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La production de lait au Brésil est en pleine croissance. Mais la filière a du mal à se structurer, les fermes brésiliennes comptent en moyenne 23 vaches.… De la viande bovine au café ou au soja, en agriculture, le Brésil est numéro 1 de tout sauf du lait. Comble pour l’empire de l’agro-business, il doit acheter du lait dans les pays voisins, l’Argentine et l’Uruguay. Des importations favorisées dans le marché commun du Mercosur, mais qui concurrencent les éleveurs et toute une filière nationale, qui tarde à se mettre sur pied… Le potentiel est colossal. Le Brésil ne manque pas de place. Ni d’eau dans de nombreuses régions. Et dans le Minas Gerais, premier bassin laitier du pays, grand comme la France, le pâturage est de qualité premium. Les collines épargnent aussi les éleveurs laitiers des appétits de surface des gros producteurs de céréales… La marge de progression sans toucher aux tailles des cheptels est importante : une vache brésilienne produit 2 700 litres par an, une française 8 900. « Le Brésil n’est pas un pays pour débutant. » C’est vrai que le terrain de jeu est compliqué, avec autant de règles fiscales que d’États… Si on consomme, aujourd’hui, deux fois moins de produits laitiers au Brésil qu’en France, notamment en raison de leur coût élevé, le marché est promis à un bel avenir, porté par des produits à la mode partout dans le monde (protéinés, fromage tranché…) et des gammes nationales, parmi lesquelles le dulce de leche (confiture de lait) ou le requeijão (fromage fondu).
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Le transformateur laitier Emmi a pris le contrôle de la laiterie brésilienne Verde Campo afin de renforcer sa présence dans cet important marché sud-américain. Les détails financiers de cette transaction n'ont pas été dévoilés…
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Annoncé fin 2022, le rachat d’une filiale codétenue par Nestlé et un groupe coopératif néo-zélandais avait été retardé. L’Autorité de la concurrence au Brésil voulait freiner l’appétit de Lactalis, déjà numéro 1 du secteur laitier dans le pays. Un compromis a été accepté, Lactalis se renforce pour plus de 100 millions d’euros…
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L'antitrust brésilien recommande aux autorités de la concurrence de bloquer l'acquisition de DPA, un producteur majeur de yaourts du pays, par le géant Lactalis…
Le numéro un mondial des produits laitiers, avait annoncé mi-décembre la signature d'un accord avec Nestlé et le néo-zélandais Fonterra qui avaient créé cette co-entreprise de 1.300 salariés en 2003. DPA Brasil, propriétaire des marques Chambinho, Molico et Chandelle, se décrit comme le plus grand fabricant de yaourts, de desserts laitiers et de fromages à la crème du Brésil. Elle possède deux usines dans ce pays d'Amérique du Sud….
L'opération devait se faire pour 125 millions d'euros. Lactalis est déjà très présent au Brésil, devenu son cinquième marché. Le leader mondial serait passé à 10.000 salariés dans ce pays avec DPA. Le groupe français Lactalis, premier producteur mondial de produits laitiers, possède déjà 13 marques au Brésil, dont Parmalat, Batavo, Itambe et Pocos de Caldas…
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Soja : L'Europe spectatrice du match Brésil-Chine ?
La production brésilienne a été multipliée par 2 entre 2008 et 2018… Les importations chinoises ont été multipliées par 2 entre 2010 t 2020, multipliées par 10 entre 2000 et 2020…
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Les prix de l'essence ont chuté le mois dernier dans la capitale brésilienne alors que les prix du lait montaient en flèche. Cela signifie que le lait a coûté 14 % de plus que l'essence le mois dernier…
En moyenne, un litre de lait au supermarché de São Paulo, au Brésil, coûte 24,8 % de plus en juillet que le mois précédent. C'est ce qui ressort d'une enquête menée par une organisation de protection des consommateurs (Procon). La raison de l'augmentation significative des prix sont des raisons saisonnières et des prix élevés des aliments pour animaux. Au Brésil, le lait fait désormais partie des produits dont les stocks sont les plus faibles…
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L'agence antitrust brésilienne a approuvé lundi la vente de la société laitière Itambé Alimentos SA à la société française Groupe Lactalis SA, selon l'édition de mardi du journal officiel du gouvernement fédéral. La décision est susceptible d'appel pendant 15 jours.
