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Perspectives agricoles de l’UE 2023-2035
• Le secteur laitier de l’UE prouve sa résilience • La production de l’UE se trouve à un tournant et se dirige vers une durabilité accrue • La croissance mondiale de la production laitière devrait changer • L’UE reste le premier exportateur mondial • La différenciation des importations mondiales devrait soutenir le commerce de l’UE • Une croissance limitée des solides du lait • Fromages et lactosérum devraient rester les flux préférés • Produits laitiers enrichis et fonctionnels seront en hausse • Le marché du fromage devrait poursuivre sa croissance • Plus de valeur ajoutée pour la production européenne de lactosérum en poudre • Le prix du lait cru dans l’UE atteint un nouvel équilibre plus élevé
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Tandis que le marché américain est "haussier" malgré la contraction des troupeaux, l'Europe est "relativement stable."…
Du point de vue des agriculteurs, les marges ont chuté mais semblent meilleures qu'aux États-Unis. Mais le coût de production varie considérablement en Europe, avec des systèmes herbagers type Irlande au milieu des 30 €, tandis que l'agriculture plus intensive devrait se situer autour de 40 €/49 $...
En volume, les pays de l'Union européenne et le Royaume-Uni sont positifs en glissement annuel pour la production globale de lait. "On s'attend à ce que ces gains en glissement annuel se terminent en septembre et octobre."…
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La consommation de produits laitiers ne devrait baisser que de 0,3 % par an d’ici à 2032. La consommation de fromage devrait continuer d’augmenter légèrement, en rapport avec une hausse de la production, celle du beurre et des yaourts rester stable. C’est du côté du lait de consommation surtout, que la baisse devrait se faire sentir…
La légère diminution de la consommation de produits laitiers, devrait coïncider avec celle de la production laitière. En effet, l’accroissement de la productivité laitière ne suffira pas dans la prochaine décennie à combler la diminution du cheptel laitier, et la production devrait diminuer de 0,2 % par an d’ici à 2032…
L’accroissement des systèmes basés sur les pâtures et des systèmes biologiques, pourrait contribuer à une meilleure disponibilité des composés du lait, et notamment la matière grasse. Toutefois, les aléas climatiques et leurs impacts sur le stress des vaches comme sur la fluctuation de la qualité fourragère pourraient atténuer ce gain…
Si, dans l’UE, la production laitière s’orientera à la baisse, ce ne sera probablement pas le cas dans le reste du monde. Durant la prochaine décennie, la production laitière mondiale devrait continuer de progresser à un rythme d’environ 2 % par an. Les pays d’Asie et d’Afrique pourraient contribuer pour presque un tiers à cette croissance…
L’Union européenne resterait en première place des exportateurs, ex æquo avec la Nouvelle-Zélande, chacune représentant 24 % des exportations mondiales de produits laitiers. Les États-Unis continueront de gagner des parts de marché, passant de 13 % en 2022 à 17 % en 2032, en raison à l’augmentation de leur production laitière…
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Une collecte qui s’éloigne de son record de 2020, plus de fromages et moins de beurre, voici les grandes tendances de la filière laitière en 2022 vues par l’USDA…
Entre 2016 et 2022, l’Union européenne a perdu 1,4 million de vaches laitières. Les gains de productivité ne permettent pas de compenser ce recul et la production diminue depuis son record de 2020. En 2022, les analystes américains de l’USDA estiment qu’elle atteindra 144,6 millions de tonnes, 434 000 t de moins qu’en 2021. Elle devrait de nouveau reculer en 2023…
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Peu de changement sur le marché international des produits laitiers qui reste assez tendu. Les disponibilités demeurent modestes pour répondre à une demande mondiale toujours bien orientée, même si la Chine est un peu en retrait avec des prix locaux qui se tassent…
L’approche du Ramadan anime le commerce. Selon les estimations de la Rabobank, les exportations de produits laitiers de 2022 pourraient bien ne pas réussir à attendre leur haut niveau de 2021, entre disponibilités en berne chez tous les principaux exportateurs et prix élevés qui découragent en partie les acheteurs.
