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La récente flambée du prix du beurre ne sort pas de la crise les producteurs laitiers, qui obtiennent toujours des prix inférieurs à leurs coûts de production, a averti jeudi l’European Milk Board (EMB). L’organisation regroupant des producteurs laitiers a organisé une action symbolique devant la Commission européenne pour demander un instrument légal, dans l’UE, de réduction volontaire des volumes de lait...
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Constatant les effets positifs de la régulation laitière fin 2016 et début 2017 au niveau européen, l’European MilkBoard appelle de ses vœux la ratification par les trois instances de l’autorité européenne d’un « système de réduction volontaire de la production ». Le Parlement européen a proposé ce dispositif dans le cadre du règlement « omnibus » pour faire évoluer la Pac.
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Les premiers résultats du programme européen de réduction de la production laitière révèlent que près de 44 000 agriculteurs à travers toute l'Union européenne ont réduit de manière volontaire leur production de lait de presque 852 000 tonnes d'octobre à décembre 2016.
La part restante non utilisée des €150 million prévus pour financer le programme sera bien sûr mise à disposition du budget agricole européen et sera employée pour les mesures de marché qui se montreraient nécessaires dans le secteur agricole.
Les chiffres de la deuxième et dernière période de réduction (novembre 2016- janvier 2017) ne seront connus que début avril. Nous aurons alors l'aperçu complet des résultats de ce programme unique et sans précédent lancé par la Commission européenne.
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A l'occasion de la réunion du Conseil européen des ministres de l'Agriculture ce 23 janvier ,les producteurs de lait sont une nouvelle fois descendus dans la rue. Ils réitèrent leur demande de la mise en place d'un instrument permanent de gestion de crise dans le secteur laitier et dénonçant revente du lait en poudre stocké par l'UE, entraînant une possible chute des prix du marché.
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La deuxième vague de demande de réduction de la production laitière, qui s’est achevée le 12 octobre à midi, s’est soldée par un niveau de demandes de la part des producteurs huit fois supérieur à ce que Bruxelles envisage de soutenir financièrement. Retrouvez tous les chiffres du bilan de cette seconde phase.
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Les premières demandes d’indemnisation pour chaque kilo de lait non produit faites dans le cadre du plan de réduction de la production laitière vont consommer la quasi-totalité des 150 M€ dédiés au niveau européen. Pays par pays, retrouvez le bilan chiffré de la première vague de demandes qui s’est clôturée le 21 septembre à midi.
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Selon les premières indications de sources professionnelles, les demandes déposées par les producteurs du lait de l’UE, à l’échéance du 21 septembre auprès des administrations nationales, ont déjà épuisé l’enveloppe de 150 millions € prévue par Bruxelles destinée à la réduction de la production laitière. En France, environ 12 800 éleveurs auraient fait une demande, soit près de 20 % des producteurs, pour une quantité globale non encore précisée.
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Les agriculteurs volontaires pourront s’engager dans ce processus, qui durera trois mois, dès le 1er octobre, le 1er novembre, le 1er décembre ou le 1er janvier. Ils devront réduire leur production d’au minimum 1500 kilos (1457 litres) et de maximum 50 % par rapport à la même période l’année précédente. Ils percevront une aide européenne de 14,42 centimes par litre de lait non produit.
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Cet objectif est pris dans le cadre du plan demandé par Bruxelles pour faire remonter les prix. Les éleveurs qui s'engageront à réduire leur production recevront des aides financières.... Bruxelles prévoit de payer aux éleveurs 14 centimes par litre de lait non produit. La France rajoutera un bonus de 10 cts/l pour ses éleveurs, dans la limite de 5% de la production, a expliqué Stéphane Le Foll. Paris utilisera pour cela l'enveloppe de près de 50 millions d'euros allouée par Bruxelles en juillet, que le gouvernement va doubler avec des crédits nationaux pour atteindre un total d'environ 100 millions, a-t-il précisé.
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Il faut avant tout et de toute urgence réguler les volumes. Cela passe par la création d'une agence de régulation européenne, pilotée par des politiques. Sans gestion des volumes on n'arrivera à rien et même pire, la régulation se fera par les hommes, c'est-à-dire que c'est le nombre d'éleveurs qui diminuera, soit par faillites, soit par suicides...
S'il y avait moins de volumes au niveau européen avec un contrôle des importations, on n'en serait pas là. Une gestion des volumes est déjà envisagée, mais de façon temporaire. Il faut de toute façon commencer entre les pays les plus influents, la France et l'Allemagne, et deux ou trois autres.
On peut aussi étudier la proposition du Momagri (Mouvement pour une organisation mondiale de l'agriculture) qui consiste à bloquer les volumes en deçà d'un certain seuil. ...
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European Agriculture Commissioner Phil Hogan has given his clearest signal yet that any new aid funds for dairy farmers will be linked to cuts in production.
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Une fois de plus, les ministres européens de l'Agriculture vont tenter, fin juin, de trouver des remèdes à la crise du lait, provoquée par un accroissement de la production qui a déstabilisé le marché mondial après la suppression des quotas.
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L’Europe a autorisé chaque état membre à planifier sa production (article 222 de l’OCM – Organisation Commune des Marchés agricoles) depuis avril. Finalement, il faudra attendre le prochain Conseil des ministres de l’Agriculture de fin juin pour connaître les éventuelles orientations de régulation de la …
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Il y a un an, l'Europe débloquait 500 millions d'euros pour soutenir les producteurs laitiers, qui devaient pour en bénéficier, réduire leur production jusqu'à la fin de l'année 2016... Quelle situation aujourd’hui ?