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Le Groupe Lactalis va acquérir le producteur brésilien de produits laitiers Itambé Alimentos dans le courant du premier semestre 2018, a annoncé mardi la coopérative qui contrôle Itambé.
CCPR, coopérative de producteurs laitiers basée dans l'Etat brésilien de Minas Gerais, n'a pas précisé le montant de la transaction dans son communiqué.
Marcelo Candiotto, son directeur général, y indique que les producteurs s'attendent à signer des contrats de vente de long terme avec le géant français des produits laitiers.
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Lala a annoncé avoir finalisé l'acquisition de 99,9% des actions de la société laitière brésilienne Vigor Alimentos et 50% d'Itambé Alimentos. "Lala et Vigor sont une combinaison solide pour bâtir une entreprise leader au Brésil, car ils ont l'envergure, le portefeuille, l'innovation et le talent nécessaires".
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La société laitière française Lactalis a l'intention d'augmenter la productivité en lait au Brésil de 30% au cours de l'année prochaine.
La société compte actuellement 16 000 producteurs au Brésil. La moitié d'entre eux se trouvent à Rio Grande do Sul, et 2 000 font partie de Lactaleite - un programme de fidélisation d'entreprise créé en avril de cette année. Lactalis capte actuellement 1,6 milliard de litres de lait par an dans tout le pays, la productivité de ses fournisseurs varie de 200 à 600 litres par jour.
Afin d'augmenter le nombre de participants au programme Lactaleite, la société laitière a commencé à offrir une assistance technique, des intrants compétitifs et des conseils. Lactalis a également investi 2,66 millions d'euros…
La société opère au Brésil sous les marques Boa Nata, Poços de Caldas, Santa Rosa, Balkis, DoBon, Cotochés, Elegê et Batavo.
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Lala prendra une participation de 91,99% dans Vigor, et pourrait porter sa participation à 99,99% avec l'addition des 8% actuellement détenus par Arla Foods. L'opération comprend également une participation dans la société brésilienne laitière Itambé, que Vigor a acheté en 2013.
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La société américaine PepsiCo a fait une offre d’achat d'environ 1,9 milliard de dollars au propriétaire actuel, J & F Investimentos Ltda, qui n'aurait pas accepté mais demandé des offres concurrentes d'autres sociétés comme le groupe français Lactalis.
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Entre le géant français du lait et le Brésil, marché énorme et puissance agricole d'envergure mondiale, le rapprochement paraît logique. "On a encore un potentiel très important de développement."… Le rachat en 2019 de la coopérative locale d’Itambé (dans l’Etat du Minas Gerais qui domine la production laitière nationale) par sa filiale Lactalis do Brasil, a permis au groupe français de se hisser au premier rang du marché laitier dans le pays, avec un chiffre d'affaires de 2,5 milliards d'euros en 2023. Il y compte désormais 22 sites et 12.000 employés… Yaourts, petits suisses, briquettes de lait fermenté et "requeijao", fromage frais similaire à de la ricotta, dont les Brésiliens sont friands : ce sont 150 produits qui sortent désormais de l'usine, qui collecte 30 millions de litres de lait par mois… Implanté depuis 2013 au Brésil, Lactalis s'est aussi positionné dans la production de lait en poudre, de lait condensé et de confiture de lait, "des catégories où Itambé était forte mais où Lactalis était encore absent"… Les 100 millions d'euros injectés par le groupe pour élargir les capacités de production d'Itambé et développer de nouveaux produits, tels que des boissons protéinées et du fromage tranché sous vide, ont boosté le chiffre d'affaires de la marque brésilienne : celui-ci a doublé depuis l'acquisition, atteignant 900 millions d'euros en 2023… Cependant, du chemin reste à faire. Lactalis ne détient aujourd'hui que 13% de parts de marché au Brésil. "Notre objectif est d'atteindre les 20% d'ici à 2028 et d'améliorer notre rentabilité