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Des centaines de milliers de sacs de lait en poudre s'entassent dans un entrepôt de l'est de la Belgique. Ces stocks massifs, constitués par l'Union européenne au plus fort de la crise du lait, inquiètent désormais les producteurs. Les producteurs de l'EMB et de la FNPL demandent à Bruxelles de s'en débarrasser rapidement.
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Selon la Commission européenne, le prix du lait moyen payé aux producteurs européens s’établit à 378,30 €/t en novembre 2017, soit 0,8 % de plus qu’en octobre. Toutefois, les cours baissiers des ingrédients laitiers risquent de peser sur la paie de lait dans les prochains mois.
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Lait et produits laitiers en pp. 34-42
sur https://ec.europa.eu/agriculture/sites/agriculture/files/markets-and-prices/medium-term-outlook/2017/2017-fullrep_en.pdf
Bien que les dernières années aient été particulièrement difficiles, la demande mondiale et européenne croissante devrait soutenir les marchés laitiers mondiaux à long terme.
Cependant, la variabilité des prix sur le marché mondial continuera et des déséquilibres de marché se produiront. En réponse à cela, les opérateurs impliqués dans la chaîne d'approvisionnement devront développer des stratégies pour limiter l'exposition à la volatilité des prix des matières premières.
Une solution consiste à produire davantage de produits à forte valeur ajoutée, tels que le fromage et les préparations pour nourrissons. À cette fin, l'UE a plusieurs avantages concurrentiels, notamment la qualité et la réputation de ses produits laitiers.
En outre, l'augmentation de la demande des consommateurs européens pour des produits biologiques et de qualité devrait permettre aux agriculteurs impliqués dans ces systèmes de production de créer une valeur plus élevée.
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Entre déconnexion de plus en plus problématique de la demande de matière grasse et de celle de protéines, hausse de l’offre européenne et mondiale et fermeture de l’intervention, les marchés laitiers risquent de s’alourdir dans les mois qui viennent et de peser sur le prix du lait. L’appréciation de l’euro pourrait aussi pénaliser les opérateurs européens, notamment face aux néo-zélandais.
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• Le rebond des prix tire la collecte • Marchés européens des ingrédients : écart abyssal • Commerce extérieur de la France : situation en demi-teinte
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Le conseil spécialisé pour les filières laitières s’est réuni le 26 septembre, sous la présidence de Dominique Chargé. Pour en savoir plus, consulter ci-dessous l'intégralité du communiqué de presse et les documents diffusés au conseil laitier :
- Point d'actualité de l'appui aux exportateurs 135,39 kB
- Projet de décision relatif à la mise en oeuvre du nouveau programme Européen de distribution de produits frais dans les écoles 144,00 kB
- Présentation de la stratégie génétique animale 231,91 kB
- Lancement de la veille concurrentielle internationale (Business France° 152,39 kB
- Présentation des marchés des filières laitières - 26 septembre 2017 676,27 kB
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Perspectives à court terme UE : lait et produits laitiers
Malgré la diminution du cheptel de vaches laitières, et dans l'hypothèse de conditions météorologiques normales, l'offre de lait de l'UE devrait rester relativement stable en 2024 (+0,2% d'une année sur l'autre)… La Commission table par ailleurs sur une augmentation de la consommation totale de l'UE en 2023 (+0,7%), mais cette hausse est marginale. En 2024, la consommation de l'UE européenne reprendra probablement une tendance à la baisse, ce qui pourrait entraîner une baisse de la production de l'UE (-0,9%)…
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La Commission prévoit une baisse de 0,2 % de la production de lait pour 2023. Avec une augmentation prévue de 1 % des abattages, il y aura moins de lait disponible en 2023 en raison d'un déclin du cheptel laitier. C'est particulièrement le cas pour le second semestre 2023, car la baisse des prix du lait pourrait entraîner de fortes baisses de production…
Les transformateurs laitiers devraient viser l'amélioration des marges en 2023 en canalisant le lait vers des produits plus rentables, et avec cela, 0,7 % de lait en plus devrait entrer dans la production de fromage et de lactosérum par rapport à l'année dernière. Mais la hausse des livraisons de lait au quatrième trimestre 2022 a entraîné une accumulation des stocks de beurre et de poudre…
