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ahdb
Les dernières données, analyses et informations de l'industrie du secteur laitier pour vous aider à éclairer vos décisions commerciales : prix du lait et autres prix, l'offre et la demande, importations et exportations, coûts de production… 
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Face à l’inflation, des Britanniques sont tentés de dérober des produits alimentaires. Certains supermarchés ripostent en posant des antivols sur les emballages…
Cedric's insight:
Alors qu’on avait plutôt l’habitude de les voir sur du matériel électronique ou sur des habits, des antivols ont fait leur apparition, au Royaume-Uni, sur des emballages de fromage ou de beurre…
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Selon un nouveau sondage, un Britannique sur cinq a l'intention d'abandonner les produits laitiers cette année. Mais deux tiers de ceux qui ont essayé de devenir végétaliens en 2017 ont abandonné, selon l'enquête. Les régimes sans produits laitiers, végétariens et à faible teneur en glucides seront maintenus puisque 50% de ceux qui les ont commencés l'an dernier les maintiendront.
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Des millions de consommateurs abandonnent le lait de vache au Royaume-Uni. Pour tenter de relancer sa consommation, Arla, l’un des plus gros producteurs de lait en Angleterre, lance une boisson lactée pétillante. Elle est testée en Grande-Bretagne, à Singapour et aux Émirats Arabes Unis. Elle devrait être prochainement déployée dans le monde entier. Le lait pétillant sera-t-il la nouvelle boisson à la mode ? Il est encore trop tôt pour le savoir. Mais il est sur le point de faire son apparition dans les rayons des hypermarchés britanniques. Arla, l’un des plus gros producteurs laitiers du Royaume-Uni, s’est lancé dans la production de cette nouvelle boisson avec l’espoir de créer une nouvelle tendance. Et surtout de relancer la consommation de lait de vache en perte de vitesse outre-Manche.
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Asda est le premier supermarché à vendre du lait à partir du 1er mars avec un logo «Pasture Promise» qui garantit que les vaches ont pâturé pendant au moins six mois de l'année, assurant également que les agriculteurs sont payés équitablement et que les vaches sont traitées avec humanité. Soixante-dix mille litres de lait seront empilés sur des étagères chaque semaine dans 109 des magasins d'Asda, coûtant 90p le litre et £ 1.50 pour deux litres.
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La plus grande coopérative laitière du Royaume-Uni a réalisé une augmentation de ses bénéfices, malgré une baisse du chiffre d'affaires global du groupe. United Dairy Farmers, alimentée par 1.800 agriculteurs, a réalisé un bénéfice avant impôt de £ 6.82m dans l'année qui clôture en Mars 2016, soit une augmentation de 433% par rapport à l'année précédente.
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Les secteurs du lait et du vin seront très probablement les plus touchés dans l'agroalimentaire français par la décision de la Grande-Bretagne de se retirer de l'Union européenne, estime vendredi l'Association nationale des industries alimentaires.
Cedric's insight:
Les exportations agroalimentaires françaises vers le Royaume-Uni, qui se sont élevées à 4,539 milliards d'euros en 2015, pèsent 14% du total des ventes de produits agroalimentaires français à l'étranger. Après le Brexit, elles pourraient reculer de 500 millions d'euros, soit 11%, selon un calcul "purement mécanique" de l'assureur-crédit Euler-Hermès, cité par l'Ania.
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Jadis figure familière, le livreur de lait lutte à présent pour rester dans le paysage britannique, faisant de la résistance face à la prolifération des supermarchés et au commerce en ligne. Quelque 5.000 laitiers arpentent encore les rues du pays.
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Le géant laitier Arla a développé un nouveau lait écrémé faible en calories, destiné aux clients britanniques soucieux de leur santé. BOB (best of both worlds) est un produit laitier similaire au lait écrémé classique, de même texture mais de meilleure saveur pour la dégustation. « BOB est l'une des plus grandes innovations que nous avons créés dans la catégorie du lait. Notre stratégie d'innovation est de développer une grande dégustation et des produits plus sains» déclare Sarah Baldwin, vice-président du marketing d'Arla Foods UK. BOB coûtera environ 1,50 £ pour deux litres et 1 £ une bouteille d'un litre. Il arborera un bouchon jaune pour se mettre en évidence dans les rayons des supermarchés. Les revendeurs comprendront Asda, Tesco, Sainsbury et Ocado partir de ce mois.
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Les matières grasses ont connu une augmentation significative du prix moyen au cours des 12 dernières semaines (+22%) et de loin la plus forte baisse du nombre d'acheteurs prêts à payer le prix moyen. Il s'agit d'un exemple d'élasticité-prix élevée - les consommateurs sont très sensibles à toute hausse de prix et réagissent en négociant à l'intérieur de la catégorie ou en la quittant complètement… Analyse basée sur le comportement passé : Si le prix moyen du lait de consommation devait augmenter de 5 % supplémentaires, nous estimons que 8 % supplémentaires d'acheteurs pourraient ne pas être disposés à payer le prix moyen. Si nous supposons que ces acheteurs quittent la catégorie et que chaque acheteur dépense de manière égale, cette perte d'acheteurs pourrait entraîner une perte de volume pour le lait de vache d'environ 89 millions de litres sur une période de 12 semaines…
Cedric's insight:
voir aussi Baisse de la consommation de produits laitiers en Allemagne Comment l’inflation se traduit sur les ventes de produits laitiers en Europe ?
