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Cedric
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Depuis quelques mois, la demande pour les produits bio semble repartir à la hausse, à partir de données publiées récemment par Circana…
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Cedric
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Lait, œufs, biscuit, chocolat... Les pendants bio à l'alimentation conventionnelle ne séduisent plus. Alors que l'inflation touche douze millions de Français qui n'ont pas d'autre choix que de prêter attention à leurs dépenses, l'agriculture biologique ne peut plus justifier ses prix par une valeur ajoutée…
Le bio d'hier qui n'affichait qu'une dimension écologique doit désormais intégrer des valeurs sociale, nutritionnelle et de bien-être animal pour compter demain…
La transformation du bio est-elle déjà en marche ? En 2021, 7,1% des nouveautés de l'agroalimentaire promettait d'engager le consommateur dans une promesse de respect du producteur, du bien-être animal et/ou de la planète…
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Cedric
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On dit souvent qu'il y a une corrélation entre l'offre et les ventes. Et pour preuve: l'offre de produits bio en GMS a fortement augmenté pendant des années ainsi que...les ventes. Il semble que l'inverse soit également vrai puisque selon la dernière note d'Iri, l'assortiment en produits bio en GSA a chuté de 10% en juillet 2022 et le chiffre d'affaires à, quant à lui, régressé de 3,5%.
Nouvelle preuve que ces deux indicateurs sont intimement liés, forte réactivité des distributeurs qui ajustent l'offre en fonction de la demande ou simple hasard ?
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Cedric
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Après des années de croissance folle, le marché du bio français a subitement reculé en 2021. Personne ou presque n'a vu venir cette volte-face des consommateurs…
• "On est piégé, on ne s'en sort plus"... Le cri d'alarme des producteurs de lait bio • Crise alimentaire : le bio, une cible facile
• Nutrition : consommer bio est-il (vraiment) un gage de bonne santé ?
• Prix, labels, croissance... La grande désillusion du "bio"
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Cedric
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En parallèle, les ventes en grandes surfaces continuent leur recul au profit des marchés et des artisans.
D’après l’étude de CSA sur 2100 Français, la filière continue de recruter de nouveaux consommateurs, bien que la dynamique ralentisse. Elle était de +11 % en 2021, contre +15 % en 2020. Globalement, ces nouveaux venus sont jeunes (19 % de 18-24 ans et 18 % de 25-34 ans) et issus de CSP -. Sur ces profils, le frein du prix recule. En moyenne, il est une contrainte pour 70 % des acheteurs de bio (73 % en 2020), mais seulement pour 60 % des 18-24 ans (83% en 2020) et 64 % des 25-34 ans (75% en 2020)…
Autre constat de l’étude, 59 % des adeptes de bio disent avoir modifié leurs habitudes d’achat depuis trois ans, notamment en privilégiant les produits locaux et les circuits courts. Ainsi, pour la deuxième année consécutive, le panéliste enregistre une baisse d’achat de produits bio en grandes surfaces (69 % de foyers acheteurs en 2021 contre 74 % en 2020 et 77 % en 2019)…
En revanche, la dynamique profite aux marchés locaux (35 % des consommateurs bio y font leurs courses, + 11 pts vs 2020) et aux artisans (31 %; + 6 pts)…
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Dans le secteur du bio, les voyants sont au vert ! Les français sont de plus en plus attentifs à leur alimentation et friands des produits bio ! Le premier semestre 2017 vient conforter une tendance à la hausse depuis plusieurs années.
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Cedric
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Le bio ne va pas bien, loin de là, mais peut-être va-t-il un peu moins mal. C’est en tout cas l’impression que donnent les chiffres d’Iri pour septembre…
A part celle de l’offre, les courbes cessent de piquer du nez, et les comparatifs avec 2021 sont bien meilleurs pour ce seul mois que pour le cumul depuis le début de l’année…
Un début de retournement de tendance dont il faudra voir s’il se confirme en octobre...
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Pendant des années, le bio a eu la cote en France. Désormais, il est délaissé pour les circuits courts.
Une tendance se confirme dans les supermarchés, celle de l'effondrement des ventes de produits bio. Mais d’autres produits ont la cote : ceux venant de circuits courts. Que ce soient les fruits et légumes, la viande ou le lait, c'est plutôt l'origine des aliments qui fait désormais la différence pour les consommateurs…
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Cedric
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Pour les industriels, ces allégations sont facteurs de croissance et de valorisation des produits...
«Végétal», «écolo», «local», «bio », «sans sucres (ou sans sels) ajoutés», «HVE», «naturel», «sans gluten», «équitable», «respectueux du bien-être animal»… Depuis quinze ans, ces messages ont essaimé sur les emballages. Ces produits labellisés ou affichant des promesses environnementales, sociétales et nutritionnelles se sont fait une place de choix dans les rayons des grandes surfaces.
Selon le panéliste Kantar WorldPanel, qui regroupe ces produits sous la catégorie «transition alimentaire», leur chiffre d’affaires a atteint, au premier trimestre 2022, 22,8 % du total des produits de grande consommation (20,6 % en 2019). Cela représente une croissance de 14 % du chiffre d’affaires en deux ans, sur un marché de la grande consommation qui progressait en moyenne, avant la pandémie de Covid-19, de 1 % à 2 %…
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Cedric
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Les ventes de produits biologiques en grande distribution reculent même plus rapidement que celles des produits de grande consommation et frais libre-service conventionnel…
Celles en magasins spécialisés bio restent aussi mal orientées, alors que les commerces traditionnels alimentaires et les supermarchés frais sont toujours dynamiques en ce début d'année 2022, même si les ventes tendent à se tasser…
Les Français commencent à réaliser des arbitrages dans leurs achats face à l'inflation des produits, et cet arbitrage n'est pas favorable aux produits biologiques. La descente en gamme commence à se faire sentir.
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Cedric
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Le bio a le vent en poupe dans la grande distribution. Auchan lance à son tour des magasins dédiés. Il faut dire que ce sont les rayons qui fonctionnent le mieux en ce moment dans les hyper.
Imaginez le marché du bio a progressé de 50% en seulement 3 ans. En tout cas, c'est très intéressant pour la grande distribution. Le bio qui est plus cher à la vente fait augmenter le panier moyen de 30 à 40%.
Ça fait aussi venir dans les grandes surfaces des publics plus aisés, ce qui est très utile à un moment où les hypermarchés sont un peu délaissés.
Si on veut vraiment que ça devienne une cause nationale, il faut un plan plus clair. Pour arriver à 10% de bio en Suède, c'est un projet de société …
Et aussi Bio : dans le monde et en France, un succès qui ne se dément pas
sur http://www.ecoco2.com/blog/15505-bio-dans-le-monde-et-en-france-un-succes-qui-ne-se-dement-pas
En quoi manger bio est-il différent de ne pas manger bio ? Les consommateurs sont-ils plus ou moins riches, plus ou moins urbains ou plus cools que les autres ? La web-BD de Bio Consom'acteurs issue de l'étude Bionutrinet montre que la réalité est bien plus complexe, qu'il n'existe pas une mais de nombreuses façons de consommer bio...
Via AgroParisTech DOC IST
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