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La commission de l’agriculture du Parlement européen a marqué un premier pas vers la mise en place d’un cadre législatif pour un programme de gestion de crise
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L'Association des producteurs de lait indépendants (Apli) organisait ce jeudi 9 février à Serres-Morlaàs son assemblée générale.
Elle réclame une régulation du marché à l'échelle européenne. Quand on lui demande comment se porte de le moral des troupes, Boris Gondouin ne mâche pas ses mots : "La situation est catastrophique." Le président de l'Association des producteurs d
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La seconde période d’inscription pour la réduction volontaire de collecte européenne s’est clôturée par 97 880 t demandées pour seulement 12 198 t disponibles. La France en tête au deuxième tour
Avec 23,5 millions de litres demandés, la France est le pays le plus demandeur d’Europe àpour cette deuxième vague. Mais pour les 1 823 demandeurs, seulement 2, 9 millions de tonnes seront acceptés. Au premier tour, les 13 000 candidats s’étaient entièrement vus accepter leurs demandes. Ces derniers ne pouvaient s’inscrire une seconde fois.
Bilan des deux périodes
L’Allemagne et la France sont les deux grands bénéficiaires du plan de réduction de collecte. Elles cumulent respectivement 288 263 et 184 320 tonnes engagées pour les deux périodes. Le Royaume-Uni prend la troisième place avec 113 128 t, suivi par les Pays Bas (80 000 t), l’Irlande (75 000 t), et la Pologne (54 000 t) puis la Belgique, l’Espagne et le Danemark tous trois près de 30 000 t.
La France est le pays où les demandeurs sont les plus nombreux, mais les volumes engagés par exploitation (12 t en moyenne) restent faibles par rapport à la Hongrie (103 t), la Slovaquie (102 t) et l’Allemagne (71 t). Le bilan sur les effets en termes de collecte globale et de remontée des prix est attendu de pied ferme.
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Sur les 150 M€ alloués à raison de 140 €/1.000 kg de lait non produit, la totalité sera potentiellement mangés sur la période d'octobre à décembre avec les engagements de réduction souscrits portant sur 1.071.428 t. Il ne restera donc rien pour la seconde période...
Un plan d’aide à la réduction volontaire et temporaire de la collecte laitière a été décidé par l’UE et l’état français. Dans certaines conditions, ce dispositif est intéressant pour les éleveurs laitiers. Avant de prendre la décision, il est nécessaire d’étudier la pertinence et la faisabilité de cette mesure. L’institut de l’élevage propose un dossier visant à faciliter la prise de décision.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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. La France se voit attribuer 49,9 M€, qu’elle a décidé de doubler pour la porter à 99,8 M€ et la consacrer au lait et à la viande bovine – le lait restant la priorité absolue. L’objectif est de renforcer l’aide européenne, pour la porter à 240 €/1 000 kg non produits. Elle sera ainsi plus attractive, avec un effet rapide attendu sur le marché. Ce bonus national s’appliquera sur les volumes qui bénéficieront de l’aide européenne, avec un plafonnement aux premiers 5 % de réduction. Au-delà, l’aide ne sera que de 140 €/1 000 kg non produits.
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Vincent Chatellier, économiste à l’INRA :
La crise laitière n’est pas réglée pour autant. D’abord parce que l’objectif de réduction fixé par la Commission européenne (-1,4 million de tonnes) représente à peine 1 % du total européen. C’est donc un ajustement minime qui est visé.
Par ailleurs, ces mesures ne seront pas efficaces tant que les producteurs de certains pays – comme actuellement les Irlandais et les Néerlandais – continuent à augmenter parallèlement leur production sans être sanctionnés, alors même que cela pénalise leurs voisins, notamment les producteurs Français qui font des efforts.
Je crois davantage aux contrats qu’aux aides publiques pour réguler l’offre. En France, la production a été plus contenue qu’ailleurs car certains industriels n’ont pas donné à leurs producteurs l’opportunité d’augmenter les volumes. Ils demandent un certain tonnage de lait dans leurs contrats, en fonction de la demande de produits finis, et n’en acceptent pas plus. Cela oblige les agriculteurs à s’aligner sur les besoins réels en lait. Malheureusement pour eux, cela ne les protège pas de l’effondrement général des prix.
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Un nouveau programme d'aide laitière est actuellement examiné par la Commission européenne et sera présenté aux ministres de l'Agriculture de l'UE en Juillet. Un nombre significatif d'États souhaite qu’il soit associé à des réductions de production de lait, ce qui hérisse les éleveurs irlandais.
L'IFA appelle le ministre de l'Agriculture Michael Creed à résister à toute conditionnalité des aides, notamment liées à la nécessité de réduire la production, rappelant que les conséquences du Brexit peuvent avoir un impact inédit sur le secteur laitier irlandais.
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Suite à une première phase de mobilisation commune fin mai, les organisations signataires saluent la récente déclaration conjointe des ministres français, allemands et polonais, qui va dans le bon sens pour le secteur laitier. Mais, en l’absence de décision structurante de la part de Bruxelles, le mouvement continue pour tenter de sauver le potentiel laitier européen. Six organisations de France, Finlande, Italie, Autriche, Portugal et Espagne, appellent donc les instances communautaires à mettre en place des outils de gestion de crise dont l’objectif est le retour à un équilibre offre/demande des marchés laitiers...
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La Confédération belge de l'industrie laitière (CBL) fait le constat d'un marché laitier déséquilibré: l'embargo russe, le recul des importations en Chine et le ralentissement économique dans les pays émergents provoquent une baisse de la demande tandis que l'offre est en forte hausse, surtout en Europe, suite à la disparition des quotas laitiers. Tout cela entraîne les prix à la baisse. Si certaines régions du monde réagissent en réduisant leur production, ce n'est pas encore le cas dans l'UE....
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