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La commission européenne prévoit que le commerce entre l'UE et la Nouvelle-Zélande augmentera jusqu'à 30% d'ici une décennie grâce à l'accord, tandis que les investissements de l'UE dans le pays pourraient augmenter de 80%...
L'accord prévoit l'importation de 15 000 tonnes de lait en poudre avec un taux de droit de 20 %, ainsi que de 25 000 tonnes de fromage et de 3 500 tonnes de lactosérum importées en franchise de droits. Les droits sur plus de 35 000 tonnes de beurre importé seront également réduits. Ces volumes seront progressivement introduits au cours des sept prochaines années…
La commission a déclaré que les « produits agricoles sensibles de l’UE » tels que la viande bovine, la viande ovine et les produits laitiers seront protégés par des « contingents tarifaires soigneusement conçus »…
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Pleinement soutenues par le président de la République française, Emmanuel Macron, les négociations portant sur l’accord de libéralisation du commerce entre l’UE et la Nouvelle-Zélande ont débuté en 2018…
Dorénavant, les parlementaires européens doivent donc se prononcer sur un accord qui prévoit la suppression de la quasi-totalité des droits de douane sur les biens et services échangés entre l’UE et la Nouvelle-Zélande…
Selon l’étude d’impact de la Commission européenne, il pourrait générer une hausse de 30% des échanges. Des milliers de containers supplémentaires vont transiter pendant 40 jours sur 20 000 km des océans de la planète et augmenter les émissions de gaz à effet de serre. Est-ce acceptable en 2023 ?
Au bout de sept ans de mise en œuvre, pourront être importés sans droits de douane :
• 15 000 tonnes de beurre
• 25 000 tonnes de fromage
• 15 000 tonnes de lait en poudre
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En France, les volumes collectés sont redescendus, sur les quatre premiers mois de l’année 2023, au même niveau que ceux de 2010...
Focus sur les Accords de libre-échange : opportunités et risques…
Le contraste est flagrant entre les bénéfices que peut retirer la filière laitière française – et tout spécifiquement les fromages – des ALE signés avec des pays comme le Japon, la Corée du Sud et le Canada, et les risques inhérents à ceux établis avec des puissances laitières comme la Nouvelle-Zélande ou encore les quatre membres du Mercosur. Ne pas négliger non plus le défi que représente l’Accord signé avec le Royaume-Uni, potentiellement défavorable aux producteurs de lait français et européens…
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Pour la Coordination européenne de Via Campesina (ECVC), la voix des paysans en Europe, avec cet accord de libre-échange, la Commission européenne perd toute crédibilité dans ses propositions pour le Green Deal européen et le Farm to Fork…
La Nouvelle-Zélande a des coûts de production bien inférieurs à ceux de l'Europe pour certains produits animaux, tels que le lait, la viande ovine et bovine, qui tendent à faire baisser les prix du marché mondial. L'ouverture de nouveaux marchés avec la Nouvelle-Zélande impactera encore plus la crise des prix agricoles et la crise des revenus des agriculteurs en Europe. De plus, la Nouvelle-Zélande n'applique pas les normes environnementales, de bien-être animal et climatiques de la même manière que les agriculteurs européens.
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Suite à l’intensification des négociations commerciales ces dernières semaines entre l’UE et la Nouvelle-Zélande, les deux parties devraient d’ici la fin du mois de juin ou début juillet, conclure un accord de libre-échange. Mais ce résultat n’est pas sans conséquences pour les filières agricoles, notamment le risque d’une ouverture totale du marché européen pour des produits sensibles comme le lait ou la viande…
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L'Europe négocie actuellement avec quatre pays d'Amérique du Sud un traité de libre-échange, à l'origine de nombreux fantasmes. Le point sur les enjeux…
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Le traité commercial avec le Canada est entré en vigueur. Le secteur laitier français le juge favorable, mais reste vigilant.
Le 21 septembre dernier, le coup d'envoi était donné pour l'application du Ceta, accord de libre échange entre l'Union européenne et le Canada. Il n'entrera pleinement en vigueur que lorsque tous les États membres de l'Union l'auront ratifié, notamment en ce qui concerne la mise en place du tribunal d'arbitrage des différents commerciaux.
L'Union européenne supprime ses droits de douane pour tous les produits laitiers. "Il n'y a pas de risque de voir nos produits laitiers concurrencés, vu le niveau de leur prix du lait (environ 700 €/1000 l)", commente Gérard Calbrix, économiste à Atla...
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Au Mexique, on peut manger toutes sortes de fromages. Ils portent les mêmes noms qu'en Europe : parmesan, manchego, camembert mais n'ont pas les mêmes recettes. L’Union européenne veut faire respecter ses appellations d’origine protégée... Les producteurs mexicains sont bien décidés à continuer d’utiliser ces noms, par exemple “manchego”, “parmesan”, “mozzarella”, “edam” ou “gouda”. D’après eux ce sont des noms génériques qui sont passés dans le langage commun depuis belle lurette. ..
