indicateur. Or la laiterie a « maintenu fermement sa position à 1 % d’augmentation »…
👉 Deuxième grief : « Aujourd’hui, le niveau de prix de revient de référence détermine seulement 25% du prix payé au producteur. Avec Egalim 2, l’Unell considère que cela doit permettre de « mieux prendre en compte le prix de revient dans la fixation du prix du lait », en particulier pour les PGC commercialisés en France, qui représentent « 50% du lait des producteurs de l’Unell »
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Le prix du lait sur l’année atteindra 429,16 €/1000 l, soit 5,12 €/1000 l de plus qu’en 2022. L’Unell avait activé la clause de sauvegarde début juillet 2023. L’association d’OP a par la suite saisi fin août le médiateur des relations commerciales agricoles… « Nous avons négocié avec le groupe Lactalis un prix annuel de 429,16 €/1000 l (moyenne pondérée). Sur les quatre derniers mois de l’année 2023, cela se décline de la manière suivante (prix de base 38-32, Unell France) : 425,67 €/1000 l pour septembre (prolongement de la clause de sauvegarde) ; 415 €/1000 l pour octobre, 410 €/1000 l pour novembre, 405 €/1000 l pour décembre. »… « À la suite des négociations commerciales de l’hiver 2023, et la poursuite de la mise en œuvre d’Egalim, la valorisation des PGC France (50 % de la formule de prix) a progressé au cours de l’année 2023 (+ 60 €/1000 l). Pour rappel, la valorisation des PGC France combine un indicateur de prix de revient en élevage (460 €/1000 l) et un indicateur des prix de vente sortie usine (indice PVI Insee). A contrario, la valorisation beurre/poudre (30 % de la formule de prix) a connu une baisse très importante (- 195 €/1000 l). La forte diminution des cotations des produits ingrédients impacte de manière très importante le résultat de la formule de prix. »…
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Les prises de paroles publiques des deux parties attestent de tensions importantes mais pas irréconciliables. Retour sur une crise en deux temps…
Ils avaient pourtant trouvé un accord en octobre 2022, à la suite d’une médiation. A l’époque, certains syndicalistes assuraient que « l’on avait tordu le bras à Lactalis » qui de peur de passer devant le comité de règlement des différends commerciaux agricoles avait fait des concessions aux producteurs. Lactalis n’avait alors pas manqué de se targuer d’un prix élevé par rapport à ces concurrents. Explication : les cours du beurre-poudre, dont la proportion est importante dans la formule de prix entre l’Unell et Lactalis, avaient tiré les prix à la hausse. La laiterie avait alors obtenu de l’Unell un rabotage « exceptionnel »...
Cette année retournement de situation, le beurre-poudre diminue et le prix calculé par la formule de prix aussi. La formule contractuelle entre Lactalis et l’Unell définit un prix du lait à 401€/ 1000 l sur juillet et août. Alors l’Unell demande à Lactalis de limiter la baisse du prix du lait comme la hausse a été limitée l’année dernière…
« Lactalis a proposé à l’organisation de producteurs Unell une valorisation de 15 € supplémentaire », ajoutant que « le marché beurre-poudre international subit, en effet, une forte érosion des prix, qui ont été pratiquement divisés par deux en un an. » Une proposition non satisfaisante pour les producteurs regroupés au sein de l’Unell. « Nous demandions 435 euros en prix de base 38 32, pour rattraper le retard depuis le début de l’année ». L’association d'OP s’est retrouvée devant une fin de non-recevoir d’où le déclenchement de la clause de sauvegarde. « Nous ne pouvons pas faire des ajustements que quand cela arrange Lactalis. »…
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L’an passé, l’Unell était en médiation avec Lactalis. Le Lavallois avait activé la clause contractuelle de sauvegarde sur la fixation du prix du lait. Cette année, c’est l’Unell qui déclenche la clause…
Les négociations ce matin entre Lactalis et l‘Unell ont échoué. L’association d’OP demande 435 € de prix de base en juillet et août. Elle active la clause contractuelle de sauvegarde…
Du fait de l’activation de la clause de sauvegarde, le prix du lait du mois de juillet sera égal à la moyenne des trois derniers mois, soit 425,67€ /1000 l (prix de base 38-32). Pendant la durée d’activation de cette clause, le prix du lait correspond au prix moyen des 3 derniers mois complets précédant son déclenchement, soit les mois d’avril, mai et juin.
