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« Nos 5 organisations (LCA Ouest, UGPVB, ABEA, POPLAIT et CERAFEL) représentent 98% de l’activité agricole et alimentaire de l’Ouest de la France et nos productions nourrissent 1 Français sur 3. »…
De la souveraineté alimentaire, nous sommes passés à la "Sécurité alimentaire". Les rayons se vident des produits français pour se remplir d’une alimentation importée…
+37 % d’importations sur le lait vrac depuis 2021. En 2027, la France pourrait devenir importateur net de produits laitiers…
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Lactalis : Les éleveurs des OP du Grand ouest peuvent dépasser leur volume contractuel…
… à certaines conditions ! Pour les adhérents de l’OPNC, de l’OPLGO et de l’APLBL, le dépassement sera toléré jusqu’à hauteur de 2%. Sinon il sera payé moins cher : - dépassement de 2 à 10% : pénalité de 100€ dès le 1er litre de dépassement - au-delà de 10% : pénalité de 100€ jusqu’à 10%, de 286€ au-delà…
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L’organisation de producteurs (OP) France Milkboard Grand-Ouest (FMBGO) tenait son Assemblée générale le 14 février dernier à Gosné (Ille-et-Vilaine). Au menu du jour : « les relations entre les différents acteurs de la filière, et les conséquences des États Généraux de l’Alimentation »
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L' accord prévoit :
- la garantie d'un prix de référence moyen annuel pour toute l'année 2018 pour le lait acheté aux producteurs de l'APBO, fixé à 350 euros pour 1 000 litres ; un accord unique dans la profession et dans la relation entre producteurs de lait et transformateur.
- le déploiement par l'ensemble des producteurs de l'APBO de pratiques d'élevage différenciantes parmi lesquelles une alimentation sans OGM pour les troupeaux laitiers et la mise en valeur du pâturage (engagement de 150 jours par an minimum) ;
- la rémunération de ces pratiques différenciantes sous forme de primes mensuelles pour un montant total de 21 € les 1 000 litres.
Il est le résultat de plusieurs mois d'échanges et de concertation au cours desquels l'APBO, force de proposition, a pleinement exprimé sa vision d'un partenariat gagnant-gagnant. Il implique l'ensemble de ses 700 exploitations adhérentes.
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À l’occasion de l’assemblée générale de France Milk Board Grand Ouest, le 2 mars à Gosné (Ille-et-Vilaine), le débat autour des contrats laitiers de deuxième génération a mis en avant les désaccords entre producteurs et industriels sur l’intégration de l’indicateur du coût de production prévu dans la loi Sapin II.
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Réagissant au bilan de la première phase de dépôt des demandes d’aides à la réduction de la production laitière, l’OP France Milk Board Grand Ouest estime qu’il s’agit d’un signe fort vers davantage de régulation et d’organisation.
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Les membres de FMB GO (France Milk Board Grand Ouest) espèrent revoir certains points des contrats grâce au nouveau cadre législatif.
France Milk Board Grand Ouest (FMB GO) poursuit son petit chemin. L’organisation de producteurs (OP) territoriale ne compte que 300 adhérents, pour 100 millions de litres de lait collectés, mais elle entend démontrer qu’il est possible de fonctionner en négociant des contrats-cadres auprès de plusieurs industriels simultanément.
Ses membres livrent leur lait à sept laiteries : Lactalis, Savencia, Saint Père, Vaubernier, Bel, la Sill et Rolland.
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Les associations d’Organisations de producteurs du Grand-Ouest rappellent les occasions manquées de renforcer le pouvoir de négociation des agriculteurs…
Renforcer le pouvoir de négociation des associations d’OP est le moyen d’assurer la pérennité et l’attractivité du métier de producteur agricole, selon ces associations du Grand-Ouest. Ces dernières sont au nombre de 3 : Cerafel (fruits et légumes), AOP Porcs, et Poplait (lait). Elles revendiquent plus de 3 milliards de litres de lait/an, plus de 500 000 tonnes de légumes et fruits et plus de 11,5 millions de porcs charcutiers mis sur le marché…
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Avec la Pac, les programmes opérationnels permettent d’allouer davantage de moyens aux organisations de producteurs. Tout n’est pas encore tranché pour la France. Trois associations d’OP du grand Ouest - Poplait, Cerafel et AOP Porc grand ouest - militent pour que la France soit ambitieuse sur ce volet…
Les associations d'organisations de producteurs de lait comme Poplait veulent reprendre le destin des agriculteurs en main, et organiser l'évolution continue des agriculteurs pour répondre aux attentes sociétales et favoriser leur accès aux marchés…
Passer de 0,5 à 3 % des aides directes pour soutenir les OP
« Nous demandons à la France d’augmenter le pourcentage de l’enveloppe allouée aux programmes opérationnels, qui est aujourd’hui à 0,5 % des aides directes, pour s’orienter progressivement vers les 3 % proposés par l’Union européenne. Le but est de renforcer leur capacité d’action en faveur d’une meilleure gestion des marchés…
Cet appui aux organisations de producteurs permettrait d’agir en faveur de la liberté d’entreprendre des agriculteurs, tout en assurant leur indépendance, leur liberté par la mutualisation des efforts, et en leur permettant de renforcer leur poids sur le marché », a rappelé Fabrice Guérin, président de Poplait, lors de son assemblée générale du 29 mars….
