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« Le premier semestre 2023 se caractérise par la poursuite du dynamisme dans les réalisations de prêts avec 4,5 Md€, soit une augmentation de 12,8% par rapport à 2022 », note le Crédit Agricole. « Cette hausse est principalement portée par les filières bovines (lait et viande), mixtes et viticultures. Les encours de crédits augmentent, eux, de 3,5% (54,5 Md€). »… « Le premier semestre poursuit la tendance observée en 2022 pour les Caisses bretonnes qui enregistrent une augmentation de 12,8% des crédits accordés, portée par les filières lait et mixtes. Malgré une augmentation des prix dans les aliments pour animaux et l’énergie, les tarifs élevés dans la filière lait permettent aux exploitants agricoles de continuer à investir dans la modernisation de leurs outils. Aussi, les investissements sont stables avec 473 M€ de prêts accordés. L’encours de prêt suit avec une progression de + 2,5 % (4,9 Md€). »…
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Placer ses économies dans un troupeau de vaches plutôt qu’en bourse ou dans l’immobilier est une pratique encore relativement peu connue. Le principe est simple : on achète des vaches qu’on confie à un agriculteur qui les élève et qui paye un loyer...
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Victorien Postel, jeune agriculteur récemment installé sur l’exploitation de ses parents à Songeons dans l’Oise (60), vient de doubler sa référence laitière. Mais passer de 500 000 à 1 000 000 de litres de lait ne se fait pas sans rien.
Et comment limiter les investissements dans une filière qui avance au ralenti ? En ne se basant que sur le court terme, d’après l’éleveur...
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Se développer. Agrandir le troupeau se traduit par une économie en main-d’œuvre, pas en investissements.
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Selon Karim Ganai, responsable du marché de l’agriculture au Crédit mutuel de Bretagne, la situation économique très fragile des exploitations laitières doit amener les éleveurs à définir le plus clairement possible leur « stratégie d’exploitation », pour mieux défendre des projets d’investissement auprès de leur banque.
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Après avoir fortement augmenté en 2014 et 2015, les investissements de la filière lait diminuent depuis mi 2016, selon le Crédit Agricole.
En 2015, la hausse des investissements des filières d'élevage est notable notamment sur les prêts « Agilor » pour le financement du machinisme agricole. Ceux-ci progressent de 9,5 %, en partie grâce au dispositif fiscal (loi Macron) permettant de sur-amortir 140 % de la valeur du matériel acheté.
La progression la plus forte a eu lieu en lait. Les investissements financés par la banque ont augmenté de 13 % après une hausse de 25 % en 2014. « La fin des quotas a motivé de nombreux éleveurs à augmenter leur volume de production et à moderniser et agrandir leur élevage, a souligné Jean-Christophe Roubin, nouveau directeur du marché de l'agriculture à Crédit Agricole SA, lors d'une conférence au Space. Le développement des robots de traite et d'alimentation contribue fortement à la progression des investissements. » En Bretagne, la hausse a même atteint 21 %.
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Les retours d’expérience montrent des rentabilités variables et souvent inférieures au prévisionnel. L’injection semble plus prometteuse que la cogénération. L’intérêt de la méthanisation à la ferme n’est plus à démontrer, Les ministères avaient affiché un objectif ambitieux de 1 000 méthaniseurs à horizon 2020. Mais l’arrêté sur le tarif de l’électricité concernant les nouvelles unités de méthanisation n’est toujours pas paru à ce jour...
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Fortement touchés par la crise, les éleveurs ont été 10 000 à demander une aide à l'investissement auprès du gouvernement, dans le cadre du plan de soutien...
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L'Enquête nationale de Teagasc montre qu'en 2015 les investissements dans les exploitations agricoles à travers l'Irlande ont augmenté de 12% par rapport à 2014, avec un investissement plus élevé dans les fermes laitières, à une moyenne de € 20.082 par ferme. Les producteurs laitiers investissent plus de 20.000 €, mais il est intéressant de noter que seulement la moitié ont des dettes liées à l'agriculture. La moyenne des emprunts par exploitation en 2015 a baissé de 6%, à € 20.529 (de nombreuses fermes ont choisi de financer de nouveaux investissements de fonds de roulement en 2015 plutôt que d'augmenter les emprunts). , les auteurs de l'étude notent. L'enquête note que le revenu agricole continue d'être "fortement tributaire" des paiements directs. En 2015, le paiement direct total moyen était de € 17.000, contre € 18.859 en 2014, ce qui représentait 64% du revenu en moyenne.
