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Bien qu'il y ait eu une augmentation du nombre de vaches laitières au cours des dernières années, la grande majorité des troupeaux laitiers comptent encore 100 vaches ou moins…
La majorité des fermes laitières irlandaises, 68,98 %, ont 100 vaches ou moins, et seulement 3,66 % ont plus de 251 vaches…
Via Cedric
Les estimations préliminaires des prix des intrants agricoles pour 2022 indiquent une augmentation de 34,7% par rapport à 2021, selon le Bureau central des statistiques (CSO). Elle est principalement due à la hausse des prix des engrais de 121, %, et de l'énergie de 42,9%, en glissement annuel. Les aliments pour animaux devraient connaître une augmentation de 28,8%, les phytos de 20,1% et les semences de 11,8%.
Les prix à la production devraient également connaître une augmentation globale d'environ 26,4% par rapport à 2021. Cette augmentation sera tirée par la hausse des prix du lait de 43,3% et des céréales de 40,7%.
Via Cedric
Selon la Commission européenne, en septembre le prix du lait dépasse désormais 600 €/t dans trois Etats membres de l’UE importants producteurs de lait : la Belgique (629,9 €/t), les Pays-Bas (612,50 €/t) et l’Irlande (605 €/t)…
Il s’inscrit entre 500 et 600 €/t au Danemark (589 €/t), en Allemagne (561,9 €/t), en Italie (509,8 €/t), en Autriche (544 €/t), en Pologne (511,3 €/t), en Finlande (505 €/t) ou en Suède (533,7 €/t)…
L’Espagne fait jeu égal avec la France (462,1 €/t) tandis que le Portugal (404,9 €/t) ferme la marche…
Via Cedric
Dopé par le niveau des prix, le cheptel ovin irlandais a progressé de 5 % entre décembre 2019 et décembre 2021.
Les Plans Stratégiques Nationaux (PSN) seront au cœur des modalités d’application de la future PAC 2023-2027 dans chaque Etat membre. Le cadrage communautaire des PSN a été adopté après l’accord budgétaire de mai 2020 octroyant un budget de 386 Mds€ sur 7 ans à la PAC dont 62 Mds€ pour la France (équivalent à la période antérieure en euros courants). Chaque Etat membre a réalisé en 2020 un diagnostic de la situation économique, sociale et environnementale de son agriculture et du rôle de la PAC dans ces évolutions afin de débattre des stratégies d’intervention dans le nouveau cadre communautaire. Les PSN doivent être communiqués à la Commission fin 2021 pour discussion des objectifs et des moyens pour une mise en œuvre au 1er janvier 2023. Les PSN regroupent l’ensemble des interventions du 1er et du 2eme pilier : paiement de base découplé, aides couplées, aide redistributive, aide aux petits agriculteurs, soutiens aux jeunes agriculteurs, MAEC, zones défavorisées, conversion AB….. Un nouvel instrument, l’écoscheme ou éco-dispositif, représentant 25% du budget des paiements directs, financera des pratiques bénéfiques pour l’environnement et le climat, par un paiement par hectare fonction des pratiques jugées bénéfiques. Ces orientations laissent une grande marge de manœuvre à chaque Etat. D’où l’intérêt de comparer les priorités, les budgets prévus et les modalités d’intervention dans différents Etats membres. Cette séance propose de présenter les PSN de trois Etats membres dont les situations structurelles et productives agricoles sont très différentes ainsi que les modes de gouvernance nationales et régionales : l’Allemagne, l’Espagne et l'Irlande. Les intervenants sont tous membres associés de l’Académie d’Agriculture.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : entre 2005 et 2013, le nombre de chefs d'exploitations d'élevage de moins de 35 ans a diminué de 35 % en moyenne sur plusieurs pays européens quand celui des plus de 65 ans a augmenté de 14 %. Ainsi, le renouvellement des générations d'agriculteurs n'est pas un enjeu qu'en France. Que font nos voisins pour favoriser la transmission des fermes et l'installation des jeunes ? Y a-t-il des dispositifs intéressants transposables en France ? Pour le savoir, l'Institut de l'élevage idele a réalisé des enquêtes en Allemagne, Royaume-Uni, Irlande, Finlande, Pays-Bas, Danemark, Belgique et Espagne.