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L'OPLGO rejoint l'association d'OP Unell
C'était dans les tuyaux. C'est désormais officiel. L'OPLGO qui regroupe les livreurs de Lactalis pour 685 Ml rejoint l'association d'OP Unell. Le lait de ses adhérents sera payé à partir de la formule de prix Lactalis-Unell. Elle conserve la négociation des volumes avec Lactalis…
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L’Unell réagit à l’interview de Lactalis dans le numéro de septembre de L’éleveur laitier. L’association d’OP et le géant laitier sont en médiation depuis le 9 septembre…
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Lactalis affirme que les hausses tarifaires sur les PGC France ne sont pas suffisantes pour couvrir la hausse de ses coûts industriels. Le groupe a activé la clause de sauvegarde du contrat-cadre. L’Unell répond en saisissant le médiateur des relations commerciales agricoles…
« Vu les marchés des PGC export et des produits industriels, vu les hausses tarifaires obtenues sur les PGC France, nous devrions bénéficier d’une dynamique du prix du lait que nous n’avons pas. [Lactalis] a reconduit sans accord avec l’AOP le prix de base de mai et juin sur juillet et août. Ce statut quo imposé par Lactalis ne peut plus durer. »…
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Lait, emballages, énergie… Le leader mondial du lait Lactalis estime à + 15 % la hausse de ses charges en 2022. Les négociations avec la grande distribution sont serrées… Lactalis et ses producteurs de lait ont trouvé un accord pour une revalorisation du prix du lait en mai et juin. Pour ces deux mois, l’industriel lavallois et l’Unell ont convenu d’un prix de base de 430,34 € pour 1 000 litres de lait. Pour le mois d’avril, faute d’accord, Lactalis avait fixé unilatéralement le prix à 405,80 € la tonne pour le bassin laitier du Grand Ouest…
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La baisse du prix du lait observée en Europe depuis le début d’année se confirme pour les producteurs de Lactalis. Ils seront payés 308,80 €/1000 litres de lait standard (TB 38, TP 32) en mars 2018, « suite à un accord avec les principales organisations de producteurs ». C’est un recul de 11,20 €/1 000 litres, soit 3,5 %, par rapport aux mois de janvier et février...
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Jusqu’à la mi-octobre, Lactalis ne voulait pas entendre parler d’intégrer son mix-produit pour fixer le prix du lait dans ses contrats… position défendue par l’Unell.
Le vent aurait-il changé avec les États généraux de l’alimentation ?
Le fait est que le courrier adressé par Lactalis à ses producteurs début décembre a surpris. Le groupe s’y dit prêt à « un nouveau système de construction du prix du lait français, reflétant l’évolution des marchés des PGC, export et ingrédients ».
Son mix-produit serait de 50-20-30 %.
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L’association d’organisations de producteurs accuse les enseignes de la grande distribution d’être « complices de Lactalis dans le non-respect des lois Egalim »…
À ce stade, l’Unell indique n’avoir d’information ni sur les CGV envoyées par Lactalis aux distributeurs, ni sur les contrats signés à l’issue des négociations commerciales.
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Le médiateur des relations commerciales agricoles a répondu favorablement à la requête de Lactalis. L’Unell récuse les modalités de la saisine du médiateur par le groupe Lactalis, et dépose sa propre demande de médiation…
Lactalis veut faire admettre aux OP un plafond de prix acceptable pour les consommateurs. Pour 2024, Lactalis propose un prix de base de 465 euros les mille litres, l’Unell réclame 484 euros.
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« La deuxième réunion de négociation de l’année, qui s’est déroulée ce mercredi 3 janvier, n’a pas permis d’aboutir à un accord entre Lactalis France et l’Unell. Le prix du lait payé au mois de décembre sera reconduit en janvier, soit 405 €/1000 l en prix de base, supérieur au prix issu de la formule contractuelle, et un prix payé total de l’ordre 435 €/1000 l. » « En 2022 et 2023, au plus fort de l’inflation, Lactalis France s’est inscrit dans une démarche de valorisation de la filière, faisant progresser le prix PGC de sa formule Unell de 23,8% en comparaison à 2021. En 2023, Lactalis a accepté également de surévaluer le prix payé par rapport aux cours mondiaux qui font référence, pour ses ventes à l’export ou sa production de poudres (soit 50% des volumes). En 2024, le prix du lait payé aux éleveurs se maintiendra à un bon niveau, mais l’entreprise ne peut continuer de prendre en charge seule, comme en 2023, les efforts de valorisation de la filière. Le principal enjeu de la filière est maintenant de contenir l’érosion des volumes de ventes de produits laitiers en France. L’évolution du prix du lait (sur la partie agricole comme sur la partie industrielle) doit être juste pour que les produits laitiers restent accessibles aux consommateurs, notamment les plus modestes, et que les ventes repartent à la hausse, surtout sur les produits à marques nationales, mieux valorisés, et aujourd’hui en net recul. »
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Les discussions sur le prix du lait du 1er trimestre 2024 débutent mal. L’association d’OP a mis sur la table un prix de revient de 484 €, soit + 5,2% par rapport à 2023. Lactalis a répondu +1%, ce qui correspond à un petit +5 €…
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En juillet, l’Unell (10 organisations de producteurs, 5300 exploitations laitières représentées) a activé la clause de sauvegarde prévue dans l’accord-cadre qu’elle a signé avec Lactalis. Les deux parties ne parvenaient pas à trouver d’accord pour le prix du lait de juillet et d’août…
La formule de prix contractuelle donnait un prix de 401 euros les 1000 litres. Lactalis proposait 15 € de plus. L’Unell demandait 435 €. L'Unell a calculé qu'il faudrait 448 €/1000 l en septembre pour que le prix moyen sur les 9 premiers mois de l'année soit au niveau d'Agrial, Laïta et Savencia…
« Les engagements pris par Lactalis devant l'Unell en début d'année ne sont pas respectés. Lactalis nous garantissait que le prix du lait ne serait pas en-dessous du marché, c'est-à-dire la moyenne des prix du lait de Sodiaal, Agrial, Savencia et Laïta. Même en sortant Sodiaal de ce comparatif - car le prix Sodiaal est atypique et marque une forte hausse ces derniers mois -, cet engagement est loin d'être tenu pour l'heure. »…
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Les explications de Lactalis sur l’échec du premier round de négociations : le groupe aurait proposé à l’Unell 15 € de plus que les prix de base de juillet et août calculés par la formule contractuelle. C’est 20 € de moins que la demande de l’Unell qui a activé la clause de sauvegarde de l’accord-cadre.
