Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
Cedric
|
Pour choisir entre un projet de vente totale de son électricité photovoltaïque, ou un projet d’autoconsommation, « il faut établir, en premier lieu, un profil de consommation horaire. Celui-ci se calcule à partir du relevé de compteur électrique ». Les quatre questions à se poser avant de se lancer :
1 - Quel est mon profil de consommation horaire d’électricité ?
2 - Ai-je envie de modifier mon profil pour viser l’autoconsommation ?
3 - Quel est le tarif d’achat de l’électricité ?
4 - Est-il possible de réaliser un gain économique potentiel dès les premières années ?
|
Scooped by
Cedric
|
1. Nettoyer régulièrement le condenseur du tank
2. Ventiler le plus possible le condenseur
3. Bien isoler le chauffe-eau
4. Protéger le chauffe-eau du calcaire
5. Traquer les fuites
|
Scooped by
Cedric
|
L’amplification de la crise énergétique et du changement climatique démontre l’urgence à produire plus d’énergies renouvelables. Mais comment accélérer sur cette voie ?
Comment réduire une facture énergétique passée de 2,1 % du chiffre d’affaires en 2021 à 5,14 % dans 200 entreprises agroalimentaires adhérentes de l’Association bretonne des entreprises alimentaires. Il convient d’abord de maîtriser sa facture par « des actions à court, moyen et long terme. Ce ne sont pas des choses forcément rapides. Mais elles peuvent permettre au bout du compte de réduire sa facture de 20 à 40 %.»…
La stratégie française pour l’énergie et le climat (SFEC), feuille de route du gouvernement pour viser la neutralité carbone d’ici à 2050, table sur la multiplication par 30 de la production de biogaz issu de la méthanisation, par 7 de la production électrique en solaire et par 2,5 à 4 de l’éolien terrestre. Sans conteste les industries agroalimentaires se penchent sur la production d’électricité. Certaines d’entre elles choisissent la méthanisation, mais c’est un métier spécifique. D’autres, la production d’énergie photovoltaïque…
|
Scooped by
Cedric
|
Le poste électricité pourrait passer de 10 à 25 % du total des charges des méthaniseurs. L’adaptation des pratiques mais aussi des évolutions réglementaires s’imposent pour préserver la rentabilité…
Les producteurs de biogaz sont aussi de gros consommateurs d’énergie. « En moyenne, pour dix unités produites, une est consommée ». Le mélange doit être brassé dans la cuve pour l’homogénéiser, favoriser le contact entre les micro-organismes et la matière organique et éviter la formation d’une croûte. Les pratiques diffèrent mais dans tous les cas, un brassage régulier est nécessaire et il est énergivore…
|
Scooped by
Cedric
|
Trois réponses sont envisageables pour s’adapter à la nouvelle donne énergétique. La première concerne l’urgence ou non de la renégociation du contrat de fourniture d’électricité. La deuxième est d’économiser sur ses consommations, en adoptant des bons gestes mais surtout en modifiant son matériel. Enfin, à long terme, investir pour produire de l’électricité devient presque obligatoire pour réduire sa facture globale, tout en devenant plus résilient…
|
Scooped by
Cedric
|
Après l'installation en 2011 d'une ligne souterraine de 20 000 volts et d'un transformateur à 20 m de ses vaches, l'agriculteur avait remarqué des comportements anormaux dans son cheptel…
L'agriculteur affirme que la production de lait de ses vaches a drastiquement baissé. "Je perdais 50 000 euros à l'année". Ses problèmes se sont arrêtés en 2019, quand la ligne et le transformateur ont été déplacés.
"C'est une reconnaissance pour moi, mais aussi pour tous les autres éleveurs victimes"…
|
Scooped by
Cedric
|
Ils ne sont pas les plus gros consommateurs d'électricité, mais la facture pèse lourd dans leurs comptes. Les grandes surfaces s'inquiètent aussi de l'explosion à venir de leurs coûts énergétiques, qui pourraient atteindre 1,5 milliard d'euros...