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Le vent du libre-échange souffle de plus belle sur le continent noir. L’UE accroît sa pression pour finaliser la signature d’accords de partenariat économique (APE) : pour conserver l’exemption des droits de douane sur leurs exportations vers l’Europe, les Africains devront supprimer 80 % de ceux qui s’appliquent aux importations en provenance du Marché commun…
Cet emballement libre-échangiste laisse songeur, en particulier dans le secteur agricole. Le déficit alimentaire de l’Afrique de l’Ouest est passé de 144 millions d’euros en moyenne en 2000-2004 à 2,1 milliards d’euros en 2013-2016…
Les APE devraient non seulement accroître fortement la dépendance alimentaire, mais aussi ruiner les éleveurs laitiers et les producteurs de céréales locales…
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Stop à « la fougue libre-échangiste » : Le Parlement européen veut exclure les viandes bovine et ovine, les produits laitiers et les sucres spéciaux, des futures négociations commerciales de l’Union européenne avec l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
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Les fabricants de fromage européens ont obtenu dans le cadre de l’accord de libre-échange une hausse des quotas d’importation vers le Canada. Mais les retombées pourraient être limitée...
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L’accord commercial touche 640 millions de personnes, 30% du PIB mondial et 40% du commerce planétaire en termes de volume. C’est le plus important de ces accords à avoir été négocié. Si ratifié, ce serait le bloc commercial le plus important au monde, surpassant l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA) dirigé par les États-Unis.
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L'Union européenne et le Japon se sont entendus «en principe» sur un accord de libre-échange qui touchera la vaste majorité des échanges commerciaux entre les deux superpuissances économiques.
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Si certains accords de libre-échange sont plutôt favorables aux exportations européennes de produits laitiers, comme le CETA ou l’accord avec le Japon, d’autres devraient augmenter la concurrence entre produits européens et ceux issus de pays tiers exportateurs de produits agricoles. La balance commerciale avec l’UE 27 est très largement en faveur des européens : Produits industriels contre produits agricoles en somme…
Suite à l’application de cet accord, la Nouvelle Zélande pourra faire entrer 36 000 tonnes de beurre avec un droit quasiment symbolique de 95 €/tonne et 14 000 tonnes avec un droit de 570 €/t, et conservera du fait de l’accord précédent 26 000 tonnes avec un droit de 700 €/t. Au regard de la consommation interne (plus de 2 millions de tonnes), ces volumes restent peu élevés (76 000 tonnes au total). Mais ils risquent de contribuer à faire diminuer les prix internes (puisque les coûts de production néozélandais sont inférieurs aux coûts de production européens), alors que l’UE a largement la capacité de couvrir ses besoins en beurre…
La Nouvelle-Zélande a noué de nouveaux partenariats avec la Chine qui représente la moitié de ses exportations de produits laitiers et vers qui elle priorise ses envois. Mais la volatilité des achats chinois la pousse à diversifier ses clients. La conclusion de ce nouvel accord pourrait modifier les équilibres en place, en particulier lors en cas de baisse de la demande asiatique.
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L'accord vise à accroître le commerce bilatéral de 30 % d'ici une décennie Il réduira quelque 140 millions d'euros par an de droits pour les entreprises de l'UE envoyant des marchandises en Nouvelle-Zélande dès la première année d'entrée en vigueur de l'accord…
Selon l'UE, l'accord crée de nouvelles opportunités, tout en tenant compte des intérêts des producteurs européens de produits agricoles sensibles tels que plusieurs produits laitiers, la viande bovine et ovine, l'éthanol et le maïs doux. Pour ces secteurs, il n'y aura pas de libéralisation des échanges. Au lieu de cela, l'accord autorisera des importations à droits nuls ou inférieurs en provenance de Nouvelle-Zélande en quantités limitées, par le biais de ce que l'on appelle des contingents tarifaires…
L'accord prévoit l'importation de 15 000 t de lait en poudre avec un taux de droit de 20%, ainsi que 25 000 t de fromage et 3 500 t de lactosérum à haute teneur en protéines importés en franchise de droits. Le droit sur plus de 35 000 tonnes d'importations de beurre sera également réduit. Ces volumes seront progressivement introduits sur sept ans à compter de l'entrée en vigueur de l'accord. L'accord commercial protégera les produits de l'UE avec des indications géographiques (IG) et une liste de vins et spiritueux de l'UE…
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La Commission européenne estime que les concessions représentent moins de 1 % de la consommation européenne de ces produits. Il n'empêche, « ces concessions ne seront pas compensées, en raison du marché intérieur très limité de la Nouvelle-Zélande. La filière européenne a donc plus à perdre qu'à gagner »…
Mais le risque pour l'UE est renforcé par la compétitivité de la filière néo-zélandaise. Seul côté positif, l'accord prévoit la protection de 163 indications géographiques européennes…
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L'UE et la Nouvelle-Zélande ont conclu jeudi un accord de libre-échange qui pourrait gonfler de 30 % leur commerce bilatéral, en particulier dans le secteur agricole, exacerbant chez les éleveurs européens la crainte d'une concurrence déloyale...
