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Le prix prévisionnel du lait à la ferme a été considérablement ajusté. Fonterra a réduit de 1,00 $/kgMS son précédent point médian de 8,00 $/kgMS, avec un nouveau point médian à 7,00 $/kgMS pour la saison de production laitière 2023/24 en cours. La nouvelle fourchette de prix du lait prévue est de 6,25 $/kgMS - 7,75 $/kgMS. La dernière prévision à mi-parcours de Fonterra (août 2023) par rapport à la même période en 2022 s'est affaiblie de 24 %...
Suite aux enchères GDT de cette semaine, les prix des produits laitiers sont désormais inférieurs aux moyennes sur 5 ans. Il s'agit d'un ajustement important des prix des produits laitiers - un ajustement qui s'est produit depuis le deuxième trimestre de l'année dernière. Ce sera douloureux pour ceux qui traversent cette période d'adaptation. Les coûts ont augmenté de 13% en glissement annuel…
La chute est en grande partie due à la baisse de la demande d'importation de la Chine, qui traverse actuellement une vague de lait – une poussée qui se développe depuis quelques années. La croissance de la production ralentit - c'est ce que nous devons voir pour que les marchés se rééquilibrent - mais le taux de croissance pour le premier semestre 2023 a dépassé nos attentes. La croissance de l'offre de lait a été de 7,5% en glissement annuel au premier semestre 2023, avec un ralentissement au T2 par rapport au T1…
Il s'agit d'un autre cycle sur les marchés des produits laitiers. Les marchés sont faibles et ils sont difficiles en ce moment. Pour référence, pendant la période de ralentissement du secteur laitier (y compris les saisons 2014/15 à 2015/16), le prix du lait a chuté de 8,40 $/kgMS (2013/14) à 4,40 $/kgMS (2014/15). Si nous corrigeons l'inflation, c'est comme si le prix du lait en termes actuels tombait de près de 10,60 $/kgMS à 5,50 $/kgMS…
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La production de lait de vache devrait reculer fortement en Australie et s’effriter en Nouvelle-Zélande en 2023, selon l’USDA…
Après avoir déjà reculé de 6 % en 2022, la collecte laitière de l’Australie devrait de nouveau baisser de 2 % en 2023, et ce malgré la nette hausse des prix du lait, à des niveaux records. Pourtant, les conditions climatiques n’ont pas été mauvaises…
Mais l’Australie est confrontée à un profond manque de main-d’œuvre qui ne permet pas aux éleveurs laitiers de développer leur production malgré un contexte de marché positif. Les industriels australiens devraient privilégier les fabrications de fromages, attendues presque stables, aux dépens des autres produits laitiers…
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Selon l'USDA, plusieurs facteurs auront un impact sur les producteurs néo-zélandais, notamment un cheptel national en déclin lent, un dollar néo-zélandais faible augmentant l'inflation à la ferme et ayant un impact sur les prix des intrants importés, et les prix élevés du carburant…
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La coopérative s'attend à payer aux agriculteurs entre 8,25 $ et 9,75 $ par kilogramme de solides du lait pour la saison commençant le mois prochain. Le point médian de 9 $ par kgMS, que les agriculteurs reçoivent, bat le précédent record établi à la même époque l'année dernière de 8 $ par kgMS…
Fonterra a réitéré ses prévisions pour la saison en cours entre 9,10 $ et 9,50 $ par kgMS. Le point médian de 9,30 $ par kgMS serait le paiement laitier le plus élevé depuis la création de Fonterra en 2001, injectant près de 14 milliards de dollars dans l'économie néo-zélandaise…
Cependant, les paiements élevés du lait aux agriculteurs et les perturbations mondiales ont eu un impact sur la rentabilité de Fonterra. La société a annoncé une baisse de 22% de ses bénéfices…
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L'indice de croissance des pâturages est au plus bas depuis 21 mois, en raison de la sécheresse qui sévit actuellement en Nouvelle-Zélande. Des perspectives d'une baisse de la collecte laitière se font jour avec le ralentissement de la croissance de l'herbe dans les pâturages laitiers en Nouvelle-Zélande. Une opportunité pour les exportations américaines ?
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La production laitière néo-zélandaise a augmenté de 2,9% au cours du mois d'octobre, ce qui pourrait avoir des répercussions sur la prochaine vente aux enchères GlobalDairyTrade.
Nathan Penny, économiste rural à l'ASB, a déclaré que la hausse du mois d'octobre risquait de faire baisser les prix des produits laitiers, d'autant plus que la production européenne semble également augmenter.
