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Hauts de France – Coût de production : 129 € d’écart…
Un écart de 129 €/1000 L entre les tiers inférieurs et supérieurs sur les 64 exploitations conventionnelles. Les écarts significatifs correspondent, logiquement, aux postes les plus importants : postes travail 32 %, mécanisation 26 %... Une productivité de la main d’œuvre supérieure de 140 000 L de lait/UMO, permise par une meilleure productivité des vaches laitières (+ 433 L/VL) et une taille d’étable plus importante. Les amortissements matériels représentent 41 % des charges de mécanisation, à relativiser car des effets fiscaux peuvent entraîner leur surévaluation…
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Après avoir traversé une période de crise, Milcobel s’est restructurée et affiche 18 mois de hausse continue de son prix de base. Milcobel annonce un prix standard de 515 € puis de 555 € (42/33) en mai et juin. La coopérative belge est désormais à la recherche d’adhérents, en priorité dans les départements des Hauts-de-France…
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Il y a un an, toute la filière du fromage qu’est le maroilles, basée dans l’Avesnois et la Thiérache, se réorganisait pour tendre vers plus de qualité. Notamment en réduisant le nombre de producteurs de lait de 450 à 125. Cela a-t-il porté ses fruits ? Oui et non...
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L’ambition d’un large regroupement des producteurs se heurte à la réticence des laiteries à intégrer une structure transversale. Dans les Hauts-de-France, la Fédération régionale des producteurs de lait (FRPL) est à l’initiative d’un projet d’AOP de bassin, réunissant les organisations de producteurs livrant à des laiteries privées et les coopératives présentes sur le territoire.
« Cette structure transversale se veut d’abord un lieu d’échanges d’informations sur l’état du marché, mais aussi sur les besoins des uns et des autres en termes de volume »... Mais l’ambition syndicale de mettre tous les volumes dans un pot commun est loin d’être partagée. En effet, les coopératives régionales semblent peu enclines à être les variables d’ajustement de la collecte...
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Mettre un terme à la paupérisation agricole : Emmanuel Macron entend y parvenir en rééquilibrant les contrats entre agriculteurs et distributeurs. Dans le Boulonnais, des agriculteurs se sont affranchis des liens avec l’industrie agro-alimentaire, qui alimente les grandes surfaces. Voici le parcours de quatre d’entre eux. Et aussi : Pour la Chambre d’agriculture, le circuit court n’est pas la solution miracle pour tous Sur http://www.lavoixdunord.fr/254959/article/2017-10-29/pour-la-chambre-d-agriculture-le-circuit-court-n-est-pas-la-solution-miracle La Chambre d’agriculture du Nord-Pas-de Calais accompagne les agriculteurs dans leurs projets de diversification. Pour autant, elle n’encourage pas forcément le système de distribution en circuit court. Explications. Ou bien encore : Les Selin ont ouvert un distributeur de produits fermiers XXL sur http://www.lavoixdunord.fr/254756/article/2017-10-28/les-selin-ont-ouvert-un-distributeur-de-produits-fermiers-xxl Avec ses 221 casiers, la Table fermière, créée en mars à Isbergues est le plus récent et le plus gros distributeur automatique de produits fermiers du secteur Béthune-Bruay, qui en compte déjà beaucoup. Les Selin ont imaginé le tout en famille, pour permettre aux gens de se fournir à toute heure pour un repas frais et local.
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Un lait éco-responsable sans OGM. Voilà le projet Via Lacta, porté à Arras (Pas-de-Calais) par Ingredia et le WWF France. La collecte a débuté. « Après 6 mois de conversion, notre lait Via Lacta est officiellement sans OGM depuis le 1er octobre 2017. C’est un lait éco responsable puisqu’il inclut aussi les notions de pâturage et de bien-être animal », se félicite Sandrine Delory, directrice générale du groupe Prospérité Fermière-Ingredia.
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Les membres fondateurs de la toute nouvelle coopérative laitière de la Bresle se réunissaient ce lundi 6 mars, à Martainneville, pour signer les statuts et élire le bureau.
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La volonté de l’industriel de réduire sa collecte a amené l’OP livrant à Danone Bailleul à créer une SAS.
Objectif : trouver de nouveaux débouchés pour permettre à ses 680 adhérents de développer leur production.
Un contrat de livraison doit ainsi être passé avec Milcobel. Près de 300 éleveurs de l’OP ont émis des demandes de volumes supplémentaires allant de 50 000 à 500 000 litres.
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120 vaches en plus des 540 déjà élevées : le projet d’extension de la SCEA de la Gare, à Saint-Waast-La-Vallée, a fait bondir les insoumis, qui prônent un retour à l’agriculture paysanne. Pour Clotilde et Pascal Boez, les gérants, ce projet est une suite logique du regroupement familial de troupeaux qu’ils ont entamé en 1997. Des vaches bien soignées, une viande et un lait de qualité, assurent-ils.
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Quand on pense Picardie, on pense forcément Maroilles... Le fromage, qui bénéficie d'une appellation d'origine protégée entre l'Aisne et le Nord, est depuis peu soumis à un nouveau cahier des charges. Objectif, mieux ancrer le fromage dans son terroir.
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Originaire d’un petit territoire, le maroilles est désormais connu en dehors des terres nordistes. Dans l’Aisne, ils sont trois manufacturiers et trois fermiers à se partager le marché. Sans (presque) empiéter les uns sur les autres.