via le développement des produits à valeur ajoutée", encore très minoritaires dans le panier des clients… Le rachat signé en décembre dernier de Dairy Partners America Brasil (DPA), société du groupe alimentaire suisse Nestlé et de la coopérative néo-zélandaise Fonterra et producteur majeur de yaourts au Brésil, s'inscrit dans cette logique… Si le Brésil, avec ses quelque 200 millions d'habitants, représente un marché à fort potentiel pour Lactalis, le groupe français, qui a enregistré l'an dernier un chiffre d'affaires de 29,5 milliards d'euros au niveau mondial (+4,3 % par rapport à 2022), y fait face à de sérieux défis. Parmi eux, la fragmentation du secteur, le faible niveau technique des éleveurs, les coûts de production élevés et la qualité médiocre du lait, qui impactent le prix des produits laitiers… Quatrième producteur mondial de lait après avoir cédé il y a deux ans sa troisième place sur le podium occupé par les Etats-Unis, l'Inde et la Chine, le Brésil a d'ailleurs importé 9% du lait consommé sur son territoire l'an dernier, contre 3 à 5% en temps normal. Chez le voisin argentin, la productivité par ferme est de 3.000 litres de lait par jour, contre 100 litres au Brésil.
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Fabriqué à partir de lait de vache, il contient tous les nutriments essentiels présents dans le lait tels que les protéines, les vitamines et les minéraux. De plus, il contient des fibres prébiotiques, a une faible teneur en lactose et contient plus de 15 % de calories en moins…
Nestlé a utilisé une technologie exclusive pour réduire le lactose grâce à des enzymes spécialisées générant ainsi des fibres prébiotiques bénéfiques. Des études cliniques ont montré que ces fibres favorisent jusqu'à 3 fois la croissance de plusieurs types de bifidobactéries, offrant ainsi des bienfaits au microbiome intestinal chez les adultes en bonne santé…
Le lait a été introduit dans une nouvelle gamme de laits en poudre en Chine sous la marque N3. Cela comprend une crème entière et un produit laitier écrémé, tous deux riches en protéines pour soutenir une alimentation équilibrée pour toute la famille.
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Le gouvernement brésilien prévoit d'acheter du lait en poudre au prix de détail dans le but de soutenir les producteurs laitiers du pays contre les importations en provenance d'autres pays du Mercosur…
Le secteur laitier brésilien continue de faire face à des coûts de production élevés, ainsi qu'à des conditions météorologiques et économiques imprévisibles. Les importations ont augmenté de 31% en mars, la grande majorité provenant de l'Uruguay et de l'Argentine…
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L'Argentine est le 1er (56%) et l'Uruguay le 2ème (34%) fournisseurs de produits laitiers au Brésil. Au cours des premiers mois de 2023, le Brésil a importé 350,5 millions de dollars américains, soit une augmentation de 292,8% par rapport à la même période de l'année précédente…
Les producteurs brésiliens sont confrontés à un double défi : les effets climatiques et la pression des importations. Le gouvernement, en collaboration avec le secteur industriel laitier, envisage de restreindre les importations de produits laitiers, afin de protéger leur industrie nationale. Mais dans le contexte actuel, les mesures de protection semblent présenter des complications, puisque les prélèvements violent l'accord du Mercosur…
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Le géant alimentaire Nestlé et son partenaire néo-zélandais Fonterra vendent leurs parts dans la coentreprise brésilienne Dairy Partners Americas (DPA) au groupe français Lactalis…
Selon le communiqué, Lactalis paie cette acquisition 700 millions de réals, soit environ 125 millions de francs suisses. Sous réserve du feu vert des autorités concernées, la transaction sera finalisée mi-2023…
Nestlé et Fonterra étudiaient les "options stratégiques" pour la coentreprise depuis 2019. La vente a été retardée à cause de la pandémie. Fonterra détient 51% et Nestlé 49% de la coentreprise brésilienne…
