Des demandes de reconnaissance ont été déposées pour étendre l’IGP dont bénéficie le saint-marcellin isérois à son frère de lait qu’est le saint-félicien, et pour que le caillé doux de Saint-Félicien, en Ardèche, soit protégé par une AOP…
Plusieurs dizaines de grammes tous les deux, une couleur blanche, une pâte et une croûte qui se rapprochent, mais surtout, quelques mots en commun, “Saint-Félicien”. L’un, sans les majuscules, imaginé aux portes de Lyon dans les années 1950 ainsi qu’il se raconte, est fabriqué comme son proche fromage de saint-marcellin à partir de lait de vache…
Majoritairement en Isère et Drôme mais aussi jusqu’en Savoie, dans l’Ain, le Rhône et en Ardèche. Là où un autre produit « ancestral » du patrimoine local, issu lui de lait de chèvre, se prénomme Caillé doux de Saint-Félicien, en lien avec sa commune ardéchoise de référence, produit dans le nord du département…