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Revue d'urbanisme Diagonal (2024, 24 avril). Laval, un projet phare des “quartiers fertiles” Revue Diagonal. Consulté le 15 mai 2024, à l’adresse https://doi.org/10.58079/w9uy "Où en est-on du déploiement du projet “Quartiers fertiles” qui a mobilisé plus de 34 millions d’euros de la part de la puissance publique ? Sur la centaine de lauréats accompagnés, nous sommes allés à la découverte du projet de l’agglomération de Laval qui passe en phase opérationnelle. Quatre ans après le lancement officiel de l’appel … Continuer la lecture de « Laval, un projet phare des “quartiers fertiles"
Paula Macé Le Ficher, « Militer pour l’agriculture périurbaine : le projet CARMA sur le Triangle de Gonesse », Territoire en mouvement Revue de géographie et aménagement [En ligne], Articles, mis en ligne le 02 mai 2024, consulté le 15 mai 2024. URL : http://journals.openedition.org.ezproxy.u-bordeaux-montaigne.fr/tem/11237 "L’article s’intéresse à la transformation des rapports entre urbanisme et agriculture qui se joue dans le cadre particulier du projet urbain – activité collective qui se matérialise sous la forme de nouveaux quartiers – et sous l’effet d’une mise à l’agenda public de l’alimentation poussée par des mobilisations citoyennes. Le cas du projet militant CARMA, sur le Triangle de Gonesse, illustre les tensions à l’œuvre et les hybridations qui résultent d’une décennie de controverse d’aménagement centrée sur la place de l’agriculture dans la production urbaine. Ces tensions et hybridations concernent à la fois les représentations attachées au devenir des systèmes alimentaires et de la fabrique de la ville dans un contexte de crise écologique, les configurations d’acteurs et pratiques professionnelles de l’aménagement et, in fine, la morphologie urbaine. Les stratégies qui sous-tendent les rapports entre acteurs militants et institutionnels varient entre confrontation, interpellation et négociation. Ces hybridations ne doivent pas masquer néanmoins la persistance d’un ethos aménagiste qui peine à considérer l’agriculture à jeu égal avec un développement territorial fondé sur l’urbanisation."
"Bordeaux Métropole a confié a Artelia une étude prospective qui vise à réfléchir aux enjeux de mobilité d'une agglomération promise à atteindre le million d'habitants d'ici 15 ans. Le budget d'investissement estimé d'un métro se monte à plus de trois milliards d'euros à horizon 2040."
Janvier-février 2024 LA CLÉ DES SOLS ZAN en Europe : Panorama des politiques de nos voisins Angers, Ile-de-france, La Rochelle : Les territoires face à la sobriété foncière Jean-Marc Offner, de quoi le ZAN est-il le nom ? Gaspard Koenig : « Nous puisons notre humanité du sol » À lire également dans ce numéro : L’invité : Patrick Henry : « La ville a investi les sols en profondeur » Porfolio : Cartographier l’anthropocène, vol. 2, Atlas IGN, 2023 Rubriques : Livres, Cinéma, Expos, Jeux vidéo et Musique
"Le logement peut-il devenir un enjeu de santé publique ? Cette question guide une recherche sur la « littératie » des habitants, qui désigne leurs capacités à associer leurs difficultés dans l’habitat, la qualité de celui-ci et leurs problèmes de santé."
"Il y a un peu plus de dix ans, l’État engageait le 5e atelier national consacré aux « Territoires en mutation exposés aux risques », dont nous avons dirigé l’équipe pluridisciplinaire qui a mené de nombreuses études dans différentes régions. Si la méthode s’est révélée excellente et le bilan des ateliers très positif, les suites opérationnelles ont produit des résultats plus nuancés..."