Avec l'abolition des quotas laitiers, Food Harvest 2020 avait fixé l'objectif d'une augmentation de 50% de la production laitière d'ici 2020.
« Cette année, nous aurons atteint une augmentation de 50% des solides du lait. D'ici 2018, nous atteindrons une augmentation de 50% des volumes de lait » annonce Teagasc.
Le troupeau laitier progresse beaucoup plus rapidement que prévu, avec 1,4 million de vaches cette année. Certaines tendances se dessinent nettement : 91 à 92% de tous les troupeaux sont en vêlage de printemps, un troupeau fertile et un faible taux de renouvellement (le taux d'abattage est actuellement de 21 à 22% par an).
La taille des troupeaux augmente de manière significative. En 2011, la taille moyenne du troupeau était de 59 vaches. En 2015, elle est passée à 75 et devrait être proche de 80 vaches cette année. Mais 4 000 troupeaux de plus de 100 vaches concentrent la moitié du troupeau national, avec une taille moyenne de 180 vaches.
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Les génisses laitières «post-quota» atteignant leur pic de lactation (ayant commencé leur lactation en 2015), ainsi que d’excellentes conditions de pâturage et une bonne pousse d’herbe en avril devraient entrainer un pic de production laitière en Irlande et une saturation de la capacité de transformation. A titre d’exemple, Carbery a enregistré une hausse de collecte de 16% la deuxième semaine d’avril par rapport à la même semaine en 2016, et Aurivo une hausse de 12% les deux premières semaines d’avril. Cette hausse de production laisse entrevoir une croissance de la production totale en 2017 à deux chiffres, avec environ 1 milliard de litres de lait supplémentaire par rapport à 2015 (où la production avait atteint 6,34 milliards de litres).
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Les derniers chiffres de l'ICBF montrent qu'il y a eu plus de 1 049 700 veaux laitiers enregistrés avant le 21 avril. Les naissances de veaux issus du troupeau laitier sont en hausse de 3,2% par rapport à l'année dernière.
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C'est en Irlande du Nord que se trouve la seule frontière terrestre entre le Royaume-Uni et le reste de l'UE. Le Brexit aura forcément des conséquences sur l'économie de l'île. Le monde agricole est particulièrement inquiet.
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Loin de l’incertitude des prix payés aux producteurs entretenue en France, trois coopératives irlandaises proposent à leurs adhérents une offre contractuelle de prix fixe sur trois ans. Un prix certes sécurisé dans la durée, mais à un niveau relativement bas.
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La production laitière d'octobre pour 2016 est de 4,3% inférieure au chiffre correspondant de 2015. De janvier à octobre, la production de lait a augmenté de 5,2%, à 6 173 millions de litres, par rapport à la même période l'année dernière.
Au niveau de l'UE, les derniers chiffres de l'Observatoire européen du marché du lait (MMO) montrent que les collectes de lait de l'UE ont diminué de 3% en septembre 2016 par rapport à septembre 2015. C'est le quatrième mois d'affilée que la production laitière de l'UE a chuté après les chutes en juin (2,3%), juillet (1,4%) et août (1,9%).
Pour la période de janvier à septembre, la production laitière dans l'UE a augmenté de 1,5% par rapport à la même période l'année dernière.