L'augmentation de la production de fromage et de lactosérum devrait contribuer à une augmentation de 2% des exportations de produits laitiers en 2023. Cela suppose une reprise de la demande chinoise suite à l'assouplissement des restrictions Covid et des exportations stables vers le Royaume-Uni et les États-Unis…
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Le début de 2023 pourrait rester difficile pour les éleveurs face aux coûts élevés des intrants et à une demande probablement plus faible…
Seule la production de crème pourrait croître au sein de l'UE. La production de fromage pourrait redevenir une option privilégiée, tirée par les prix élevés. La compétitivité des poudres de lait souffre des prix élevés en vigueur, qui entravent les exportations…
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Alors que le retrait de la demande chinois plombe le marché mondial, l’Europe résiste encore…
Les prix des produits laitiers demeurent assez fermes sur le marché européen, divergeant des baisses affichées en Océanie, notamment lors de la dernière séance d’enchères sur Global Dairy Trade…
Ce qui oriente le marché européen, ce n’est pas tant la demande que l’offre, qui reste très mesurée. Les collectes allemandes, français et néerlandaises restaient sous leur niveau de l’an dernier en mars, et la production irlandaise avait aussi marqué le pas ce mois-là. Comme l’Europe produit peu, elle est peu à l’export et est donc moins touchée que la Nouvelle-Zélande par la chute de la demande chinoise en lien avec les confinements et la politique zéro-Covid du pays…
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La décision est historique : la Commission européenne a pris la décision de ramener à zéro le seuil d’intervention à l’achat de poudre de lait en 2018.
Cela signifie qu’elle n’en achètera pas du tout, puisque ce seuil est le volume maximum qu’elle est tenue d’acheter dès que le prix de la poudre passe en dessous du prix d’intervention - il était de 109 000 tonnes en principe à compter du 1er mars.
Si cette mesure exceptionnelle est prise à titre temporaire, elle s’explique par les quelques 380000 tonnes acquises depuis trois ans et accumulées faute de débouchés.
Depuis quatre mois, le prix de la poudre maigre n’a pas dépassé 1 500 €/tonne.
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ruxelles vient de décider de stopper les achats de poudre de lait. Face à la surproduction européenne, on redoute un nouvel effondrement du marché. Le commissaire européen à l'Agriculture, Phil Hogan, estime que la croissance de la production laitière de l'Union européenne depuis janvier 2017 « n'est tout simplement pas soutenable ». Depuis la fin du premier trimestre 2017, la collecte européenne est repartie à la hausse. À cette époque, le prix moyen du lait avait retrouvé des couleurs depuis quelques semaines, à 330 € les 1 000 litres. Précédemment, il était en chute depuis l'automne 2014 et était descendu jusqu'à 280 € à la mi-2016. Les producteurs, encouragés par l'ascension folle du cours mondial du beurre, avaient donc cessé de mettre la pédale de frein sur leurs troupeaux - réduction d'activité encouragée par des subventions européennes - et relancé la production de lait.
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La crise du lait s’étire depuis plus de deux ans, en dépit d'une courte embellie. Les craintes sont de plus en plus fortes, y compris à la Commission européenne, qu’il n’y ait pas d’amélioration en 2018. Voire même que le marché s'effondre. A Bruxelles, on a décidé de cesser les achats de poudre de lait qui, depuis 2015, ont permis de stabiliser les cours.
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Le syndicat dénonce l’inertie de la Commission européenne qui « dans ses analyses, […] explique que les stocks [d’intervention de poudre de lait] pèseront sur le marché pendant encore trois ans car elle n’a aucune visibilité sur la façon d’y mettre fin ». « Une épée de Damoclès »
Car pour la FNPL, ces stocks de poudre de lait font planer un doute sur le niveau du prix du lait en 2018. « Les producteurs français n’ont pas trois ans devant eux pour que leur rémunération soit enfin décente après deux années de crise […] !
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Selon le dernier rapport laitier trimestriel de Rabobank, l'offre européenne de lait au cours des six prochains mois décidera du sort des marchés mondiaux.