Séverine Bonnin-Oliveira et Emeline Hatt, « Accompagner les initiatives citoyennes dans le cadre d’un projet de revitalisation d’une commune rurale : le cas de Volonne », Territoire en mouvement Revue de géographie et aménagement [En ligne], 59 | 2023. URL : http://journals.openedition.org/tem/9873 ; DOI : https://doi.org/10.4000/tem.9873
" Cet article traite de la recomposition des relations entre acteurs publics et citoyens dans la définition et la conduite de projets d’urbanisme durable en milieu rural, à partir de l’analyse du cas de Volonne (Alpes-de-Haute-Provence). Dans une forme de prolongement de la dynamique participative initiée lors de la création de l’EcoQuartier centre-bourg (labellisé étape 4 par le Ministère), alliant des dispositifs de consultation, de concertation et de co-construction, cette commune rurale a vu l’émergence d’un engagement citoyen multiforme étudié dans cette recherche. Nous questionnons dans cette perspective la capacité des communes rurales à accompagner et pérenniser les initiatives citoyennes dans ces démarches visant la transformation du cadre bâti et le développement du « vivre ensemble » dans les espaces ruraux. La recherche a mis en lumière la diversité des initiatives citoyennes et leur participation à l’amélioration du cadre de vie mais aussi la nécessaire modification des cadres d’action publique traditionnels. L’association entre acteurs publics et citoyens appelle des ajustements, des articulations qui restent pour partie à trouver pour répondre aux difficultés de coordination ou au risque de resserrement des initiatives autour d’un groupe restreint de participants."
"Dans les tissus anciens, le renouvellement urbain relève bien souvent du casse-tête. Avec le « zéro artificialisation nette » (ZAN) en ligne de mire, il devient urgent de regarder les potentialités offertes par la ville périphérique du XXe siècle, peu dense, bien que présentant un héritage bâti important et dotée en infrastructures et équipements publics."
Ce guide est "le fruit d’une recherche menée dans le cadre de la thèse de géographie de Charlotte Porcq, soutenue le 20 octobre 2022 et intitulée "La traduction des paysages dans les Plans Locaux d’Urbanisme français : formes, temporalités, outils. Une enquête au cœur des processus de planification territoriale dans quatre intercommunalités bretonnes".
"Comment se déplacent les habitants de la Gironde ? Quels modes de déplacements utilisent-ils, pour quels motifs, pour quelles distances, à quel rythme, pour rejoindre quelle destinations, … ? Quelles sont les évolutions des comportements de déplacements observés au cours de la dernière décennie ? Autant de questions auxquelles la dernière enquête mobilité réalisée en 2021 à l’initiative de L’Etat, Bordeaux métropole, la Région Nouvelle Aquitaine et le Département de la Gironde apporte des éléments essentiels. Les réponses fournies par les 17 000 personnes enquêtées permettent de connaitre et comprendre leurs habitudes de déplacements et d’éclairer les politiques de mobilité à développer pour améliorer la qualité de vie des populations, maintenir les conditions d’accessibilité des activités économiques, mettre en place les conditions pour des déplacements plus durables… Cette synthèse, réalisée par l’a-urba, permet de prendre connaissance des principales grandes tendances. Elle sera suivie d’exploitations des données plus détaillées qui permettront de préciser, expliquer finement les phénomènes observés."
Antoine Brès et Béatrice Mariolle, « Transition écologique en campagnes : de petits mondes interconnectés », Les Cahiers de la recherche architecturale urbaine et paysagère [En ligne], 17 | 2023, mis en ligne le 17 avril 2023, consulté le 25 mai 2023. URL : http://journals.openedition.org.ezproxy.u-bordeaux-montaigne.fr/craup/12414 ; DOI : https://doi-org.ezproxy.u-bordeaux-montaigne.fr/10.4000/craup.12414 "L’attention portée au déploiement spatial des activités œuvrant à la transition écologique au sein des campagnes rurales et périurbaines a révélé leur important potentiel de mutation sociale et spatiale : le renouvellement des pratiques que la transition écologique induit réactive le local comme échelle pertinente pour construire des solutions concrètes ; il contribue en même temps à conforter des solidarités et des coopérations en réseaux déployés à d’autres échelles, régionale nationale et internationale ; cette transition ne se limite pas aux activités elles-mêmes, mais implique l’inscription spatiale de ces pratiques et ses relations dans des espaces à la fois plus resserrés et davantage déployés, des petits mondes interconnectés et elle ouvre de nouvelles perspectives de transformation de leurs espaces bâtis et ouverts."