Sous pression, la prochaine mise à jour des prévisions de prix du lait de Fonterra (actuellement à 6,75 $) est prévue pour décembre, bien que le conseil puisse choisir de réviser les prévisions plus tôt.
La plupart des banques parient autour de 6,25 à 6,50 $, à comparer aux 6,12 $ / kg MS de 2016-2017.
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En Nouvelle-Zélande, on prévoit une augmentation du nombre de vache et de la productivité pour la nouvelle saison laitière, qui, si elles se produisent toutes deux, devrait augmenter la production saisonnière de lait.
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Fonterra a fixé ses prévisions initiales pour les paiements au lait à ses fournisseurs à 6,50 $ / kg de solides au lait (30 c / l) pour la saison 2017/18.
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La plupart des analystes estiment que Fonterra annoncera une prévision de versement d'ouverture prudente pour la saison 2017-18 d'environ 6 $ le kilogramme de solides de lait. Le moment précis de l'annonce est incertain mais il est probable qu'il sera jeudi.
Les prévisions d'ouverture de Open Country Dairy de 6,25 $ - 6,55 $ / kg de MS pourraient influencer la prise de décision. Nathan Penny, économiste de l'ASB, suggère que le prix final pourrait aller jusqu'à 6,75 $. Ces dernières années, la différence entre le prix d'ouverture et le prix final a été en moyenne de «plus ou moins 1,50 $».
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Le ministre des Industries primaires, Nathan Guy, affirme qu'il y a une limite à l'intensification des produits laitiers en Nouvelle-Zélande et que les exportations dépendront davantage de l'augmentation de la valeur des produits plutôt que du volume.
« Il sera difficile pour l'industrie laitière de grandir. Il n'y a aucun moyen de doubler le nombre de vaches en Nouvelle-Zélande. Une grande opportunité pour l'industrie laitière est d'augmenter la valeur, et non le volume. »
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Malgré des difficultés, notamment sur le plan environnemental, la Nouvelle-Zélande affiche toujours de grandes ambitions pour sa filière laitière : d'ici 2025, le pays souhaite augmenter de 55 % la valeur de ses exportations de produits laitiers.
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Les économistes prévoient que les prix du lait à la ferme en Nouvelle-Zélande se stabilisent à environ 6 $ par kg MS pour la fin de la saison (au 31 mai) ainsi que pour la campagne suivante.
L'analyste senior de Rabobank, Michael Harvey, reste autour des prévisions de Fonterra de 6,00 $ le kilo pour la saison en cours et pour le reste de l'année : « il pourrait y avoir une légère hausse, mais faible ».
Westpac s'attend à voir un certain «risque à la hausse» face à ses prévisions pour 2016/17 de 5,90 $ / kg, la banque ayant une prévision de 6,10 $ / kg pour la saison prochaine.
L'économiste rural d’ASB Bank, Nathan Penny, prévoit que le prix pour le reste de la saison se maintiendra à 6 $ / kg, mais il devrait atteindre 6,75 $ / kg la saison prochaine.
L'économiste rural de l'ANZ Con Williams a ajusté ses prévisions de 6,10 $ à 6,15 $ / kg pour 2016/17 par rapport à sa prévision précédente de 6,25 $ / kg. Williams s'attend à ce que la prévision d'ouverture pour 2017/18 soit autour de 5$ et que les prix demeurent volatils.
Le contexte de l'offre mondiale a commencé à s'améliorer. Mais la volatilité des prix va se poursuivre, les agriculteurs doivent rester prudents sur les dépenses Les agriculteurs devraient se concentrer sur le remboursement de la dette à court terme.
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Le gouvernement prévoit de doubler la valeur des exportations d'ici à 2025, mais dans le cadre de l'accord de Paris sur le changement climatique, l'objectif devrait être de réduire les émissions de 30% par rapport aux niveaux de 2005 d'ici à 2030. Les émissions agricoles représentent 49% du total du pays .
La croissance de l'industrie laitière tout en réduisant l'empreinte environnementale de l'agriculture est réalisable, disent les agriculteurs.
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Sa fourchette de prix du lait prévue pour la saison est réduite entre 8,20 $ NZ et 8,80 $ NZ par kilogramme de solides de lait (kgMS), avec un point médian à 8,50 $ NZ (358 €/ 1000 litres) . La prévision précédente était de 8,50 à 9,50 dollars néo-zélandais par kgMS, avec un point médian de 9,00 dollars néo-zélandais.