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Depuis 1973 et l’installation de membranes dans son usine de Saint-Pol pour récupérer les molécules, la coopérative agricole a fait de la valorisation du lait son thème de prédilection… Elle en a beaucoup d’autres. Pour permettre à ses quelque 1 800 producteurs adhérents de tirer le meilleur profit du lait, malgré la crise et les fluctuations des prix au litre très perturbantes. Elle valorise ainsi des produits comme le lactium, la luctoférine (concentré du lait de vache pour enrichir le lait) ou le colostrum (premier lait de la vache qui vient de vêler) et d’autres dérivés recherchés par l’industrie du médicament, des compléments alimentaires…
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Le président de la Scapartois Bertrand Le Come n’est pas venu dans le Ternois les mains vides… Celui-ci a en effet fait une « petite » surprise aux dizaines d’élus du secteur venus assister à la pause de la première pierre. « Nous avons travaillé à la construction d’une nouvelle gamme de lait qui sera estampillée éleveurs Hauts-de-France. Et ce lait sera produit à Saint-Pol, chez Ingrédia ». Un lait qui aura un packaging spécifique « éleveurs Hauts-de-France », et qui sera donc issu des élevages de la région. Dans cette démarche, Leclerc s’engage « à payer les producteurs au-dessus du prix du marché », confie Bertrand Le Côme. Une bonne nouvelle, donc pour les éleveurs, mais aussi pour l’entreprise Ingrédia…
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« Cette fusion entre ces deux coopératives agricoles concrétise un chemin parcouru depuis 2015 dans le respect des particularismes régionaux. Le territoire de Noriap s’étend désormais des Hauts-de-France à la Normandie. Il est composé de terroirs et d’agriculteurs aux profils diversifiés »…
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Leader mondial des protéines de lait, la coopérative Ingredia inaugure ce jeudi, près d'Arras, une nouvelle unité mixte de recherche avec l'Institut Charles Viollette. Objectif : renforcer la R&D sur les peptides laitiers pour contrecarrer les prix bas.
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Concernant l'évolution des systèmes sur les 5 dernières années, le litrage produit par exploitation a progressé de 18 % en 5 ans pour partie lié à des installations. Sur cette même période, le lait produit par UMO a augmenté de 12 % (315 000 l). Les surfaces ont évolué à un rythme moins soutenu (+ 9 %). Ce lait supplémentaire a été fait en intensifiant les surfaces (+ 7 % de lait/ha SFP). En parallèle, la consommation de concentrés a augmenté de 6 % ...
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En 1992, treize hectares de terres agricoles aux portes de la ville laissaient place à une usine de crèmes glacées élaborées avec le bon lait des vaches de la région. Ces vingt-cinq ans, et le succès de la recette industrielle, étaient célébrés ce vendredi... Les vaches de 450 fermes de la région qui approvisionnent l’usine mangent une bonne herbe avec notre climat pluvieux, donnant le lait « neutre en goût » nécessaire pour une bonne crème glacée...
et aussi : A Arras, General Mills investit afin d'assouvir l'appétit mondial pour ses glaces Häagen-Dazs sur https://www.usinenouvelle.com/article/a-arras-general-mills-investit-afin-d-assouvir-l-appetit-mondial-pour-ses-glaces-haagen-dazs.N625188
Vendues à travers le monde, les glaces Häagen-Dazs du groupe américain General Mills sont pourtant majoritairement fabriquées en France, près d’Arras. Et poursuivent leur croissance, alors que le groupe se sert aussi de l’Hexagone, son deuxième marché, pour innover.
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Danone a battu ce matin le consensus en publiant un chiffre d’affaires trimestriel en croissance de 4,7% à données comparables. Une performance saluée par les investisseurs.
Alors qu'on annonce un prochain départ du président de Danone, Franck Riboud.
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Ingredia et Prospérité Fermière lancent Via Lacta : leur nouvelle stratégie RSE et le 1er lait écoresponsable produit à partir d’une collecte de lait issue d’animaux nourris sans OGM, avec une surface minimale d’herbe garantie et élevés sur paille. Un acte fort et fédérateur pour cette coopérative laitière des Hauts-de-France qui a décidé de s’engager il y a 2 ans dans une stratégie de différenciation de son lait en misant sur un projet transversal RSE.
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La Prospérité Fermière est une coopérative régionale ancrée dans les Hauts de France, qui compte 1 000 points de collecte.
Mais son credo est de mieux nourrir la planète grâce à des ingrédients technologiques destinés aux IAA.
Comment créer le lien entre cette origine régionale et le positionnement mondial d’Ingredia, le poumon économique de la coopérative ?
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La création d’une AOP de bassin Nord-Picardie-Ardennes est un projet qui mobilise la FRPL (Fédération régionale des producteurs de lait).
Pour y parvenir, le syndicalisme régional peut s’appuyer sur un taux d’adhésion qui dépasse les 90 % dans les OP verticales existantes (Lactalis, Sénagral, Danone, Novandie et Bel).
Cette structuration devra permettre de préserver la dynamique laitière du territoire, en offrant notamment la possibilité aux producteurs bloqués dans leurs volumes de produire plus et de trouver des débouchés auprès des coopératives. Reste à convaincre ces dernières d’adhérer au projet, sans pénaliser ses sociétaires historiques.
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À compter de 2017, la fabrication du maroilles sera soumise à un cahier des charges très sévère, pour les producteurs de lait et les affineurs. Cela fait bientôt dix ans que le syndicat du maroilles, présidé par Claude Leduc, travaille sur le sujet. L’objectif est de garantir la qualité du fromage et de le protéger.
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Souvent surnommé « le plus fin des fromages forts », le maroilles est emblématique de la Thiérache. La plupart des fabricants sont d’ailleurs situés dans le nord de l’Aisne. Visite de la fromagerie Leduc, à Sommeron près de La Capelle, pour découvrir les étapes et méthodes de fabrication du maroilles.
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Dans la rubrique "terroir", Claude Leduc, producteur et président du syndicat du Maroilles, nous explique tout sur le fromage du Nord et de la Thiérache.
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