«Si rien n’est fait, l’état d’esprit des Etats généraux de l’alimentation ne survivra pas au-delà du 1er mars 2018. Les enseignes de la grande distribution ne peuvent continuer à assumer seules contre tous un double discours».
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Lait de Normandie... et d'ailleurs
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Les Etats généraux de l'alimentation pourront-ils régler la question du prix entre producteurs, industriels et la grande distribution ? Et comment répondre aux attentes parfois contradictoires du consommateur ? Jean-Philippe Girard, le président de l’Association nationale des industries alimentaires (Ania), s'est confié à L’Usine Nouvelle. 
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À la veille des EGA, distributeurs et industriels se renvoient la responsabilité de la mauvaise répartition de la valeur dans la filière alimentaire.
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C’est par le biais de l’Association Nationale des Industries Alimentaires (ANIA) qui contribue au débat des Etats généraux de l’alimentation, que les IAA ont fait part de leurs propositions. « Parce que la guerre des prix détruit de la valeur dans les filières agricoles et agroalimentaires, un sursaut collectif est urgent » explique l’Ania. Ces propositions …
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agri71
Les industriels de l’agroalimentaire prendront part aux ateliers des États généraux de l’alimentation. L’Association nationale des industries agroalimentaires (Ania) et la Fédération des entreprises et entrepreneurs de France (Feef) ont déjà affiché leurs positions.
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