Grippe aviaire

Scientists have found several strains of highly pathogenic avian influenza in a small number of NYC’s wild birds.

Le premier cas de transmission du virus H5N1 d’un bovin à l’Homme a été détecté le 2 avril (2024). Ce virus de la grippe aviaire n’affecte habituellement pas les bovins. Alors comment cette zoonose a-t-elle pu émerger et quel danger représente-t-elle pour l’Homme ?

De nombreux élevages de bovins sont touchés par la grippe aviaire aux États-Unis. Début avril, un employé de ferme a été testé positif.

Une version humanisée de l’influenza aviaire H5N1 reste la principale menace pandémique. Mais le Covid-19 a montré qu’une maladie inconnue peut nous prendre par surprise.

La pasteurisation tue le virus, évitant qu’il se retrouve dans les produits laitiers.

PUBLICATION - Enquête pathologique sur la grippe aviaire hautement pathogène H5N8 chez les outardes houbara captives (Chlamydotis undulata), aux Émirats arabes unis en 2020.Une récente publication dans Scientist Report de chercheurs de l'École Nationale Vétérinaire de Toulouse, impliquant plusieurs chercheurs du projet Reneco, a dévoilé de nouvelles données sur la physiopathologie de la grippe aviaire hautement pathogène chez les outardes houbara africaines, une espèce en danger. 

Un chercheur norvégien a affirmé, lundi 29 avril, qu’un morse retrouvé mort l’été dernier avait été contaminé par le virus de la grippe aviaire, sans préciser la souche.

Le directeur scientifique de l’Organisation mondiale de la santé a fait part de son « énorme inquiétude », alors que le nombre d’espèces touchées par le H5N1 ne cesse de s’étendre, notamment chez les vaches laitières, aux Etats-Unis.

Five livestock experts who study infectious diseases in the dairy industry explain the risks.

Highly pathogenic H5N1 avian influenza was detected in dairy cattle for the first time in the United States in March, with nine states reporting outbreaks by May. While the method of transmission among cattle is currently unknown, new research demonstrates that a related strain of H5N1, subtype clade 2.3.4.4b, which caused an outbreak in farmed mink in 2022, transmitted through the air to a limited number of ferrets. This is the first time that a member of the group of H5N1 clade 2.3.4.4b viruses has been shown to exhibit this ability. According to the researchers, the findings suggest these viruses are evolving to infect mammals and with potentially increased risk to humans.

L'Organisation mondiale de la santé a fait part de son inquiétude sur l'expansion de la grippe aviaire dans le monde. Le virus s'est multiplié au sein de plusieurs espèces animales, mais pas au cochon, ce qui est rassurant souligne Brigitte Autran, présidente du Covars, au micro d'Europe 1.

La présidente du Covars Brigitte Autran s’est toutefois montrée rassurante quant à la possibilité de l’épidémie de grippe aviaire à se propager à l’Homme.

Alors que le type H5N1 de la grippe aviaire suscite des craintes d’une pandémie susceptible de toucher les humains, une étude sur le type H9N2 établit que sa vitesse de transmission entre poulets peut être inférieure à un jour.

Mammal-to-mammal transmission raises new concerns about the virus's ability to spread.

Loin d'être une maladie ne touchant que la volaille, la grippe aviaire affecte désormais un grand nombre d'espèces de mammifères.

Since late 2021, highly pathogenic avian influenza (HPAI) viruses of A/goose/Guangdong/1/1996 (H5N1) lineage have caused widespread mortality in wild birds and poultry in the United States. Concomitant with the spread of HPAI viruses in birds are increasing numbers of mammalian infections, including wild and captive mesocarnivores and carnivores with central nervous system involvement. Here we report HPAI, A(H5N1) of clade 2.3.4.4b, in a common bottlenose dolphin (Tursiops truncatus) from Florida, United States. Pathological findings include neuronal necrosis and inflammation of the brain and meninges, and quantitative real time RT-PCR reveal the brain carried the highest viral load. Virus isolated from the brain contains a S246N neuraminidase substitution which leads to reduced inhibition by neuraminidase inhibitor oseltamivir. The increased prevalence of A(H5N1) viruses in atypical avian hosts and its cross-species transmission into mammalian species highlights the public health importance of continued disease surveillance and biosecurity protocols. A case report of highly pathogenic avian influenza A H5N1 of clade 2.3.4.4b in the brain of a common bottlenose dolphin (Tursiops truncatus) from Florida, United States.

Humains infectés par des vaches, de nouvelles espèces animales touchées par la grippe aviaire H5N1… l’Organisation mondiale de la santé a fait part de son "énorme inquiète" face à la propagation du virus

Selon l'éleveuse de volailles, la campagne de vaccination des canards de l'automne dernier a fait ses preuves.

So far, culling infected flocks hasn't been enough to curtail the virus, identified Wednesday in another Michigan commercial poultry facility.