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En septembre, la principale laiterie néo-zélandaise Fonterra a révisé ses prévisions de production de lait pour la prochaine saison 2022/23 de 1,51 million de tonnes de solides du lait à 1,495 million de t…
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En Nouvelle-Zélande, des perspectives très incertaines
La chute de production laitière néo-zélandaise est-elle « un trou d’air ou un phénomène durable » ? Réponses de l’Idele, entre prix élevés de l’aliment, météo incertaine, manque de main-d’œuvre et retrait de la demande chinoise…
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La production laitière néo-zélandaise a augmenté de 1,85% au cours de la première moitié de la campagne laitière, de juin à novembre 2017, par rapport à la même période de l'année précédente. Fonterra s'attend à une baisse de 3% de la production de lait cette saison par rapport à la saison précédente, en raison des conditions de sécheresse actuelles, qui devraient affecter la qualité des pâturages.
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La plupart des fermes laitières néo-zélandaises devraient être rentables au cours de la saison 2017-18, mais elles restent plus endettées que les autres secteurs agricoles. Les prix mondiaux des produits laitiers ont baissé ces derniers mois, mais restent bien au-dessus de leurs niveaux de mi-2016 et les prêts au secteur laitier ont diminué.
Fonterra a prévu des prix du lait de 6,75$/kg pour la saison en cours, contre 6,12$/kg en 2016-2017. Même si les économistes s'attendent à une révision à la baisse vers 6,25 $ à 6,50 $/kg, Dairy NZ estime le seuil de rentabilité à environ 5,20 $ à 5,25 $ / kg.
La dette agricole avait explosé lorsque les prix ont chuté à 3,90 $/kg en 2014-2015 et à 4,40 /kg en 2015-2016.
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Avec des conditions climatiques humides sur la fin de l’hiver austral, la production laitière néo-zélandaise affiche un recul de près de 2 % en août 2017 par rapport à août 2016.
Assurant plus de 90 % de la collecte en Nouvelle-Zélande, Fonterra est impactée par le recul des livraisons de lait ces derniers mois, en raison de conditions climatiques défavorables. « Notre collecte laitière atteint 171 millions de kg de MS en septembre 2017, soit 2 % de moins qu’en septembre 2016 », constate la coopérative.
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La crise laitière a choqué mais pas assommé les éleveurs néo-zélandais. Malgré des coûts de production plus élevés depuis 2007, les éleveurs restent compétitifs. La Nouvelle-Zélande est une terre laitière par excellence. Elle a produit près de 22 millions de tonnes de lait sur la campagne du 1er juin 2014 au 31 mai 2015. C’est-à-dire presque autant que la France sur un territoire deux fois moins vaste, comptant quatorze fois moins d’habitants. Le pays exporte 95 % de sa production laitière, et représente 30 % des exportations mondiales.
La Nouvelle-Zélande pèse donc sur les marchés mondiaux, notamment de septembre à janvier, pendant son pic de production. C’est un concurrent à double titre : sa production a été multipliée par deux en vingt ans et ses exploitations sont compétitives grâce à des systèmes pâturants économes.
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La grande coopérative néo-zélandaise a exprimé sa confiance dans la reprise récente des produits laitiers et a augmenté ses prévisions de prix avec une prévision d'ouverture de 6,50 $ / kgMS (28 c / l) pour la saison 2017/2018, qui débute le 1er juin.
La fourchette des gains prévisionnels pour l'exercice financier 2018 sera annoncée vers le début d'août. La coopérative a également relevé le paiement 2016/2017 de 15 c à 6,15 $ / kgMS (26,4 c / l).
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Après deux années de crise, les éleveurs néo-zélandais sont exsangues. Les perspectives de croissance de la production laitière sont limitées. Pour accroître le revenu des producteurs, la coopérative Fonterra fait le choix de la valeur ajoutée.
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La deuxième entreprise laitière néo-zélandaise, Open Country Dairy, a annoncé une augmentation de 0,55c / kg (2.6c / l) pour son prix du lait d'ouverture. Cela amène les prévisions de la nouvelle saison laitière entre 6,25 $ et 6,55 $ / kg de solides de lait (29,94-31,38c / litre).
Nathan Penny, senior économiste de la Banque ASB, prévoit que Fonterra augmenterait ses prévisions à 6,75 $ / kg (32,34 c / l).
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Alors que la filière laitière est encore engluée dans la crise, l’Institut de l’élevage (Idele) et l’interprofession laitière (Cniel) ont choisi de zoomer sur un concurrent redoutable, la Nouvelle-Zélande, et sur un débouché important, la Chine, lors de la Conférence Grand angle lait, le 4 avril 2017 à Paris.
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Selon Nathan Penny économiste rural de l’ASB, le paiement des produits laitiers de l'année prochaine devrait rester autour de 6 $ le kilogramme de lait écrémé. La production et les prix dépendront de la météo.
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