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Mai-juin 2024 Partout, le vivant ! Rennes, exploration des trames vertes et bleues Atlas de la biodiversité, cas d’école à Bois-le-Roi Libre évolution : Faut-il réensauvager une partie du territoire ? Permis de végétaliser : Quel bilan vingt ans après ? Nathalie Machon : « La biodiversité est un atout inégalable pour l’habitabilité des villes » Animaux domestiques, l’empreinte environnementale de 80 millions d’amis À lire également dans ce numéro : L’invitée : Nathalie Blanc : « Les réflexions d’urbanisme n’envisagent que très rarement l’humain comme être vivant »
ROUDIER Émilie, AVIDE Élise, « De la doctrine à la conception : comment les gares du Grand Paris Express renouvellent (ou pas) la fabrique urbaine ? », Flux, 2024/4 (Pub. anticipées), DOI : 10.3917/flux1.pr1.0006. URL : https://www-cairn-info.ezproxy.u-bordeaux-montaigne.fr/revue-flux-2024-4-page-I.htm "Cet article propose d’entrer dans la fabrique des gares du Grand Paris Express (GPE). À partir d’une analyse de la genèse, de la conception et de la communication sur ces gares, il s’intéresse à la stratégie mise en place par la Société du Grand Paris (SGP), qui en assure la maîtrise d’ouvrage, et à son mode d’action. Il rend compte de la formalisation d’une doctrine : plus que de simples objets techniques pour accéder au réseau, les gares constituent surtout des outils politiques et ce dès les débats publics de 2010. L’enquête montre que les gares, largement mises en valeur par la SGP, servent surtout à asseoir sa légitimité, à justifier les effets d’une nouvelle infrastructure sur les territoires, et par conséquent, à faciliter l’acceptabilité du projet et des chantiers au niveau local. Cette valorisation des gares s’inscrit dans la continuité d’un mouvement observé depuis plus de 20 ans et initié par les réaménagements des gares TGV, où les gares cristallisent les ambitions de développement des acteurs locaux et des opérateurs de transport."
Lancée en septembre 2022, la Fabrique Prospective "La nature dans les quartiers prioritaires : quels leviers pour la transition écologique, l’emploi, le lien social et la cohésion territoriale ?" visait à identifier en quoi le développement de la nature dans les QPV peut apporter des réponses innovantes aux enjeux de ces quartiers.
ANCT, 2024
Via @veilleScalen, FR2007 CIST
Nelly Sudres. Les enjeux de la loi Climat et résilience en matière de recul du trait de côte (intervention à la table ronde sur les enjeux de la loi Climat et résilience en matière d’urbanisme). Revue Lexsociété, 2024, Revue LexSociété. ⟨hal-04457019⟩ "La loi Climat et résilience pose de nouvelles règles d’urbanisme et créé de nouveaux outils de maîtrise foncière destinés à permettre aux communes littorales de gérer le recul du trait de côte sur leur territoire. L’érosion côtière n’est plus appréhendée comme un risque naturel relevant de la responsabilité étatique au travers des plans de prévention mais comme un phénomène progressif et anticipable dont la gestion par une logique d’aménagement est transférée aux collectivités territoriales compétentes en matière de planification d’urbanisme et listées par décret."
"L’urbanisme tactique offre de nouvelles alternatives d’aménagement face aux modes de conception traditionnels des villes. Dans l’optique de répondre aux besoins des usagers et d’apporter des solutions tangibles aux défis socio-urbains, ces projets urbains tendent vers une approche plus inclusive, intuitive, collaborative, expérimentale et sensible de la ville. En effet, ces projets dits bottom-up invitent à appréhender autrement cette dernière, en composant de nouvelles sensibilités urbaines collectives. Dès lors, en quoi l’urbanisme tactique concourt-il à l’émergence d’une sensibilité des villes ? Comment les expériences sensibles partagées se manifestent-elles au cœur de ces projets ? Notre contribution interrogera ces alternatives d’aménagement des villes, afin d’en définir les contours et ainsi mettre en perspective la dimension sensible au cœur du renouvellement des pratiques urbaines et expressivité des territoires."