Les supermarchés ne sont pas des hauts fourneaux. Le commerce alimentaire n'est pas une activité très énergivore. Mais le secteur qui dégage de faibles marges (2 % des ventes en moyenne pour le résultat net) sur de gros chiffres d'affaires est parmi ceux qui seront le plus touchés par la forte hausse du prix de l'énergie qui est en cours…
|
Scooped by
Cedric
|
Devant l’explosion de cas de mammites dans son cheptel, un agriculteur avait soupçonné des interactions électriques en raison de la proximité d’une ligne à très haute tension…
La société RTE, filiale d'EDF, a été condamnée par le tribunal de Coutances (Manche) à verser plus de 450 000 euros à des éleveurs laitiers pour un préjudice concernant leur production, attribué à une ligne à très haute tension…
En revanche, ils ont été déboutés de leurs demandes au titre des pertes économiques dues aux mammites subies par les bêtes, de même qu’au titre du travail supplémentaire et du préjudice moral subi…
Pour évaluer les éventuels effets, un arrêt de la ligne est effectué entre le 2 et le 29 août 2012. « La visite de contrôle effectuée dans le cadre du suivi conclut à «un changement complet de comportement des animaux depuis l’arrêt de la ligne : plus calme, travail grandement facilité lors de la traite pour les éleveurs»…
Finalement, l’élevage a été déplacé en avril 2014. Les éleveurs ont constaté alors «une amélioration dès octobre 2015 qui s’est confirmée dans les années suivantes»…
|
Scooped by
Cedric
|
En photovoltaïque, l’évolution des prix rend intéressant l’autoconsommation. Il existe des astuces pour la faciliter en élevage laitier.
La hausse du prix de l’électricité se poursuivra à l’avenir. Parallèlement, le prix de vente de l’électricité d’origine renouvelable à EDF (tarif réglementé) baisse. En outre, en photovoltaïque, une prime à l’investissement pour les projets en autoconsommation a été instaurée pour encourager cette pratique.
Plus on autoconsomme sa production électrique, plus l’intérêt économique augmente.
|
Scooped by
Cedric
|
16 % des prises de terre ne sont pas bonnes en termes de conception. De même pour la valeur de la terre, nous recommandons maximum 18 ohms pour éviter tout désagrément chez les animaux : nos contrôles montrent que 27 % des installations sont hors cadre. Certaines génèrent un inconfort pour le bovin, d’autres posent même question en matière de sécurité pour les personnes. »
La durée des contrats d'achat d'électricité produite via la méthanisation, dont bénéficient les professionnels de la filière biogaz, est étendue de 15 ans à 20 ans, s'alignant ainsi sur celle des nouvelles installations, aux termes d'un arrêté du 24 février paru dimanche au Journal officiel...
Via les documentalistes des Chambres d'agriculture
|
Scooped by
Cedric
|
Avec 35 à 45 % de la consommation totale de l'électricité des exploitations laitières, le refroidissement du lait par le tank est le premier poste de consommation d'électricité.
La production d'eau chaude pour le nettoyage de ce même tank et de la machine à traire constitue le second poste, avec 25 à 40 % de la consommation totale.
|
|
Scooped by
Cedric
|
Prospérité Fermière Ingredia poursuit son engagement de décarbonation en devenant le premier industriel agroalimentaire laitier à effectuer ses livraisons clients en camions électriques…
Coté amont de la chaîne de production, plus de la moitié de flotte de collecte de lait roulent déjà au biocarburant B100. Après les trajets amont de la ferme à l’usine, le groupe s’attelle à décarboner les trajets aval, de l’usine vers ses clients. L’objectif pour 2030 : une collecte et des livraisons par transport routier 100% décarbonés sur le territoire…
|
Scooped by
Cedric
|
Afin de mieux objectiver l’influence des courants parasites dans les élevages bovins, un programme d’étude financé par le CNE et le Cniel est en courant. Le programme de recherche lancé en mai 2022 doit se terminer en 2025… L’Université de Limoges fait également partie du projet, avec pour mission d’élaborer un équipement ayant la particularité d’être embarqué sur l’animal, afin de mesurer en temps réel l’intensité du courant ressentie par la vache au sein de son environnement quotidien… « Afin de recueillir un maximum d’informations, les conditions d’ambiance et en particulier l’humidité seront évaluées en complément dans le bâtiment. Les mesures des courants électriques comme la tension continue ou alternative, le bruit de fond électrique et électromagnétique seront aussi analysées »…
|
Scooped by
Cedric
|
L’éditeur sarthois, Comedpro, vient de sortir un numéro spécial sur « le danger des pollutions électromagnétiques en élevage »… « Une guerre silencieuse, on ferme les yeux sur nous… » résument ces éleveurs laitiers, installés près du parc éolien des Quatre-Seigneurs à Nozay (Loire-Atlantique). Ils ont dû arrêter leur activité à cause de « courants parasites » qui rendaient leurs vaches malades. Comme d’autres agriculteurs victimes de pollutions électromagnétiques (lignes à haute tension, antennes-relais, transformateurs, panneaux solaires, etc.), ils témoignent dans le numéro spécial que Comedpro, l’éditeur sarthois de Grands troupeaux et Élevages caprins, consacre à ce douloureux problème. « Plus qu’un état des lieux, il s’agit de donner des outils aux éleveurs...