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En annonçant un prix à 350 euros/1 000 litres sur l’année 2018, ainsi qu’une modification de son cahier des charges, le groupe Bel s’est d’emblée placé au-dessus des débats. Ses choix auront des répercussions, chez ses livreurs, voire au-delà.
Bel a annoncé, il y a un quinze jours, l’accord trouvé avec la principale OP : un lait payé à 350 € sur 2018, assorti d’une prime de 21 €/1 000 litres pour respecter de nouveaux critères “lait de pâturage” (15 €) et alimentation “sans OGM” (6 €). Une charte viendra compléter plus largement le futur cahier des charges sur les aspects d’environnement, de “bien-être animal” et de relocalisation de la production (par les fourrages).
Aujourd’hui, tout le lait Bel vient de l’Ouest de la France. 85 % de la collecte sont fournis par l’APBO, qui regroupe 80 % des exploitations qui livrent chez Bel. “80 à 90 % des élevages” devraient pouvoir répondre aux 150 jours de pâturage. Le “sans OGM” sera imposé partout.
Jusqu’ici, “Bel n’a jamais obligé un éleveur à intégrer une OP”. Mais l’accord signé avec l’APBO implique que le lait demandé par Bel répondra à un cahier des charges, et que le respect de ces critères, agréés par un organisme certificateur, sera de la responsabilité de l’OP. Ce qui signifie que pour pouvoir toucher la prime de 21 euros, tout éleveur devra adhérer à cette OP.
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Producteur de lait à Carnet dans le sud Manche, Landry Rivière est membre de la commission «Communication» de Sunlait. Acteur des débats dans le cadre des EGA, il veut voir la co-construction de la filière laitière aboutir...
Une nouvelle formule de prix stoppée :
«Contrairement à ce que l’on peut observer dans de très grands groupes laitiers, Sunlait est reconnu par Savencia avec de réelles avancées acquises dans le passé. Le climat est constructif. Nous nous retrouvons tous les trimestres dans le cadre de réelles négociations pour parler contractualisation, prix, qualité, volume (...)», admet Landry Rivière.
En juin dernier, un protocole sur une nouvelle formule de calcul du prix du lait a même été signé. Il devait entrer en application sur le second semestre pour expertise et vérifier qu’il aboutissait à du «gagnant-gagnant». Une formule plus réactive, qui tenait compte de l’évolution du mixte produit, qui tenait compte de la marge des producteurs...
Pas encore sans doute un aboutissement mais ce qui aurait presque pu se faire de mieux.
Mais «patatras» le 27 septembre. Cinq jours avant les EGA lait, le protocole est dénoncé pas Savencia. «Nous n’arrivons pas à faire passer les hausses auprès des GMS (Grandes et Moyennes Surfaces» en guise de justification.
«Alors quand Daniel Chevreul dit à Caen qu’il faut discuter avec des OP fortes et fédérées, il a raison et c’est ce qu’il fait. Nous avons de vraies discussions. Ce n’est pas le copinage que nous pratiquons mais un vrai travail de fond depuis 5 ans. On passe du temps à co-construire une nouvelle formule qui correspond à la valorisation de l’entreprise mais le marché fait qu’on ne peut pas l’appliquer».
320 € eu lieu de 340 € : Voilà ce que voulait dénoncer publiquement Landry Rivière. «A quoi bon se battre sur une nouvelle formule si c’est pour s’aligner sur les moins-disants derrière?», s’interroge-t-il.
Tout n’est pas perdu pour autant. Le 11 octobre dernier, Sunlait a saisi le médiateur. Cela a permis de revenir à meilleure fortune sans faire pour autant affoler les compteurs : 332 € en novembre et 342 € en décembre.
«Mais il nous manque toujours les 20 € d’octobre». Les 1 000 litres ont été payés 320 € alors que la nouvelle formule affichait 340 €. Et de conclure: «il faut que la GMS et la transformation acceptent une meilleure répartition de la valeur ajoutée. Ce serait la meilleure façon de sortir par le haut des EGA».
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CLEPS OUEST : première OP en France à adhérer à 2 AOP, SUNLAIT et AOP Grand Ouest
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Face au marasme économique et malgré ses difficultés à faire adhérer de nouveaux producteurs dans son périmètre, l’OP France Milk Board Grand Ouest veut avancer sur le chemin d’une AOP transversale et nationale, voire plus encore.
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L’AOP Grand Ouest , association des OP de l’Ouest, souhaite montrer à l’Europe la volonté des producteurs français de lait de réduire collectivement les volumes, en échange d’une compensation financière. L’AOP de lait du Grand Ouest est née en octobre 2015 à l’initiative de cinq OP : l’OP Rolland, l’OP Léon et Trégor (Groupe Sill), l’APBO (Bel), l’OPLGO (Lactalis) et l’OP CLEPS Ouest (Savencia).
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