Julie Gobert, José-Frédéric Deroubaix, Lise Bourdeau-Lepage et Magalie Franchomme Mise en scène et en récit de la nature dans la ville : de nouvelles frontières Hugo Rochard « Plantons des micro-forêts urbaines » : nouveau récit d’action publique et coproduction citoyenne d’une solution fondée sur la nature à Paris Charles de Godoy Leski Des mots du politique aux maux du territoire. La performativité des récits métropolitains dans la gouvernance de la nature estuarienne. Le cas de Bordeaux Métropole et de l’estuaire de la Gironde Hervé Davodeau, Élise Geisler et Sébastien Caillault Le végétal dans la fabrique urbaine : une lecture de la stratégie angevine au prisme de l’horticulture et du paysage Léa Tardieu, Perrine Hamel, Mehdi Mikou, Lana Coste et Harold Levrel L’approche par les services écosystémiques peut-elle permettre une meilleure mise en visibilité de la nature dans les processus de planification urbaine ? Fabien Roussel La nature en privilège : de l’effet des populations citadines aisées sur les paysages et la flore du Cœur vert de la Randstad Holland Taoufik Souami « Zéro artificialisation nette » en aménagement : compter et conter la nature en ville pour changer les pratiques ? Mathilde Gralepois Visibilité des aménités, invisibilisation des inondations. L’inondation dans l’écoquartier à La Riche (agglomération de Tours)
Claire Carriou (Dir.). Pratiques d’émancipation urbaine. Éditions Le Manuscrit, 2023, Devenirs urbains, Didier Desponds, 9782304054781. ⟨hal-04165140⟩ "L’émancipation ou plutôt les pratiques d’émancipation, ici et maintenant, dans les sociétés urbaines qui sont les nôtres, voilà ce que cet ouvrage voudrait exposer. L’enjeu n’est pas tant de montrer qu’un autre monde est possible, mais que cet « autre monde », ou ces autres mondes, relèvent de processus qui sont d’ores et déjà mis en œuvre, au quotidien, dans des territoires et contextes urbains variés, par des individus et des groupes eux-mêmes très divers. L’ouvrage donne à voir des pratiques qui échappent aux logiques classiques de la mobilisation politique, mais qui permettent néanmoins à ces acteurs de retrouver prise dans le monde et de recréer des marges de manœuvre. Souvent invisibilisées ou renvoyées au registre du banal ou de l’ordinaire, ces pratiques qui se jouent à bas bruit se révèlent émancipatrices."
"On parle fréquemment de réhabiliter des friches industrielles et urbaines pour la mise en culture, avec du maraîchage ou du pâturage. Mais les terres inexploitées en zones rurale ou périurbaine sont aussi à considérer, tout comme d’anciens bâtiments agricoles, dont les usages sont amenés à évoluer. Un vrai potentiel pour les territoires. Témoignages."
GIRAULT Mathilde, « Penser l’urbain par les émotions. Les méthodes « innovantes » ou « expérimentales » en expertise urbaine », Sociétés, 2023/1 (n° 159), p. 79-96. DOI : 10.3917/soc.159.0079 "Le champ des expertises urbaines est traversé depuis une quinzaine d’années de questionnements sur la pertinence des études produites pour l’action aménagiste et la fabrique de la ville d’une part, sa capacité à refléter les situations sociales et territoriales dans leurs diversités particulièrement pour les populations les plus fragiles de l’autre. Un renouvellement des démarches méthodologiques s’opère dans lequel la prise en compte des émotions apparaît comme un critère de pertinence et de légitimité. Cet article renseigne les principales formes de ces démarches méthodologiques et la compréhension des émotions qui en découle pour les praticiens."
Camille Boulai, Sylvie Fol & Matthieu Gimat - 29 mai 2023 "Alors que la politique de vente de logements sociaux vise à favoriser l’accès à la propriété occupante, elle s’est traduite par la remise en location à des prix de marché d’une partie des logements vendus. Camille Boulai, Sylvie Fol et Matthieu Gimat analysent cet effet paradoxal créant une niche immobilière pour les ménages bailleurs d’anciens logements HLM."
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