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Après quinze jours de bras de fer, l’administration américaine a décidé d’exempter l’Union européenne de sa surtaxation... Le niveau des barrières douanières imposé par les deux zones apparaît sensiblement identique : en moyenne, l’Union européenne taxe à 3 % les produits qu’elle importe d’outre-Atlantique, contre 2,4 % pour les biens européens vendus aux États-Unis.
Toutefois, cet équilibre masque des « pics tarifaires » : par exemple, sur les chaussures (taxées à 48 %, contre 17 % dans l’UE au maximum), le textile et les produits laitiers (140 %, contre 40 %) ou l’huile d’arachide. De son côté, l’UE applique des droits de douane importants sur les produits agricoles, en particulier sur les viandes (45,1 % et jusqu’à 140 %, contre 4,7 % aux États-Unis) ou les légumes.
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Deux fromages du même nom, de chaque côté de l'Atlantique, se trouvent au coeur des négociations pour le renouvellement de l'accord commercial entre Bruxelles et Mexico.
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Après la conclusion d’accords de libre-échange avec l'Union européenne et les 10 autres pays du Partenariat transpacifique, le gouvernement japonais a adopté des mesures pour soutenir le secteur laitier national.
Ce paquet politique est "nécessaire pour la relance économique et la revitalisation régionale du Japon". Les mesures supplémentaires visent principalement à aider les producteurs de fromages nationaux à faire face à la concurrence internationale plus intense prévue dans le cadre de l'APE entre le Japon et l'UE. Le gouvernement fournira également une aide financière aux producteurs de fromage pour leur permettre d'introduire des équipements de production hautement efficaces.
En outre, le gouvernement prévoit de présenter un projet de loi visant à augmenter la couverture des déficits des éleveurs à 90% par rapport aux 80% actuels…
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Environ 50% du lait cru produit au Japon provient d'Hokkaido. Près de 200 fermes laitières à Hokkaido ferment chaque année, avec le vieillissement des producteurs laitiers et une pénurie de main-d'œuvre devenant critique. Avec l'application imminente de l'accord de partenariat économique avec l'Union européenne qui devrait entrer en vigueur en 2019, les producteurs laitiers font des «efforts désespérés pour survivre», selon une source de l'industrie.
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L'Union européenne et le Royaume-Uni ont présenté mercredi un plan de répartition des quotas d'importations agricoles après le Brexit, dossier hautement sensible, émaillé d'avertissements très clairs des autres grands exportateurs, Etats-Unis inclus.
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L'industrie laitière américaine appelle les autorités japonaises à la vigilance dans leur négociation d'un accord de libre-échange avec l'Union européenne.
L’UE tente de monopoliser l’utilisation d’une longue liste de noms génériques de fromages qui font partie du domaine public sous couvert d'indications géographiques dans ses accords commerciaux avec le Japon et d'autres pays. Ainsi, "Parmigiano Reggiano" est un terme géographique acceptable, mais pas le nom générique du "parmesan", largement utilisé au Japon et ailleurs.
Les industriels américains réunis dans le Consortium for Common Food Names (CCFN) cherchent des solutions pour protéger à la fois les indications géographiques légitimes et les noms génériques. L'objectif de l'UE profiterait aux seuls industriels européens, en étouffant l'accès équitable aux marchés, le libre commerce et une saine concurrence internationale. La décision du Canada d'accepter la pression de l'UE a eu une incidence négative pour ses producteurs, ses consommateurs et ses partenaires commerciaux.
Il est impératif que les noms génériques des fromages restent accessibles à tous. Le Japon doit rejeter les tentatives de l'UE. Sinon, la capacité des fabricants de fromage des États-Unis et d’autres pays à faire des affaires au Japon serait injustement limitée, avec un impact négatif sur les consommateurs et les producteurs de fromage japonais.
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Depuis 2002, les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) négocient un accord réciproque de libre-échange connu sous le nom d’accord de partenariat économique (APE) avec l’UE. Vendu comme la solution miracle qui devait entraîner l’industrialisation et le développement des pays ACP, l’APE est en réalité d’une grande injustice et relève d’un procédé colonial. Même si on en parle peu, l’APE suscite une opposition constante de la part des pays ACP, en raison notamment de ses effets dévastateurs sur les petits producteurs. Les cas des pays africains présentés ici illustrent la manière dont les communautés se battent pour reprendre le contrôle de leurs ressources et empêcher leurs marchés d’être noyés sous les denrées industrielles bon marché en provenance de l’Europe, en les protégeant en même temps de l’afflux des pesticides et des organismes génétiquement modifiés.
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C’est un formidable bras d’honneur que l’Union européenne et le Japon, qui représentent à eux deux un tiers de l’économie mondiale, ont adressé aux États-Unis de Donald Trump.
« Nous envoyons ensemble un signal fort au monde en faveur d’un commerce ouvert et équitable »...
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