La valorisation des PGC France à 500 €/1 000 l dans la formule de calcul de Sodiaal contre 460 € dans celle de Lactalis-Unell interroge…
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Environ 60% du lait de vache collecté par Lactalis en France est produit par 5300 exploitations représentées par l'association d'OP Unell…
L'association d'organisations de producteurs (AOP) liées contractuellement au groupe Lactalis, l'Unell (Union nationale des éleveurs livreurs Lactalis) change de dimension avec l'adhésion de l'OPLGO (organisation des producteurs de lait du Grand Ouest). L'OPLGO représente un peu plus de 1000 exploitations laitières sur les régions Bretagne, Pays de la Loire et Normandie. « Cette adhésion renforce la structuration des producteurs de lait vendant leur lait à Lactalis, pointe l'Unell. Sa taille en fait la première structure de négociation collective du prix du lait en France. »…
Désormais, l'Unell regroupe 10 OP. Elles représentent 5300 exploitations laitières, sur tout le territoire français, pour un volume de lait annuel de 3 milliards de litres, soit 60% du lait de vache collecté en France par le groupe Lactalis…
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Pour le 4ème trimestre 2022, Lactalis et l’Unell ont trouvé un accord sur le prix du lait payé aux producteurs, à savoir 490 €/1 000 l toutes primes et qualités confondues. Un prix en augmentation de 32 % par rapport à la même période en 2021…
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Le groupe invoque, entre autres, des hausses tarifaires insuffisantes sur les PGC France. « Nous n’avons pas obtenu les + 18 % demandés en moyenne sur 2022. Nous aurions été en mesure, sinon, de payer un prix du lait plus élevé. En Allemagne, en Italie, en Espagne, les GMS ont accepté des hausses bien supérieures »…
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UNELL – OPLGO : 10 OP en désaccord avec Lactalis
Les indicateurs « sont au vert » et auraient dû mener à une hausse significative du prix du lait : • La valorisation B/P et le prix allemand continuent de grimper • Les négociations commerciales de cet hiver ont permis d’obtenir des hausses certaines,,, • En Europe, les prix du lait continuent de progresser de manière significative Le groupe Lactalis ne doit pas rester attentiste. L’entreprise doit assumer son rôle de leader en respectant ses producteurs et ses engagements contractuels…
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Négociations Lactalis-OPLGO : Pas d’accord sur le prix du lait d’avril
La tentative de Lactalis (comme Sodiaal) de faire appliquer un nouvel indicateur Beurre/Poudre non validé par le Cniel a bloqué les négociations. Pas d’accord non plus pour l’Unell… Le prix imposé par Lactalis devrait tourner autour de 405,8 € (38/32) en Bretagne Pays de Loire
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L’Unell a bon espoir de signer le contrat-cadre avec Lactalis avant avril. L’AOP négocie la reconduction des contrats pour ses neuf OP adhérentes. Visiblement, on est loin des discussions tendues auxquelles nous a habitués Lactalis avec les OP. Les EGA et la crise « salmonelle » sont passés par là. L’Unell se félicite de l’avancée sur la formule de calcul du prix. Exit la flexibilité additionnelle, le tunnel franco-allemand et, pour les PGC export, la référence aux gouda, edam et emmental.
La première nouveauté, qui traduit la loi Sapin 2, est l’application des indicateurs sur le mix-produit de Lactalis. « À savoir, 50 % de PGC France, 30 % de produits industriels (PI) et 20 % de PGC export », indique Claude Bonnet, président. Jusqu’à présent, chez Lactalis et ailleurs, les PGC France comptent pour zéro.
Deuxième nouveauté : les indicateurs eux-mêmes. Les PGC export reposeront « sur le dernier prix allemand connu comptant pour 20 % dans le calcul ». Pas de changement pour les PI qui s’appuient sur la valorisation beurre-poudre du Cniel. Quant aux PGC France, l’indice de prix de vente industriel des produits laitiers est pour l’instant retenu. « Avec un plancher de 340 €/1 000 l qui renvoie à un niveau de coût de production. »
« La traduction législative des EGA va demander de les prendre en compte de façon plus importante. Nous nous adapterons. » Sans aller jusqu’aux coûts de production régionaux « compliqués à appliquer. Il reste surtout à trancher sur l’amplitude de leur prise en compte : uniquement sur les PGC France ou plus ? La question n’est pas simple. »
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