Les analystes de la banque notent que l'offre mondiale a augmenté depuis le printemps dernier et préviennent que ce n'est pas fini. En Océanie, les conditions météorologiques défavorables ont réduit la production durant le pic printanier de novembre. Cela laisse place à l'expansion cette année.
«Les excédents mondiaux de produits laitiers exportables continueront d’augmenter, faisant pression sur les marchés mondiaux».
L'attention est maintenant clairement fixée sur les tendances de la production en Europe au cours des six prochains mois…
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Le Père Noël n'amènera probablement pas ce que souhaitent les producteurs laitiers. La plupart des analystes s'attendent à une baisse des prévisions de prix de Fonterra avant Noël.
En vertu de la Loi sur la restructuration de l'industrie laitière, Fonterra est légalement tenue de fournir une mise à jour sur les paiements prévus en décembre.
Federated Farmers, cependant, reste optimiste que le géant laitier maintiendra son prix actuel de 6,75 $/kgMS fixé en juillet. Westland Milk Products s'est engagée à maintenir sa fourchette initiale de 6,40 $ à 6,80 $ pour cette saison.
Mais les analystes disent que les derniers résultats mondiaux des enchères de produits laitiers et d'autres signaux du marché indiquent un chiffre révisé autour de 6,50 $. L'économiste rural de l'ASB, Nathan Penny, a réduit ses prévisions à 6,50 $. L'ANZ a abaissé ses prévisions de prix du lait à une fourchette de 6,25 $ à 6,50 $.
Pendant ce temps, la Commission européenne a commencé à vendre du lait écrémé en poudre en dessous de son prix d'achat, dans le but de liquider son stock avant que le produit commence à se détériorer. Le prix d'achat à l'intervention est fixé à 1693€/tonne, et signe d'un changement d'attitude de la Commission, une vente récente de 44 tonnes a eu lieu à environ 1450€/t…
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« Le dynamisme sur les marchés européen et américain est en tête de la reprise. » La production globale de lait a augmenté de 0.9% en 2016 par rapport à des taux de croissance de 2% et plus au cours des dernières années.
La Nouvelle-Zélande reste le premier exportateur mondial de produits laitiers avec une part de marché de 29%, suivie de près par l'UE à 28% et les États-Unis à 24%. Et nous voyons maintenant une plus forte demande pour les produits laitiers en 2017.
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"Étant donné les prix record des matières grasses laitières, le décalage structurel de la chaîne d'approvisionnement en produits laitiers, l'augmentation des approvisionnements mondiaux et l'augmentation de la concurrence à l'exportation, atteignons-nous un point de bascule dans l'équilibre du marché de l'UE?" se demande Eucolait.
Les prix du lait devraient rester fermes dans les prochains mois, mais il existe des doutes à moyen terme.
Le dernier rapport de l'Observatoire européen du marché du lait (MMO) souligne l'augmentation des risques d'approvisionnement et de prix pour le beurre et le lait écrémé en poudre (SMP).
Les importateurs asiatiques ont soutenu les marchés grâce à leur reprise récente, les achats de produits laitiers en Chine ayant augmenté de 27% l'année dernière et de 12% en Asie du Sud-Est. Dans l'ensemble, les importations mondiales de produits laitiers ont augmenté de 6% par rapport à l'année dernière.
La demande supplémentaire est cruciale car la production augmente dans toutes les grandes régions d'exportation, a souligné l'association européenne du commerce laitier Eucolait.
La baisse de production en France, aux Pays-Bas, au Danemark et en Allemagne a été plus que compensée par une hausse en Irlande, en Italie, au Portugal et au Royaume-Uni.
Bien que l'affaiblissement du dollar américain ait un effet négatif sur les exportations de l'UE, l'évaluation de la Commission est que «les prix du lait devraient rester fermes au cours des prochains mois malgré une baisse possible des prix du beurre (correction des niveaux records) et de la poudre.
L'intervention se termine et les processeurs se sont précipités pour bénéficier du schéma la semaine dernière, doublant presque les volumes de SMP vendus.
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