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Ces dernières semaines, l’inquiétude face au véganisme s’est amplifiée. L’industrie laitière britannique craint d'être engloutie par le phénomène. Les messages anti-laitiers liés à des modes de vie «saine» doivent être vigoureusement contrés si l'industrie voulait un avenir viable. Dairy UK, l’association des producteurs de lait britannique se dit prête à se battre. Elle lancera une campagne de promotion laitière de 1,2 million de livres ( 1,7 million de dollars canadiens) dans les stations de métro dès cette année et elle incite les producteurs laitiers eux-mêmes à se tourner vers les médias sociaux et Twitter pour défendre leur cause. On estime chez Dairy U.K que chaque information négative qui est diffusée, doit être contrée par cinq informations positives.
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L’avenir du Brexit semble se jouer en Irlande, en témoigne le regain de tensions récent entre Londres et Dublin. Chacun oppose sa vision de la sortie de l’Union européenne, avec en ligne de mire la frontière entre Irlande et Irlande du Nord. The Telegraph se demande “si l’Irlande compte réellement installer des miradors à notre frontière pour inspecter quelques bidons de lait” et rappelle que les exportations entre Irlande du Nord et Irlande ne valent que 3,6 milliards de livres (4 milliards d’euros), soit un peu moins de 5 % de ses exportations globales.
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Une nouvelle recherche de Cadbury Dairy Milk Buttons révèle les opinions inhabituelles et un peu divertissantes sur les enfants âgés de 4 à 8 ans. Un tiers des enfants (33%) ne savent pas que le lait provient des vaches, avec près d'un sur cinq croyant qu'il vient directement du réfrigérateur ou du supermarché. En ce qui concerne leur apparence, 1 sur 10 croit qu'une vache mesure la taille d'un autobus à deux étages et plus de 10% pensent qu'ils sont aussi petits que les chats. La recherche a également révélé que 1 enfant sur 8 (12%) de Londres ignore que les vaches meuglent. Ces résultats humoristiques suggèrent que les enfants n'ont pas encore eu l'occasion de se renseigner sur les vaches, car beaucoup peuvent avoir un accès limité à celles-ci, en particulier en ville.
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Après le Brexit, le Royaume-Uni serait le plus grand client de produits laitiers de l'UE, si le commerce se poursuivait à des niveaux récents. Le Royaume-Uni a importé environ 2,5 milliards d'euros de produits laitiers de l'UE-27 en 2015. Cela équivaut à environ 20% du total des exportations mondiales de l'UE-27. Le Royaume-Uni a le deuxième plus grand déficit laitier net dans le monde, derrière la Chine. Ce déficit commercial s'explique en grande partie par les importations de fromages, qui représentaient environ la moitié de la valeur des importations totales de lait du Royaume-Uni en 2015. Il importe également des quantités importantes de préparations pour nourrissons, de beurre, de yaourts et de babeurre. En conséquence, le Royaume-Uni est l'un des marchés mondiaux les plus précieux pour les produits laitiers et sera une cible clé pour de nombreuses nations exportatrices de produits laitiers.
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Le gouvernement irlandais a été appelé à prendre immédiatement des mesures décisives pour apaiser les préoccupations de l'agriculture et du secteur agro-alimentaire sur les implications du vote du Royaume-Uni à quitter l'UE. Le Président se l’IFA Joe Healy, a exprimé sa déception à l'issue du référendum au Royaume-Uni. Il a dit que le résultat du vote au Royaume-Uni a des implications majeures pour l'agriculture irlandaise et le secteur agro-alimentaire. «Le gouvernement doit donner un signal clair sur les questions d'importance majeure pour ce secteur, nos relations commerciales avec le Royaume-Uni et l'Irlande du Nord. Minimiser l'incertitude et définir une stratégie claire sur les prochaines étapes est une priorité. " par an.
Cedric's insight:
Les exportations totales de produits agroalimentaires irlandaises étaient de près de 11 milliards € en 2014. Le Royaume-Uni est la première destination d'exportation, les exportations agroalimentaires en 2014 représentent une valeur de plus de 4,5 milliards €. Un rapport du Teagasc, a constaté que le Brexit pourrait signifier une réduction de la valeur des exportations irlandaises agroalimentaires de de 150 M€ (1,5%) à 800 M€ (7,2%)
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Michael Oakes, président du conseil de la NFU, constate un regain d'espoir alors que le fond de la cuve a été atteint, les perspectives du secteur laitier s’améliorent. «Cela a été la plus longue et la plus profonde crise que quiconque puisse se souvenir dans le secteur laitier et les prix à la production actuels ne sont clairement pas durables. Il est encore tôt, mais de ce que nous voyons sur les marchés à terme, les choses pourraient être sur le point d'améliorer. L'offre ralentit à travers le monde et il y a des rapports que la consommation de produits laitiers sera plus grande que la croissance de la production cette année. Il faut cependant rester prudent, les prix restent extrêmement faible et on ne sait pas avec quelle rapidité nous reviendrons à un niveau supportable - peut-être six mois, peut-être plus. Donc, il y a encore un long chemin à parcourir. »
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