|
Scooped by
Cedric
|
Le bloc traite est le premier poste de consommation électrique. Il représente en moyenne 85 % de la consommation totale des élevages laitiers, selon le GIE Élevage de Bretagne. Le tank à lait consomme plus d'un tiers de l’électricité du bloc traite, suivi par le chauffe-eau, puis la pompe à vide. Pour faire face à la hausse des tarifs, quelles sont les solutions pour réaliser des économies sur sa facture d’énergie ?
|
Scooped by
Cedric
|
[Dossier] Electricité : coût, contrat, coupures…
• Comment choisir son fournisseur d’électricité pour son exploitation agricole • Contrat d'électricité pour votre élevage : « N’attendez surtout pas le dernier moment » • Risques de coupures d’électricité : comment les agriculteurs doivent s’y préparer
|
Scooped by
Cedric
|
[Vidéo] Derval : Economie d'énergie en production laitière
Conseils sur les bonnes pratiques et les équipements pour réduire la consommation et donc les factures d'électricité sur le bloc traite…
|
Scooped by
Cedric
|
La filière du lait demande au Conseil fédéral à ne pas être touchée par les mesures les plus sévères d’économie d’énergie, en cas de pénurie. Elle veut ainsi éviter toute coupure de la production…
Les producteurs et transformateurs de lait veulent être exemptés d’un contingentement d’électricité et de gaz ou d’une coupure de courant, en cas de pénurie l’hiver prochain…
|
Scooped by
Cedric
|
Il est établi que les courants électriques parasites perturbent le comportement des vaches. Ils peuvent être source d'inconfort et même de stress.
|
Scooped by
Cedric
|
Patrick Broc enregistrait depuis quelques années des taux de cellules élevés. L’éleveur suppose que des courants vagabonds parasitent sa salle de traite en décembre 2016. Patrick Broc appelle alors le technicien spécialisé du Groupement de défense sanitaire (GDS) de l’Orne.
|
Scooped by
Cedric
|
Au début de mars, la Cour de cassation n’a pas accordé à Thierry Charuel, éleveur normand partiellement indemnisé en appel, la possibilité de faire rejuger son affaire. Mais pour l’avocat du plaignant, RTE est toujours reconnu responsable des dommages.
|
Scooped by
Cedric
|
Un projet collaboratif Tank 2020 s'est monté dans le grand Ouest. Il vise une réduction de 80% de la consommation d'électricité du réseau. Le savez-vous ? Le tank à lait représente à lui seul 35 à 45% de la consommation totale d'électricité d'un élevage laitier. C'est le premier poste devant la production d'eau chaude pour le nettoyage de la machine à traire et du tank qui en consomme 25 à 40 %.
|
Scooped by
Cedric
|
Un courant électrique parasite (ou vagabond) est un courant électrique dont la circulation n’est ni souhaitée ni maitrisée.
Son effet se traduit essentiellement en élevage par le passage accidentel de ce courant dans le corps des animaux. Les animaux plus sensibles que les hommes La résistance électrique du corps d’un animal est bien inférieure à celle d’un homme. Selon les situations, la résistance du corps humain varie entre 1 000 et 5 000 ohms. Celle d’un bovin adulte est le plus souvent comprise entre 500 à 1000 ohms.
De fait, des courants provoqués par des niveaux de tension imperceptibles par l’homme peuvent être ressentis par les bovins. Et d’autant plus que leur museau est sans cesse humide donc très conducteur et leurs quatre pattes au contact de surfaces souvent humides.
|