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INTERVIEW - Le ministre Irlandais de l'Agriculture, Michael Creed, en visite en France au SIAL (Salon international de l'alimentation) dévoile les contours de sa politique agricole au Figaro.fr. :
"Notre programme Food Wise 2025 a pour ambition de doubler nos exportations de produits agricoles (lait, bœuf, porc et mouton ou produits de la mer) d'ici les neuf prochaines années. Nous avons pour objectif de les faire passer de 10,8 milliards d'euros à 20 milliards d'euros. "
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Six grands pays d'élevage de l'Union européenne ont dévoilé les principales orientations politiques prises dans le cadre de leur pla
Selon un expert de l'University College Cork, le succès futur de l'industrie laitière irlandaise dépend de l'adoption par le secteur d'une approche de la production basée sur la « valeur et non le volume »…
« Assurer un avenir durable pour l'industrie laitière irlandaise nécessitera un changement d'orientation de l'expansion basée sur le volume vers une valeur ajoutée basée sur la science », a déclaré Seamus O'Mahony…
Un investissement accru dans la science laitière fondamentale attirera les types de chercheurs et de professionnels qualifiés nécessaires pour réaliser cette transition. L'industrie laitière est la plus grande industrie indigène d'Irlande, d'une valeur économique d'environ 16 milliards d'euros à travers
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Le coût de production des fermes laitières a considérablement augmenté en 2022, avec des prix record pour les coûts des intrants. D'après les chiffres de Teagasc, le coût d'élevage d'une vache est de 2 069 € en 2022, ce qui équivaut à un coût de production de 34c/L pour une vache à 6 000L. En 2020, le coût d'élevage d'une vache était de 1 478 €, ce qui équivaut à un coût de production de 24c/L/vache…
Les producteurs laitiers ont eu beaucoup de chance que les prix du lait soient bons. Les prix du lait en mai 2021 variaient de 36 à 34,32c / L, alors qu'en mai de cette année, les prix variaient de 52,50 à 46,58c/L…
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Les chiffres du ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et de la Marine (DAFM) au 31 mars de cette année montrent qu'il y a près de 3,5 fois plus de troupeaux allaitants (55 357 à 16 VA en moyenne) que de troupeaux laitiers (15 973 à 103 VL), pour un total de 901 503 VA et 1 649 362 VL.
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La forte croissance de la collecte irlandaise, et, dans une moindre mesure, celle de la Pologne, permet à la collecte européenne d’enregistrer un léger rebond en mars, malgré le nouveau repli des deux premiers pays producteurs, l’Allemagne et la France.
La volatilité des prix et des revenus est un défi établi et reconnu pour le secteur laitier - les prix du lait ayant beaucoup fluctué au cours des dernières années. Des outils et des solutions appropriés peuvent améliorer la durabilité et la compétitivité dans le secteur laitier. Des outils tels que la diversification, les contrats à terme, les contrats dérivés laitiers et l'assurance des initiatives politiques peuvent tous être utilisés pour aider à gérer la volatilité…
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La pénurie de main-d'œuvre dans les fermes en République d'Irlande est un phénomène quasi-exclusivement laitier. C'est une demande saisonnière, en particulier avec les systèmes de vêlages groupés au printemps. Le problème est vraiment arrivé au début de ce printemps, après une période d'expansion suite à l'abolition des quotas en 2015…
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Les chiffres de collecte du lait pour le Royaume-Uni en mars montrent une baisse annuelle de la production de 1,51%. Pour les trois premiers mois de 2017, le chiffre cumulatif de collecte du lait pour le Royaume-Uni s'établit à 3,62 millions de tonnes. C'est 3,21% inférieur à celui de 2016.
Pendant ce temps, la production américaine s'élève et l'offre de lait a augmenté de 15% en avril en Irlande.
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L'élevage laitier irlandais est confronté à une pénurie critique de travailleurs formés, qualifiés et adaptables pour atteindre les ambitieux objectifs du programme Food 2020 et de son successeur, Food Wise 2025. « Le besoin en capital humain a été identifié comme l'un des facteurs limitants dans l'industrie laitière irlandaise pour atteindre son plein potentiel. »
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Le gouvernement irlandais s’efforce de protéger son industrie agricole du Brexit. Ce secteur importe en effet près de la moitié de sa production vers le Royaume-Uni.
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La production laitière irlandaise en 2016 a augmenté de 4,4% par rapport à 2015, selon les derniers chiffres du Bureau central des statistiques (CSO), soit 6,6 milliards de litres contre 6,3 milliards en 2015.
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La production laitière irlandaise n’a cessé de grimper dans la période post-quota, à l'exception d'Avril 2016, première diminution d'une année sur l’autre observée en 14 mois. Septembre 2016, nouvelle baisse de 3,5% par rapport au même mois l'an dernier, selon les derniers chiffres du CSO. A ce jour, les volumes de la campagne sont en hausse de 6,2% par rapport à la même période l'an dernier.
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