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Le Ministre de l'Agriculture, Simon Coveney, a annoncé de nouvelles mesures TAMS pour 395M € aux agriculteurs irlandais pour investir dans l'infrastructure à la ferme, les installations et équipements. Sous le régime Jeune Agriculteur Capital Investissement, un total de 520 demandes ont été reçues dontplus de 200 pour des investissements laitiers, alors que plus de 1 000 demandes ont été présentées pour le régime des équipements laitiers.
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D'après un sondage réalisé sur Web-agri, 60 % des éleveurs ne remplaceraient pas leur salle de traite par un robot, même s'ils le pouvaient. Chacun a ses convictions : certains approuvent littéralement le robot pour la suppression de la contrainte traite ou pour le gain de production qu'il engendre et d'autres sont plutôt mitigés et préfèrent conserver un système plus calé avec des horaires de traite bien définis et une relation plus proche avec leurs animaux.
Deux exemples de témoignages opposés : - Guillaume Morel (50) a fait le choix du robot pour avoir plus de souplesse dans son travail .
- À l'inverse, Denis Mousset (61) a préféré moderniser son système de traite et conserver un horaire de travail fixe.
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Une analyse de la situation économique et financière des exploitations laitières françaises présentes dans le RICA a été conduite sur la période 2008-2015. Elle met en évidence une augmentation de la productivité physique des élevages, de l’ordre de 30 000 à 70 000 litres de lait par UMO. En revanche, pour une part importante des exploitations les revenus plafonnent. En cause, une baisse de l’efficience et l’augmentation des investissements.
A retrouver sur http://idele.fr/?eID=cmis_download&oID=workspace://SpacesStore/17523f3a-f4bb-4789-a93a-45b8a6836310
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Suite à une convention signée entre Sogal-Socamuel et la Siagi, les producteurs ont directement accès à la garantie bancaire. Une mesure pour faciliter l’obtention des prêts. Pour faciliter le financement des besoins de trésorerie des exploitations laitières, en réponse aux demandes du Pacte laitier de la FNPL, Sogal-Socamuel a signé une convention de partenariat avec la Siagi. Celle-ci donne aux producteurs un accès direct à la garantie bancaire. Sogal-Socamuel contre-garantit à hauteur de 50 % la Siagi, interlocuteur unique des banques.
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Selon une récente étude, l’investissement économique dans un détecteur automatique de chaleurs (DAC) n’est pertinent que pour les grands troupeaux avec une proportion de détection des chaleurs de moins de 50%.
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Un peu plus d’un dixième des exploitations laitières se dit intéressé par un robot d’alimentation. C’est dans le Nord-Est que les éleveurs sont les plus nombreux à vouloir s’équiper.
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La faiblesse des prix des produits laitiers a globalement une incidence négative sur la capacité des producteurs laitiers à investir dans de nouveaux équipements pour les prairies. Le CEMA rapporte que les ventes européennes sont en baisse de 14% sur la saison 2015-16. Les ventes en Europe de faucheuses à tambours, faucheuses à disques, râteaux et faneuses ont chuté de 14% au cours de la saison 2015-16, et une nouvelle baisse d'environ 4% est attendue pour la saison 2016-17. Plus tôt cette année, il a été annoncé que les ventes de machines agricoles globales ont diminué au premier semestre 2016 dans presque tous les marchés du réseau CEMA (Belgique, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Espagne, Royaume-Uni). La tendance à la baisse peut être observée pour tous les types de machines à l'exception des pulvérisateurs. Les ventes de tracteurs dans tous les pays européens ont été de 5,5% inférieur au premier semestre 2016 par rapport à la première moitié de 2015, selon CEMA.
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Les producteurs laitiers ont besoin de renforcer leurs structures commerciales, de développer des systèmes de production flexibles qui peuvent facilement réduire les coûts lorsque les prix baissent, selon un nouveau rapport de Rabobank.
Les agriculteurs devront prendre des décisions difficiles, prudentes et réfléchies dans le prochain cycle à la hausse, plutôt que d'augmenter les investissements et les dépenses. Le secteur laitier doit prévoir la volatilité future inévitable.
« Les producteurs laitiers néo-zélandais doivent avoir le meilleur coût parmi leurs pairs mondiaux afin d'être en avance sur la courbe des prix dans les bons et les mauvais moments ».
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Trois études :
- La transformation laitière et ses évolutions depuis 2008 (FranceAgriMer)
- Investissement et productivité du travail en élevage laitier (Idele)
- La dynamique des AOP laitières
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Le sujet de l'endettement est au cœur de plusieurs débats qui agitent le monde agricole et la sphère médiatique
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Comment les gouvernements européens interviennent-ils pour soutenir leurs éleveurs laitiers ? Comparaison entre les principaux pays.
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