Celle-ci exploite deux fabriques et emploie quelque 1300 collaborateurs. Elle a été fondée en 2003 avec pour objectif d'approvisionner l'ensemble de l'Amérique latine en produits laitiers. Depuis 2014, elle se concentre sur le Brésil et la commercialisation de produits laitiers réfrigérés…
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Quelles sont les ambitions du Brésil pour sa filière laitière ? « Nous devons continuer nos efforts et devenir le premier exportateur mondial de produits laitiers », voilà ce qu’a déclaré Marcos Montes, le ministre de l’agriculture du Brésil, au forum national des produits laitiers organisé dans le pays en juillet…
Le Brésil serait le troisième producteur mondial de lait, avec 35 milliards de litres par an, selon le Ministre, un chiffre qui augmente chaque année. Selon les données de l'USDA, le pays est sixième. Beaucoup de producteurs de lait brésiliens sont encore des petits producteurs : 93 % produisent moins de 200 litres de lait de vache par jour. Le Brésil a des fortes marges de développement de son secteur laitier, mais il semble que ce soit à condition de déforester toujours plus…
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Un tribunal brésilien a suspendu la vente du producteur brésilien de produits laitiers Itambé Alimentos au français Lactalis, apprend-on lundi de source ayant connaissance du dossier.
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Suite à un changement de propriétaire de la société laitière brésilienne Vigor S.A., Arla Foods a décidé de céder sa part de 8% dans la société avec effet immédiat. La première entreprise laitière du Brésil, Vigor S.A. («Vigor»), a été vendue par l’actionnaire majoritaire JBS S.A. (JBS) à la société laitière mexicaine Grupo Lala S.A.B. de C.V. (« Lala »). …
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En septembre 2016, le groupe mayennais Serap a acquis une usine au Brésil qui lui permet de renforcer sa présence en Amérique latine.
Le petit atelier de fabrication de tank à lait créé au début des années 60 a bien grandi. Aujourd'hui, la Société d'études et de réalisation agricoles (Serap) est présente sur tous les continents. Après avoir créé des filiales en Inde en 2009 et au Mexique en 2015, l'entreprise renforce sa présence en Amérique latine par l'acquisition de Plurinox, un constructeur de refroidisseurs de lait et de cuves de process industriels (crème glacé, comestique, sang…)
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Alors que plusieurs ONG publient en même temps des rapports sur les émissions de gaz à effet de serre et la déforestation, l’une des études cible plus particulièrement l’élevage bovin américain, brésilien et chinois.
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Bloqué côté Etats-Unis, le Mexique se retourne vers le Brésil. Les deux pays visent un accord commercial avant la fin de l'année.
Alors que les négociations en vue de renégocier l'Aléna, impliquant le Canada, les Etats-Unis et le Mexique, ont commencé, mercredi, à Washington, le Mexique, qui s'est longtemps cru ancré aux Etats-Unis (qui absorbent 80 % de ses exportations) tourne désormais de plus en plus son regard vers les pays du sud de l'Amérique latine. Cela passe en priorité par un rapprochement avec le Brésil, qui joue actuellement la carte de l'ouverture....
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Le fabricant de produits laitiers Emmi acquiert 40% des parts de l'entreprise brésilienne Laticínios Porto Alegre. Cette transaction permet à Emmi de renforcer sa présence au Brésil et de franchir une étape dans sa stratégie de développement à l'international. Laticínios Porto Alegre compte parmi les cinq plus grandes laiteries de l'Etat du Minas Gerais, son marché principal, et se place très bien dans la production de fromage, de fromage frais, de lait UHT, de beurre et dans la catégorie des produits à base de poudre de petit-lait, lit-on. En 2016, la société a réalisé un chiffre d'affaires d'environ 500 mio BRL (environ 150 mio CHF) et employait près de 1000 personnes.
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